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UNIVERSITE NATIONALE DE HANOI ECOLE NORMALE SUPERIEURE DE LANGUES ETRANGERES DEPARTEMENT POST UNIVERSITAIRE &&& LE THI TUYET HANH PROPOSITIONS METHODOLOGIQUES DE L’ENSEIGNEMENT DE LA LITTERATURE FRANÇAISE DU XIXE SIECLE: LE CAS DES ETUDIANTS DE FRANÇAIS EN TROISIEME ANNEE A L’UNIVERSITE DE VINH MEMOIRE DE MASTER FILIERE: METHODOLOGIE HÀ NỘI, 2008 &&& ĐẠI HỌC QUỐC GIA HÀ NỘI TRƯỜNG ĐẠI HỌC NGOẠI NGỮ KHOA SAU ĐẠI HỌC &&& LÊ THỊ TUYẾT HẠNH PROPOSITIONS METHODOLOGIQUES DE L’ENSEIGNEMENT DE LA LITTERATURE FRANÇAISE DU XIXE SIECLE: LE CAS DES ETUDIANTS DE FRANÇAIS A L’UNIVERSITE DE VINH (MỘT SỐ ĐỀ XUẤT TRONG VIỆC DẠY VĂN HỌC PHÁP THẾ KỈ XIX: TRƯỜNG HỢP CỦA SINH VIÊN TIẾNG PHÁP NĂM THỨ ĐẠI HỌC VINH) MEMOIRE DE MASTER FILIERE: METHODOLOGIE DIRECTRICE: DOCTEUR NGUYỄN VÂN DUNG HÀ NỘI, 2008 &&& LỜI CAM ĐOAN Tôi xin cam đoan cơng trình nghiên cứu riêng tơi Các số liệu, kết nêu luận văn trung thực chưa công bố công trình khác Tác giả Lê Thị Tuyết Hạnh REMERCIEMENTS Je voudrais exprimer ma profonde reconnaissance Madame la professeure NGUYỄN VÂN DUNG, qui a accepté de diriger ma recherche, a suivi de très près mon travail en donnant des conseils précieux et indispensables pour la réalisation de ce mémoire Mes remerciements profonds vont aussi aux professeurs de franỗais de l’ ENSL, l’Université nationale de Hanoï, la Direction, au personnel du département post universitaire qui nous ont aidé et nous ont créé de bonnes conditions de travail pendant tout le cursus Qu’il me soit permis d’adresser mes remerciements la Direction de l’Université de Vinh, mes collègues et mes étudiants qui m’ont encouragé l’accomplissement de mes études A ma famille tous mes sentiments reconnaissants pour son soutien constant et dévoué qu’elle m’a apporté dans mon travail TABLE DES MATIERES Introduction Contexte théorique et pratique de la recherche……………………………….1 2.Objectifs de la recherche………………………………………………………3 Méthodes de recherche Structure du mémoire .4 Chapitre I : Cadre thộorique Cadre thộorique dộlaboration du programme de franỗais 1.1 Curriculum 1.1.1 Une définition du curriculum .5 1.1.2 Les trois principales entrées d’un curriculum 1.1.3 Le Curriculum et le programme d’études…………………………………9 1.1.4 Les objectifs et les compétences …………………………………………10 1.1.5 Le curriculum au sens large et le curriculum au sens restreint………… 11 1.2.Etapes de l’élaboration d’un curriculum……………………………………13 1.2.1 Analyser des besoins…………………………………………………… 13 1.2.2 Clarifier la politique éducative………………………………………… 15 1.2.3 Elaborer le programme et le référentiel………………………………….15 1.2.4 Réaliser le programme………………………………………………… 21 1.2.5 Faire le suivi pédagogique et évaluer: ………………………………… 22 1.3 Conclusion 23 Grands courants de la littộrature franỗaise du XIXesiècle .25 2.1 C’est un siècle de révolutions………………………………………………25 2.2 C’est un siècle de grands courants littéraires .27 Chapitre II: Méthodologie de la recherche Enseignement du franỗais lUniversitộ de Vinh - Etude de cas……… 39 1.1 Etat actuel de l’enseignement du franỗais au dộpartement de langues ộtrangốres de luniversitộ de Vinh39 1.2 Objectifs de formation…………………………………………………… 40 1.2.1 Les objectifs généraux et demandes de l’enseignement universitare…… 40 1.2.2 .L’objectif de l’enseignement de la littộrature franỗaise 43 Analyse des corpus 2.1 Motivations et besoins des ộtudiants face la littộrature franỗaise du XIXèmesiècle .43 2.1.1 L’analyse des résultats de l’enquête auprès des étudiants de 2èmeannée 44 2.1.2 L’analyse des résultats de l’enquête auprès des étudiants de 4èmeannée 46 2.1.3 La conclusion partielle .49 2.2 Expériences collectées 49 2.2.1 Les expériences des enseignants de la littộrature franỗaise 49 2.2.2 La synthốse des documents, mộthodes de la littộrature franỗaise .52 Conclusion …………………………………………………………………….57 Chapitre III: Propositions méthodologiques pour un enseignement-apprentissage plus approprié de la littộrature franỗaise du XIXố siốcle luniversitộ de Vinh Propositions dun curriculum de la littộrature franỗaise du XIXố siốcle 58 Curriculum de la littộrature franỗaise du XIXố siốcle60 3.Cours expộrimental de la littộrature franỗaise du XIXè siècle…………………………………………………………………….64 Conclusion…………………………………………………………………… 67 Conclusion:………………………………………………………………………68 