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Introduction
A l’heure actuelle, les langues étrangères jouent un rôle très important dans la vie
sociale. Avec la tendance d’ouverture actuelle, elle est considérée comme atout pour des
échanges culturels, scientifiques, commerciaux…entre les pays dans le monde. De par
cette importance, l’apprentissage des langues étrangères devient indispensable pour la
communication et lacompréhension mutuelle. Le français se met aussi dans cette situation.
Le but final de cet apprentissage n’est plus seulement d’enseigner les connaissances
du français mais d’enseigner à communiquer en français. La langue est reconnue comme
un moyen de communication permettant de véhiculer des idées tant à l’oral qu’à l’écrit.
Pour bien communiquer en langue étrangère, les apprenants doivent acquérir, lors
de leur apprentissage, quatre compétences de communication : lacompréhension orale, la
compréhension écrite, l’expression orale et l’expression écrite. Lacompréhensionécrite
joue un rôle très important dans l’acquisition d’une langue étrangère. Grâce àla
compréhension écrite, les apprenants touchent aux textes, s’approchent des phénomènes
linguistiques, se mettent en contact avec des cultures riches et variées…Elle aide les
apprenants non seulement dans le ramassage des connaissances générales mais aussi dans
l’acquisition du vocabulaire individuel.
Malgré l’apparition des modernes moyens de communication, lacompréhension
reste toujours au premier rang car la plupart des contacts se font à travers des textes écrits :
les lettres, la presse, les romans, les messages écrits…
En outre, la nécessité de lacompréhensionécrite est justifiée par la relation entre
elle avec les trois autres compétences de communication. Elles se lient étroitement. Ainsi,
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à travers l’enseignement de lacompréhension écrite, on peut développer lacompréhension
orale, l’expression écrite et l’expression orale.
I. Motivation du choix du sujet
En tant qu’enseignant de français langue étrangère aulycéeà option àBac Giang,
nous constatons que l’enseignement de lacompréhensionécriteà ce lycée ne répond pas
encore aux demandes d’une “classe à option”. En réalité, nous trouvons que dans le cours
de compréhension écrite, l’enseignant a tendance à expliquer le texte, le vocabulaire ou la
grammaire sans donner aux élèves des stratégies d’approche pour en tirer des informations
désirées…Autrement dit, on enseigne la langue à travers l’écrit au lieu d’enseigner la
compréhension écrite. On a aussi observé que les élèves utilisent souvent la traduction
comme la seule stratégie de compréhension d’un texte. C’est le manque de connaissances
encyclopédiques, de références culturelles, de connaissances de langues et de
connaissances textuelles et génériques qui entravent leur compréhension.
Travaillant comme un enseignant du français aulycéeà option àBac Giang, nous
observons aussi que les élèves sont très forts en grammaire mais encore faibles en
compréhension écrite bien qu’ils possèdent un grand volume de vocabulaire.
Dans le concours national des meilleurs lycéens de français, l’évaluation de la
compréhension écrite occupe une place très importante dans la structure du test.
En travaillant comme un enseignant du français à ce lycée, nous avons constaté que
le taux de succès des élèves de cette école dans le concours national des meilleurs lycéens
de français chaque année est encore modeste (en 2002 : 25%, en 2003 : 25%, en 2004 :
13%, en 2005 : 13%).
Alors, est-ce que le manque de la stratégie de lecture est la causse essentielle de
l’échec des élèves de ce lycée ?
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Toutes ces raisons nous ont poussé à nous orienter vers l’étude de l’enseignement
de lacompréhensionécrite en FLE chez les élèves des classes de français à option àBac
Giang. Plus précisément, les deux questions qui suivent font l’objet de la présence étude :
1. Les élèves des classes du français à option àBacGiang ont- ils l’habitude
d’utiliser des stratégies de compréhension lorsqu’ils ont accès à un texte en français langue
étrangère ?
2. L’enseignement des stratégies de compréhension en lecture aux élèves des
classes de français peut- il améliorer la qualité de leur apprentissage de lecture en français
langue étrangère ?
Nous sommes donc en mesure de faire les trois hypothèses suivantes :
Hypothèse 1 : Les élèves des classes de français du lycéeà option àBacGiang
n’ont pas l’habitude d’utiliser des stratégies de lecture lorsqu’ils ont accès à un texte en
français langue étrangère .
Hypothèse 2 : Les élèves des classes de français du lycéeà option àBacGiang
n’ayant pas l’habitude d’utiliser des stratégies de lecture ont difficultés de compréhension
des textes en français langue étrangère.
Hypothèse 3 : Il est possible d’enseigner des stratégies de compréhension en
lecture aux élèves des classes de français du lycéeà option àBacGiang pour améliorer la
qualité de leur apprentissage de lecture du français langue étrangère.
II. Méthodologie de recherche
Notre recherche s’inscrit dans la recherche descriptive. Dans notre recherche, nous
allons aborder les étapes qui suivent :
1. Réaliser une enquête auprès des élèves des classes de français au
lycée à option àBac Giang.
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2. Analyser les résultats de l’enquête pour trouver les difficultés chez
eux dans l’apprentissage de lacompréhensionécrite du français langue
étrangère.
3. Elaborer quelques propositions pour l’enseignement de lacompréhension
écrite pour améliorer la qualité de leur apprentissage de lecture du français langue
étrangère.
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pREMIÌRE PARTIE: cADRE THÐORIQUE DE LA RECHERCHE
Chapitre 1 : Généralités de lacompréhensionécrite
I. Compréhension en lecture
La conception de lacompréhension en lecture a beaucoup évolué au cours de la
dernière décennie.
Deux aspects principaux distinguent les modèles traditionnels de compréhension
des modèles plus contemporains. Le premier concerne la hiérarchisation des habiletés : la
compréhension en lecture est passé d’un modèle centré sur des listes séquentielles
d’habiletés à un modèle plus global orienté vers l’intégration des habiletés. Le deuxième
aspect concerne la part du lecteur dans lacompréhension : l’idée de réception passive du
message a laissé la place àla notion d’interaction texte- lecture.
Une des différences la plus marquées entre l’ancienne et la nouvelle conception de
la lecture réside dans le rôle du lecteur dans la compréhension.
Traditionnellement, tant les chercheurs que les enseignants concevaient la
compréhension en lecture comme un ensemble de sous- habiletés qu’il fallait enseigner les
unes après les autres de façon hiérarchique (décorder, trouver la séquence des actions,
identifier l’idées principale…). Ils croyaient que la maîtrise de ces habiletés était
synonyme de la maîtrise de la lecture. Autrefois, on croyait aussi que le sens se trouvait
dans le texte et que le lecteur devait le « pêcher ». Ils s’agissait d’une conception de
transposition : on croyais que le lecteur ne faisait que transposer dans sa mémoire un sens
précis déterminé par l’auteur.
Aujourd’hui, on conçoit plutôt que le lecteur crée le sens du texte en se servant àla
fois du texte, de sens propres connaissances et de son intention de la lecture. Ce principe
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rend souvent les enseignants mal à l’aise. En effet, ils craignent que le fait de mettre
l’accent sur le lecteur ne laisse trop de liberté à l’interprétation : ils veulent que les élèves
comprennent ce que « l’auteur a écrit » (Chase et Hynd, 1987). Il faut bien saisir que créer
le sens du texte ne veut pas dire le texte peut signifier « n’importe quoi » (Orasanu et
Penney, 1986; Tardif, 1989). Ce qui se passe, en fait, c’est que l’auteur utilise certaines
conventions et laisse de côté les informations qu’il suppose connues du lecteur. Par contre,
si cette supposition ne se vérifie pas, le message de l’auteur sera évidemment mal compris.
Que la lecture est un processus interactif fait maintenant l’unanimité chez les
chercheurs (Page, 1985; Mosenthal, 1989). Il existe également un consensus à propos de
grandes composantes du modèle de compréhension en lecture, c'est-à-dire le texte, le
lecteur et le contexte.
Jocelyne Giasson (1990), dans son ouvrage « lacompréhension en lecture » a
donné un modèle de compréhension qui fait consensus.
Globalement, les structures font référence à ce que le lecteur est (ses connaissances
et ses attitudes) alors que le processus font référence à ce qu’il fait durant la lecture
(habiletés mise en oeuvre).
La variable texte concerne le matériel à lire et peut être considérée sous trois
aspects principaux : l’intention de l’auteur, la structure et le contenu.
- La structure fait référence àla façon dont l’auteur a organisé les idées dans le texte.
- L’intention de l’auteur détermine en fait l’orientation des deux autres éléments.
- Le contenu renvoi aux concepts, aux connaissances, au vocabulaire que l’auteur a décidé
de transmettre.