Bibliographie…………………………………………………………………….71 Annexe 1- Questionnaires 2-Extraits du cours INTRODUCTION Contexte théorique et pratique de la recherche Construire un programme d’étude est une nécessité dans n’importe quelle rénovation éducative Avec l’évolution de la société dans tous les domaines, l’éducation doit suivre cette demande sociale, la réécriture d’un programme d’ une certaine matière s’impose avec une claire ộvidence Lenseignement-apprentissage des langues ộtrangốres dont le franỗais est surtout concerné dû l’évolution de la vie sociale, politique et économique Cependant, les concepteurs de programme s’intéressent surtout la langue mais oublient la littérature Il y a même parfois une certaine résistance l’enseignement de la littérature, voire un rejet Actuellement, on accepte le franỗais comme un moyen de communication et surtout d’accès la science et on ne s’intéresse pas aux valeurs que la langue, particulièrement la littérature, manifeste Le vieil humaniste de la pensée traditionelle est , d’après Armord Seoud, une autre origine de cette crise Il est indéniable que la littérature connait depuis longtemps un rụle trốs important dans lenseignement-apprentissage du franỗais Dans la méthode traditionnelle, les textes littéraires sont devenus une source principale pour l’enseignementapprentissage de la langue Après sa longue absente pendant l’époque des méthodes audio-orales, audio-visuelles et un bon premier temps de l’approche communicative, elle a témoigné de nos jours du regain d’intérêt la suite des sons de cloche dont celui d’Alain Finkielkraut: “Il faut rendre la littérature sa place centrale dans lenseignement mờme du franỗais pour que nous restions le pays de conversation et non une province de la communication planétaire” Pourtant, la littérature devient pour plusieurs personnes quelque chose de luxe De plus, la littérature n’est pas appréciée juste titre dans l’enseignement supérieur des apprenants et mờme des enseignants Etant ộtudiante et puis enseignante de franỗais l’Université de Vinh, je constate que la littérature joue un rụle nộgligeable dans lenseignement-apprentissage du franỗais Les ộtudiants de franỗais de notre universitộ ne sy intộressent pas Les origines sont nombreuses mais on ne peut pas nier l’inefficacité du programme qu’on a depuis un an En outre, jusqu’à maintenant, on ne possède pas une méthode concrète pour enseigner la matière Les enseignants choisissent eux-mêmes des extraits et font des photocopies pour les étudiants Ces derniers, eux, restent passifs durant les cours Un programme détaillé devient une urgence pour élaborer un cours de littộrature franỗaise, surtout celle du XIXố siốcle La littérature du XIXè siècle est populaire pour les Vietnamiens avec les auteurs célèbres comme Victor Hugo, Balzac, Stendhal…par le biais de leurs oeuvres traduites en vietnamien et enseignées au lycộe Lenseignement-apprentissage du franỗais travers la littộrature du XIXố siècle apporte aux apprenants non seulement les connaissances littéraires mais aussi les connaissances linguistiques et sociales Dans quelques universités, la littérature du XIXè siècle n’est pas enseignée comme une matière part mais inclues dans l’analyse textuelle Selon notre conception sur la littérature et aussi en nous basant sur le niveau des enseignants et surtout celui des étudiants de l’Université de Vinh, nous proposons d’élaborer un programme de la littérature du XIXè siècle comme une matière indépendante pour aider les étudiants faire connaissance avec elle et les orienter une étude plus approfondie s’ils s’y intéressent Ces constats nous poussent mener cette recherche, avec l’ambition de programmer l’enseignement de la littérature pour des étudiants l’Université de Vinh, surtout ceux en troisième année et de proposer des suggestions pộdagogiques afin damộliorer leur niveau de franỗais sous langle littộraire aussi bien linguistique A partir de la situation réelle, les questions de recherche posées sont les suivantes: - Pourquoi est – il urgent d’élaborer un programme concret pour l’enseignement –apprentissage de la littérature du XIXe siècle ? - Quel est le contenu du programme ? - Quelles démarches méthodologiques peut-on suggộrer pour une exploitation efficace de la littộrature franỗaise du XIXè siècle? Afin de répondre ces questions, nous