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Le contexte comprend des éléments qui ne sont pas partie littéralement du texte et
qui ne concernent pas directement les structures ou les processus de lecture, mais qui
influent sur lacompréhension du texte.
On peut distinguer trois contextes :
- Le contexte psychologique : intention de lecture, intérêt pour le texte….
- Le contexte social : les interventions de l’enseignement, des pairs…
- Le contexte physique : le temps disponible, le bruit…
Bref, on peut comparer la lecture àla performance d’un orchestre symphonique; en effet,
pour interpréter une symphonie, il ne suffit pas que chaque musicien connaisse sa partition,
mais encore faut- il que toutes ces partitions soient jouées de façon harmonieuse par
l’ensemble des musiciens. De plus, nous dirons que tout comme pour une pièce de
musique, il y a plusieurs façons d’interpréter un texte, cette interprétation dépend les
connaissances du lecteur, de son intention et des autres éléments du contexte.
II. Trois variables dans lacompréhension de textes : lecteur- texte-
contexte
« Lacompréhension en lecture variera selon le degré de relation entre les trois
variables : plus les variables lecteur, texte et contexte seront imbriquées les unes dans les
autres, « meilleur » sera la compréhension. » (Giasson, 1990 : 7)
La compréhension de texte est aussi « le résultat d’une interaction entre un
individu et un texte » (Denhière, 1984 : 19), interaction qui s’inscrit le plus souvent dans
un contexte social puisque sa fonction première est la communication interpersonnelle.
Trois types de facteurs peuvent avoir un impact sur la performance de
compréhension :
- les caractéristiques du lecteur (traitement)
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- les caractéristiques du texte (instruction)
- le contexte dans lequel se déroule la tâche (lecture)
Figure 1 : Interaction lecteur- texte- contexte
Source : Adam (1998 : 12)
Intentions
II.1. Lecteur
Les modèles récents en compréhension de texte supposent deux facteurs importants
à considérer dans l’analyse des caractéristiques du lecteur : les structures de connaissances
et les processus psychologiques
* Les structures de connaissances
Les structures de connaissances font habituellement référence au contenu de la
mémoire autant comme base de connaissances existantes comme lieu de stockage des
informations présentées dans le texte.
On distingue les connaissances sur la langue et les connaissances sur le monde
Les connaissances que procède le lecteur sur la langue lui seront d’une grande
utilité dans lacompréhension en lecture. Il existe quatre catégories de connaissances sur la
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Texte
Lecteur
Contexte
langue que l’enfant développe de façon naturelle dans son milieu familial, et ce avant
d’aborder l’apprentissage de la lecture.
- Connaissances phonologiques: distinguer les phonèmes propres à sa langue
- Connaissances syntaxiques: ordre des mots dans la phrase
- Connaissances sémantiques: connaissances du sens des mots et des relations qu’ils
entretiennent entre eux.
- Connaissances pragmatiques: savoir quand utiliser telle formule, sur quel on parler à telle
personne.
En gros, l’ensemble de ces connaissances sur a langue orale permettra au jeune
lecteur de faire des hypothèses, d’une part, sur la relation entre l’oral et l’écrie et d’autre
part sur le sens du texte.
* Les connaissances sur le monde
L’évolution des recherches en compréhensionau cours de quinze dernières années
a conduit les chercheurs à s’intéresser de plus en plus au rôle des connaissances initiales
des lecteurs dans des tâches de mémorisation et d’apprentissage. La communication, la
lecture, la mémorisation, lacompréhension et la production de textes, l’apprentissage et
l’acquisition du vocabulaire ne peuvent être convenablement décrits sans tenir compte du
rôle des connaissances déjà en mémoire. Cela s’applique àlacompréhension de textes dont
l’une des activités essentielles est la construction de signification qui ne se retrouve pas
toujours dans le texte.
En somme, on peut affirmer que les connaissances antérieures influencent la
compréhension de texte et l’acquisition de connaissances nouvelles. Les élèves avec des
connaissances antérieures plus développées retiennent plus d’informations et mieux les
comprennent.