avons formulé les hypothèses suivantes : Hypothèse : Le manque de manuel est source de démotivation des étudiants vis vis de la littérature du XIXe siècle Hypothèse : Le programme enseigné se base sur l’analyse des besoins des étudiants tout en respectant le programme imposé par le Ministère d’Education et de Formation Hypothèse : Il faut mettre en œuvre des démarches méthodologiques appropriées pour motiver nos ộtudiants apprendre la littộrature franỗaise Objectifs de la recherche La réalisation de ce mémoire vise à: - Analyser la situation de lenseignement-apprentissage de la littộrature franỗais en général et de celle du XIXe siècle l’université de Vinh - Elaborer un curriculum de littộrature franỗaise du XIXố siècle en nous basant sur les résultats obtenus des enquêtes et des fondements théoriques étudiés - Proposer une démarche méthodologique appropriée travers quelques exemples, extraits d’oeuvres des écrivains franỗais du XIXố siốcle Mộthodes de recherche Dans notre travail de recherche, nous adoptons la recherche documentale, descriptive et analytique avec des démarches d’investigation telles que l’observation, l’analyse de contenu, l’analyse des questionnaires et aussi la comparaison Nous avons également recours une étude de terrain pour effectuer ce travail de recherche car quelle que soit la théorie choisie, on ne peut pas se passer de la réalité du public auquel on s’adresse Structure du mémoire Notre mémoire est divisé en trois parties : Il s’ouvre sur la présentation de quelques notions centrales par rapport au champ du curriculum Cette partie a pour ambition d’initier le lecteur au processus d’ élaboration d’un curriculum et aussi d’un cours Laperỗu gộnộral et les grands courants littộraires du XIXố siècle sont introduits la fin de cette partie Dans la deuxième partie, puisque nous avons envie de construire un curriculum de la littộrature franỗaise du XIXố siốcle et ensuite de proposer certaines suggestions l’élabaration d’un cours littéraire pour les étudiants de l’université de Vinh, nous présentons d’abord dans cette partie lộtat actuel de lenseignement du franỗais notre universitộ, y compris celui de la littộrature franỗais, et les objectifs généraux et spécifiques de la formation nationale comme locale Ensuite, nous nous sommes efforcés d’analyser les résultats des deux enquêtes, l’une auprès des étudiants de l’Université de Vinh et lautre auprốs des enseignants de littộrature franỗaise des universitộs de Vietnam Enfin, nous ferons une synthèse des méthodes, documents de la littộrature franỗaise existants Aprốs la prộsentation de la thộorie et l’analyse du corpus, la troisième partie est consacrée aux propositions mộthodologiques pour amộliorer lenseignement-apprentisage de la littộrature franỗaise du XIXốme siốcle aux ộtudiants de franỗais de l Universitộ de Vinh La conclusion a pour objetif de résumer notre travail et de retirer en même temps les avantages et aussi les difficultés au cours de l’accomplissement de ce travail La biographie et les annexes se trouvent la fin du mémoire CHAPITRE I: Cadre théorique Cadre théorique d’élaboration du programme de franỗais 1.1- Curriculum 1.1.1- Une dộfinition du curriculum Employé depuis longtemps par les didacticiens nord-américains, le terme « curriculum » devient actuellement populaire Selon William Pirar, le curriculum est un concept qui appartient la mouvance post-moderne et déconductiviste Il est notamment utilisé aux Etats-Unis et au Canada dans les théories antiracistes, féministes…et ces dernières années, il est en vogue dans les sciences de l’éducations, surtout dans la formule « curriculum development », qui désigne en effet l’art d’élaborer des parcours d’enseignement-apprentissage Malgré son succès, le concept « curriculum » est encore mal défini Il y a au-delà de 120 définitions du terme dans la documentation professionnelle Selon B.W.Andrew, le président de l’Association canadienne d’Etudes sur le curriculum (ACEC), en effet : « aucune définition convenue n’existe pour le terme « curriculum » ».D’après Mohamed Milet(1) , le curriculum désigne la conception, l’organisation et la programmation des activités d’enseignementapprentissage selon un parcours éducatif Il regroupe l’énoncé des finalités, les contenus, les activités et les démarches d’apprentissage, ainsi que les modalités et moyens d’évaluation des modeste, dans l’enseignement-apprentissage de la littộrature franỗaise En fait, pour que ce soit réel avec un résultat souhaité, il nous faut des collabarations des spécialistes, des enseignants et évidemment des dirigeants du département de langues ộtrangốres de lUniversitộ de Vinh BIBLIOGRAPHIE En franỗais: CASTEX P,G et SURER P., Manuels des études littéraires franỗaises XIXố siốcle, Hachette, 1966 CHOPPIN A., Les manuels scolaires – Histoire et actualité, Hachette, 1992 CHRISTIAN DEPOVER.,Conception et pilotage des réformes du curriculum ”, ( 2006), COURTILLON J., Elaborer un cours de FLE franỗais langue étrangère, Hachette, 2003 CUQ J.P., Dictionnaire de didactique du franỗaise langue ộtrangốre et seconde, Clộ international asdifle 2003 CUQ J.P et GRUCA, I., cours.de didactque du franỗais langue étrangère et seconde, Presses Universitaires de Grenoble, 2002 DECOTE G et DUBOSCLAR J., Itinéraires littéraires XIXè siècle, Hatier, 1988 DEPOVER C., Conception et pilotage des réformes du curriculum ” ,2006 GROUPE DE PROFESSEURS., Textes d’étude XIXè-XXè siốcles cours de civilisation franỗaise de la Sorbonne, 2004 10 LEHMANN D., Objectifs spécifiques en langue étrangère – les programmes en questionHachette FLE, 1993 11 MANGIANTE J M et PARPETTE C., Le franỗais sur objectif spộcifique: de lanalyse des besoins l’élaboration d’un cours, Hachette, 2004 12 MILED M., Elaborer ou rộviser un curriculum; le franỗcais dans le monde- N0 321.p.35, 2002 13 MILED M., Un cadre conceptuel pour l’élaboration d’un curriculum selon l’approche par les compétences , Alger, UNESCO-ONPS, p 125-136, 2005 14 NGUYEN VAN DUNG., Littộrature franỗaise-XIXố siốcle, maison dộdition de luniversitộ nationale de Hanoï ,1991 15 NGUYEN NAM TUONG et LAURENCE FORATIER., Littérature franỗaise du XIXố siốcle, maison dộdition de luniversitộ nationale de Hanoï, 2001 16 PHAM THI THAT., Cours d’histoire de la littộrature franỗcaise, maison dộdition de luniversitộ nationale de Hanoù, 2004 17 PORCHER L., L’enseignement des langues étrangères, Hachette, 2004 18 SEOUD A., Pour une didactique de la littérature, Hatier, 1997 En vietnamien: 19 DANG ANH DAO et les autres.,Văn học phương tây, NXBGD, 1998 20 NGUYEN DUC CHINH., Chương trình đào tạo, NXBQG, 2004 21 PHAM VAN LAP., Phát triển chương trình đào tạo - số lí luận thực tiễn, NXB ĐHQGHN, 2006 Les oeuvres littéraires consultés: Balzac H., Le Père Goriot, Hachette, 1834 Hugo V., Notre Dame de Paris, Hachette, 1831 Flaubert G., Madame Bovary, Hachette, 1857 Musset A., On ne badine pas avec l’amour, Hachette, 1834 Rimbaud A., Ma bohème, Hachette, 1889 Verlaine P., Mon rêve familier, Hachette, 1866 Zola E., Au bonheur des dames, Hachette, 1883 ANNEXE: 1- Questionnaires: Questionnaire aux enseignants de littộrature franỗaise dans les dộpartements de franỗais au Vietnam 1- Depuis combien dannộes enseignez-vous la littộrature franỗaise ? 2- Avez- vous eu une formation en Lettres ? a Non b.Oui Si oui, quel diplôme avez-vous obtenu ? 3- Est-ce que la littộrature franỗaise du XIXốme siốcle est enseignộe aux ộtudiants de franỗais dans votre université? a- Non b- Oui Si oui, - en quelle année ? - pendant combien de périodes ? 4- Quels auteurs du XIXè siècle sont enseignés dans votre université ? 5- Quelles oeuvres littéraires sont enseignées aux étudiants ? 6- Quels sont les extraits travaillés en classe ? 7-Pour enseigner la littérature du XIXè siècle, de quel support disposez-vous ? 0- Un manuel élaboré par votre établissement - Un manuel franỗais Prộcisez le nom du manuel, SVP - Plusieurs manuels Précisez le nom des manuels, SVP 8-Quelle méthode utilisez-vous pour enseigner cette matière ? Cochez la ou les bonnes réponses a- cours magistral b- exposé individuel c- travail en groupe 9-A votre avis, est-il nécessaire d’enseigner la littérature du XIX ème siècle aux étudiants ? Pourquoi ? 10- Quelle est la motivation des étudiants vis vis de cette matière ? 11- Quel mode d’évaluation utilisez-vous ? Pourquoi ? Câu hỏi điều tra cho sinh viên học tiếng pháp năm thứ hai, k46- 2006 – 2010-bộ môn tiếng Pháp - Đại Học Vinh 1- Là sinh viên tiếng pháp, theo bạn có cần thiết đưa văn học pháp vào chương trình dạy học khơng? a .Có b Khơng 2- Bạn học văn học pháp chưa? đâu? A Rồi: B Chưa a Phổ thông b Đại học c Nơi khác:… 3- Bạn thích văn học pháp thời kì nào? 4- Tác giả văn học kỉ 19 mà bạn biết? 5- Tác phẩm văn học kỉ 19 mà bạn biết? 6- Bạn có muốn cung cấp mơt chương trình cụ thể trước học học môn văn học pháp không? a Có b Khơng 7- Bạn trơng chờ giáo trình văn học kỉ 19? a Tác giả: b Tác phẩm: c Thể loại: Phương pháp dạy học văn học mà bạn thích: a thuyết trình b làm nhóm c medias d phương pháp khác: 10 Hình thức đánh bạn thấy thích hợp: a trắc nghiệm b viết luận c thi nói d hình thức khác Câu hỏi điều tra cho sinh viên học tiếng pháp năm thứ tư, k45- 2004-2008- môn tiếng Pháp Đại Học Vinh ( học qua văn học kỉ 19) 1-Là sinh viên tiếng pháp, theo bạn có cần thiết đưa văn học pháp vào chương trình dạy học không? a cần thiết b không cần thiết c khơng ý kiến 2- Bạn có thích văn học Pháp khơng? a Có b Khơng 3- Bạn học theo giáo trình nào? 4- Bạn thích văn học pháp thời kì nào? 5-Tác giả văn học kỉ 19 mà bạn thích? a Tác phẩm văn học kỉ 19 mà bạn thích? b Bạn có cung cấp mơt chương trình cụ thể học mơn văn học khơng? a Có b Khơng c Theo bạn, chương trình văn học mà bạn vừa học trường đại học có phù hợp khơng? Tại sao? d Bạn trơng chờ chương trình văn học kỉ 19? a nội dung : phương pháp: e Hình thức đánh nào: a viết luận b thi nói c trắc nghiệm d hình thức khác 2- Extraits du cours: HUGO (Victor) (1802-1885) NOTRE DAME DE PARIS La présence de cet être extraodinaire faisait ciculer dans toute la cathédrale je ne sais quel souffle de vie Il semblait qu’il s’échappât de lui, du moins au dire des superstitions grossissantes de la foule, une émanation mystérieuse qui animait tous les pierres de Notre Dame et faisait palpiter les profondes entrailles de la vieille église Il suffisait qu’on le sût pour que l’on crût voir vivre et remuer les mille statues des galeries et des portails Et de fait, la cathédrale semblait une créature docile et obéisante sous sa main; elle attendait sa volonté pour éléver sa grosse voix; elle était possédée et remplie de Quasimodo comme un génie familier On eût dit qu’il faisait respirer l’immense édifice Il y était partout en effet, il se multipliait sur tous les points du monument Tantôt on apercevait avec effroi au plus haut d’une des tours un nain bizzarre qui grimpait, serpentait, rampait quatre pattes, descendait en dehors sur l’abỵme, sautelait de saillie en saillie et aller fouiller dans le ventre de quelque gorgone sculptée; c’était Quasimodo dénichant des corbeaux Tantôt on se heurtait dans un coin obscur de l’église une sorte de chimère vivante, accroupie et renfrognée; c’était Quasimodo pensant Tantôt on avisait sous un clocher une tête énorme et un paquet de membres désordonnés se balanỗant avec fureur au bout dune corde; cộtait Quasimodo sonnant les vêpres ou l’angélus Souvent la nuit, on voyait errer une forme hideuse dur la frêle balus trade découpée en dentelle qui couronne les tours et bode le pourtour de l’abside; c’était encore le bossu de Notre Dame Alors, disaient les voisines, toute l’église prenait quelque chose de fantastique, de surnaturel, dhorrible; des yeux et des bouches sy ouvraient ỗ et là; on entendait aboyer les chiens, les givres, les tarasques de pierre qui veillent jour et nuit, le cou tendu et la gueule ouverte, autour de la montreuse cathédrale; et si c’était une nuit de Noël, tandis que la grosse cloche qui semblait râler appelait les fidèles la messe ardente de minuit, il y avait un tel air rộpandu sur la sombre faỗade quon eỷt dit que le grand portail dévorait la foule et la rosace la regardait Et tout cela venait de Quasimodo L’Egypte l’eût pris pour le dieu de ce temple; le moyen-âge l’en croyait le démon; il en était l’âme ( IV, III) ( 1831) MUSSET ( Afred de) ( 1810-1857) ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR [….] (Entre Perdican) Camille Bonjour, cousin, asseyez-vous Perdican Quelle toilette, Camille ! A qui en voulez-vous? Camille A vous, peut-être; je suis fâchée de n’avoir pu me rendre au rendez-vous que vous m’avez demandé; vous aviez quelque chose me dire? Perdican, part Voilà, sur ma vie, un petit mensonge assez gros, pour un agneau sans tache; je l’ai vue derrière un arbre écouter la converstation (Haut.) Je n’ai rien vous dire, qu’un adieu, Camille, je croyais que vous partiez; cependant votre cheval est l’écurie, et vous n’avez pas l’air d’être en robe de voyage Camille J’aime la discussion; je ne suis pas bien sûre de ne pas avoir eu envie de me quereller, encore avec vous Perdican A quoi sert de se quereller, quand le raccommodement est impossible? Le plaisir des disputes, c’est de faire la paix Camille Etes-vous convaincu que je ne veuille pas la faire? Perdican Ne raillez pas; je ne suis pas de force vous répondre Camille Je voudrais qu’on me fỵt la cour; je ne sais si c’est que j’ai une robe neuve, mais j’ai envie de m’amuser Vous m’avez proposé d’aller au village, allons-y, je veux bien; mettons-nous en bateau; j’ai envie d’aller dỵner sur l’herbe, ou de faire une promenade dans la forêt Fera-t-il clair de lune, ce soir? Cela est singulier: vous n’avez plus au doigt la bague que je vous donnée Perdican Je l’ai perdue Camille C’est donc pour cela que je l’ai trouvée; tenez, Perdican, la voilà Perdican Est-ce possible? Où l’avez-vous trouvée? Camille Vous regardez si mes mains sont mouillées, n’est-ce pas? En vérité, j’ai gâté ma robe de couvent pour retirer ce petit hochet d’enfant de la fontaine Voilà pourquoi j’en mis une autre, et je vous dis, cela m’a changée; mettez donc cela votre doigt Perdican Tu as retiré cette bague de l’eau, Camille, au risque de te précipiter? Est- ce un songe? La voilà; c’est toi qui me la mets au doigt! Ah! Camille, Pourquoi le rends-tu, ce triste gage d’un bonheur qui n’est plus? Parle, coquette et imprudente fille, purquoi pars-tu?Pourquoi restes-tu? Pourquoi, d’une heure l’autre, changes-tu d’apparence et de couleur, comme la pierre de cette bague chaque rayon du soleil? Camille Connaissez-vous le coeur des femmes, Perdican? Etes vous sûr de leur inconstance, et savez-vous si elles changent réellement de pensée en changeant quelquefois de langage? Il y en a qui disent que non Sans doute, il nous faut souvent jouer un rôle, souvent mentir; vous voyez que je suis franche; mais êtes-vous sûr que tout mente dans une femme, lorsque sa langue ment? Avez-vous bien réfléchi la nature de cet être faible et violent, la rigueur avec laquelle on le juge, aux principes qu’on lui impose? Et qui sait si, forcée tromper par le monde, la tête de ce petit être sans cervelle ne peut pas y prendre plaisir, et mentir quelquefois par passe-temps, par folie, comme elle ment par la nécessité? Perdican Je n’entends rien tout cela, et je ne mens jamais Je t’aime, Camille, voilà tout ce que je sais Camille Vous dites que vous m’aimez, et vous ne mentez jamais? Perdican Jamais Camille En voilà une qui dit pourtant que cela vous arrive quelquefois ( elle lève la tapisserie; Rosette part dans le fond, évanouie sur une chaise) Que répondez vous cette enfant, Perdican, lorsqu’elle vous demandera compte de vos paroles? si vous ne mentez jamais, d’où vient donc qu’elle s’est évanouie en vous entendant me dire que vous m’aimez? Je vous laisse avec elle; tâchez de la faire revenir […] ( Acte III, scène 6) ( 1834) BALZAC ( Honoré de) (1799-1850) LE PERE GORIOT “ Je veux mes filles! Je les faites, elles sont moi”, dit-il en se dressant sur son séant, en montrant Eugène la tête dont les cheveux blancs ộtaient ộpars et qui menaỗait par tout ce qui pouvait exprimer la menace - Allons, lui dit Eugène, recouchez-vous, mon bon père Goriot, je vais leur écrire Aussitôt que Bianchon sera de retour, j’irais si elles ne viennent pas - Si elles ne viennent pas? Répéta le viellard en sanglotant Mais je serai mort, mort dans un accès de rage, de rage! En ce moment, je vois ma vie entière Je suis dupe! Elles ne m’aiment pas, elles ne m’ont jamais aimé! Cela est clair Si elles ne sont pas venues, elles ne viendront pas Plus elles auront tardé, moins elles se décideront me faire cette joie Je les connais Elles n’ont jamais su rien deviner de mes chagrins, de mes douleurs, de mes besoins, elles ne devineront pas ma mort; elles ne sont seulement pas dans le secret de ma tendresse Oui, je le vois, pour elles, l’habitude de m’ouvrir les entrailles a ôté du prix tout ce que je faisais Elles auraient demandé me crever des yeux, je leur aurais dit: “ Crevez-les!” je suis trop bête Elles croient tous les pères sont comme le leur Il faut toujours faire valoir Leurs enfants me vengeront Mais c’est dans leurs intérêts de venir ici Prévenez-les donc qu’elles compromettent leur agonie Elles commettent tous les crimes en un seul Mais allez donc, dites leur donc, ne pas venir, c’est un parricide! Elles en ont assez commis sans ajouter celuilà Criez donc comme moi: Hé, Nasie! Hé, Delphine! Venez votre père qui a été si bon pour vous et qui souffre!” Rien, personne Mourrai-je donc comme un chien ? Voilà ma récompense, l’abandon Ce sont des infâmes, des scélérates; je les abomine, je les maudis; je me relèverai, la nuit, de mon cerceuil pour les remaudire, car enfin, mes amis, ai-je tort ? elles se conduisent bien mal? Hein ? Qu’est ce que je dis ? Ne m’avez-vous pas averti que Delphine est ? C’est la meuilleure des deux Vous êtes mon fils, Eugène, vous! Aimez-la ! soyez un père pour elle L’autre est bien malheureuse Et leurs fortunes ! Ah ! Mon Dieu ! J’expire ! je souffre un peu trop ! coupez moi la tête, laissez-moi seulement le coeur - Christophe, allez chercher Bianchon, s’écria Eugène, épouvanté du caractère que prenaient les plaintes et les cris du vieillard, et ramenez-moi un cabriolet - Je vais aller chercher vos filles, mon bon père Goriot, je vous les amènerai - De force, de force ! Demandez la garde, la ligne, tout ! tout, dit-il en jetant Eugène un dernier regard où brilla la raison Dites au gouvernement, au procureur du roi, qu’on me les amène, je le veux ! ( IV, 1834) FLAUBERT ( Gustave) (1821- 1880) MADAME BOVARY Le printemps reparut Elle eut des étouffements aux premières chaleurs, quand les poiriers fleurirent Dès le commencement de juillet, elle compta sur ses doigts bien de semaines lui restaient pour arriver au mois d’octobre, pensant que le marquis d’Andervilliers, peut-être, donnerait encore un bal la Vaubyessard Mais tout septemdre s’écoula sans lettres ni visites Après l’ennui de cette déception, son coeur, de nouveau, resta vide, et alors la sộrie des mờmes journộes recommenỗa Elle allait donc maintenant se suivre la file, toujours pareilles, innombrables, et n’apportant rien! Les autres existences, si flattes qu’elles fussent, avaient du moins la chance d’un événement Une aventure amenait parfois des péripéties l’infini, et le décor changeait Mais, pour elle, rien n’arrivait, Dieu l’avait voulu! L’avenir était un corridor noir, et qui avait au fond sa porte bien fermée Elle abandonna la musique Pourquoi jouer? Qui l’entendrait? Puisqu’elle ne pourrait jamais, en robes de velours manches courtes, sur un piano d’Erard, dans un concert, battant ses doigts légers les touches d’ivoires, sentir comme une brise, circuler autour d’elle ume murmure d’extase, et ce n’était pas la peine de s’ennuyer étudier Elle laissa dans l’ armoire ses cartons dessin et la tapisserie À quoi bon? À quoi bon? La couture l’irritait “ J’ai tout lu” se disait-elle Et elle restait faire rougir les pincettes, ou regadant la pluie tomber Comme elle était triste, le dimanche, quand on sonnait les vêpres! Elle écoutait, dans un hébétement attentif, tinter un un les coups fêlés de la cloche Quelque chat sur les toits, marchant lentement, bombait son dos aux rayons pâles du soleil Le vent, sur la grande route, soufflait des trnées de poussière Au loin, parfois, un chien hurlait: et la cloche, temps égaux, continuait sa sonnerie monotone qui se perdait dans la campagne Cependant, on sortait de l’église Les femmes en sabots cirés, les paysans en blouse neuve, les petits enfants qui sautillaient nu-tête devant eux, tout rentrait chez soi Et jusqu’à la nuit, cinq ou six hommes, toujours les mêmes, restaient jouer au bouchon, devant la grande porte de l’auberge L’hiver fut froid Les carreaux, chaque matin, étaient chargés de givres, et la lumière, blanchâtre travers eux, comme par des verres dépolis, quelquesfois ne variait pas de la journée Dès quatre heures du soir, il faillait allumer la lampe Les jours qu’il faisait beau, elle descendait dans le jardin La rosée avait laissé sur les choux des guipures d’argent avec de longs fils clairs qui s’étendaient de l’un l’autre On n’entendit pas d’oiseaux, tout semblait dormir, l’espalier couvert de paille et la vigne comme un serpent malade sous un chaperon du mur, où l’on voyait, en s’approchant, se trner des cloportes pattes nombreuses Dans les sapinettes, près de la haie, le curé en tricorne qui lisait son bréviaire avait perdu le pied droit, en même le plâtre, s’écaillant la gelée, avait fait des gales blanches sur sa figure Puis elle remontait, fermait la porte, étalait les charbons, et, défaillant la chaleur du foyer, sentait l’ennui plus lourd qui retombait sur elle Elle serait bien descendue causer avec la bonne, mais une pudeur la retenait ( I, IX) ( 1857) ZOLA ( Emile) ( 1840-1902) AU BONHEUR DES DAMES Mouret avait l’unique passion de vaincre la femme Il la voulait reine dans sa maison Il lui avait bâti ce temple, pour l’y tenir sa merci C’était toute sa tactique, la griser d’attentions galantes et trafiquer de ses désirs, exploiter sa fièvre Aussi, nuit et jour, se creusait-il la tête, la recherche des trouvailles nouvelles Déjà, voulant éviter la fatigue des étages aux dames délicates, il avait fait installer deux assenceurs, captionnés de velours Puis il venait d’ovrir un buffet, où l’on donnait graituitement des sirops et des biscuits, et un salon de lecture, une galerie monumentale, décorée avec un luxe trop riche, dans laquelle il risquait même des expositions de tableaux Mais son idée la plus profonde était, chez la femme sans coquetterie, de conquérir la mère par l’enfant ; il ne perdait aucune force, spéculait sur tous les sentiments, créait des rayons pour les petits garỗons et fillettes, arrờtait des mamans au passage, en offrant aux bébés des images et des ballons Un trait de génie que cette prime des ballons, distribués chaque acheteuse, des ballons rouges, la fine peau de caoutchouc, portant en grosses lettres le nom du magasin, et qui, tenu au bout d’un fil, voyageant en l’air , promenaient par les rues une réclame vivante ! La grande puissance était surtout la publicité Mouret en arrivait dépenser par an trois cent mille francs de catalogues, d’annonces et d’affiches Pour sa mise en vente des nouveautés d’été, il avait lancé deux cent mille catalogues, dont cinquante mille l ‘étranger, traduits dans toutes les langues Maintenant, il les faisait illustrer de gravures, il les accompagnait même d’échantillons, collés sur les feuilles C’était un débordement d’étalages, le Bonheur des Dames sautait aux yeux du monde entier, envahissait les murailles, les journaux, jusqu’aux rideaux des théâtres Il professait que la femme est sans force contre la réclame, qu’elle finit fatalement par aller au bruit Du reste, il lui tendait des pièges plus savants, il l’analysait en grand moraliste Ainsi, il avait découvert qu’elle ne résistait pas au bon marché, qu’elle achetait sans besoin, quand elle croyait conclure une affaire avantageuse ; et, sur cette observation, il basait son système des diminuations de prix, il baissait progressivement les articles non vendus, préférant les ventes perte, fidèle au principe du renouvellement rapide des marchandises ( IX) (1883) VERLAINE (Paul) (1844-1896) MON REVE FAMILIER Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chanque fois, ni tout fait la même Ni tout fait une autre, et m’aime et me comprend Car elle me comprend, et mon coeur, transparent Pour elle seule, hélas! Cesse d’être un prolème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafrchir, en pleuant Este-elle brune, blonde ou rousse?−Je l’ignore Son nom ? Je me souviens qu’il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila Son regard est pareil au regrad des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L’inflexion des voix chères qui se sont tues (Poèmes saturuniens; Melancholia, VI) (Poème publié en 1866) RIMBAUD (Arthur) (1854-1891) MA BOHEME Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes Mon auberge était la Grande-Ourse - - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentaits des gouttes De rosée mon front, comme un vin de vigeur ; Où, timant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur ! ( Poésies puplié en 1889) ... et de la prose se séparent radicalement : Le Symbolisme et Le Naturalisme Ces deux tendances opposées reflètent la même attitude des écrivains devant la réalité de leur temps Ils éprouvent tous... stratégie de la formation et de la politique des relations internationales de notre université en général et du département des langues étrangères en particulier La section a des relations avec... l’université devrait être convenablement établi Comme tous les départements de l’université de Vinh, le département des langues ộtrangốres dont la section de franỗais, forme des enseignants selon des