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* L’organisation des connaissances sous forme de schémas la théorie des schémas
est utilisée dans l’explication de presque tous les phénomènes du processus de
compréhension, Les schémas facilitent l’organisation des informations lues en favorisant
l’intégration des connaissances, l’application des macro-règles, l’identification des idées
importantes (Hasher et Zacks, 1984; Kintsch et Yarbough, 1982…). Ils accélèrent le
traitement des informations en facilitant les inférences, les anticipations, les prédictions et
la clarification des ambiguïtés, des confusions (Kintsch et coll., 1977…)
Enfin, les schémas ont aussi le rôle de contrôle. Ils contrôlent l’entré de
l’information, guident le traitement, l’évaluent et voient aux modifications lorsqu’elles sont
nécessaires.
II.2. Texte
Le texte est un facteur important dans l’activité de compréhension. L’étude de ses
composantes et de ses caractéristiques permettra de mieux aider le lecteur dans la
compréhension de textes.
Il existe des points de vue assez différents sur la variable dans le processus de
lecteur interactive, nous nous partageons avec les conceptions de Deschênes (1988) et
d’Adam (1990, 1998).
A propos des caractéristiques du texte, Deschênes (1988) établit la distinction
traditionnelle entre la forme (les aspects linguistiques) et le contenu (les aspects
sémantiques).
- Par forme, il regroupe les mots, les phrases, les propositions, les paragraphes et
les structures globales (narrative, descriptive, informative…)
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[...]... groupe de mots dans une langue donnộe, lapprenant accốde au sens dun message par une opộration appelộe dộcodage Pour que lapprenant puisse traiter un texte et le comprendre, il faut activer chez lui les opộrations de saisie de sens de haut niveau et de bas niveau 26 Les opộrations de haut niveau portent sur le sens ou la portộe globale du texte : reconnaissance du domaine rộfộrentiel auquel appartient le... littộraires ộcrits dans la langue cible et de les traduire autant de la langue cible la langue de dộpart que linverse Lactivitộ dE/A est centrộe sur lenseignement du lexique, des rốgles grammaticales, sur la traduction et la frộquentation exclusive de lộcrit littộraire Les supports de cette activitộ sont des textes littộraires de bons auteurs prộsentộs sous forme des morceaux choisis, suivis des questions,... questions, doự prộvient le choix du vocabulaire enseignộ, trốs riche, littộraire, passif et toujours soignộ Ces textes dont la lecture se fait toujours par un balayage du mot mot servent ộgalement de base lộtude des faits grammaticaux La composante sonore de la langue ộtrangốre se retire au 2 ố rang tandis quon met laccent sur la comprộhension ộcrite qui est vue comme la comprộhension des mots, des phrases,... listes de vocabulaire organisộes autour des thốmes de la vie quotidienne Apparue la fin du XIXố siốcle, la mộthode directe sinscrit en rupture avec la mộthode grammaire/ traduction Elle est considộrộe historiquement par C Puren comme la premiốre mộthodologie spộcifique lenseignement des langues vivantes ộtrangốres La mộthode directe constitue une approche naturelle de lapprentissage dune langue fondộe... gộnộrale (on tient compte dộsormais de la motivation des apprenants, on adapte les mộthodes aux intộrờts, aux besoins aux capacitộs de ces derniers, on applique une certaine progression des contenus) et que la rupture entre la mộthode traditionnelle et la mộthode directe se situe au niveau de la pộdagogie gộnộrale de rộfộrence, ce qui apporte une grande nouveautộ dans lenseignement/ apprentissage des... diffộrents niveaux du texte Chaque niveau de lecture permet lapprenant de crộer des hypothốses de sens et le met dans une situation dattendre perceptive 28 Chapitre 3 : Enseignement de la comprộhension ộcrite I Modốles de comprộhension ộcrite Sil fallait ordonner les habiletộs cognitives selon leur importance, il faudrait, selon Reed (1982), placer la comprộhension au premier rang Lactivitộ comprendre... sous forme inductive et implicite : partir dexemples bien choisis, on conduit lapprenants dộcouvrir les rộgularitộs de certaines formes ou 36 structures et induire la rốgle qui ne peut pas ờtre explicitộe ni dans la langue maternelle, ni vraiment dans la langue ộtrangốre - laccent est mise sur lacquisition de loral : La prộdominance de loral, qui sexerce par tout un jeu de saynốtes ou dactivitộs... appropriộs au contexte et exclut des rộseaux propositionnels les ộlộments non conformes la reprộsentation du texte, intộgrant ainsi le texte en un tout cohộrent Ces items sont interconnectộs les uns aux autres par des positions auxquelles sont associộes des forces de connexion pouvant ờtre soit positives si lactivation dun noeud dộtermine lactivation dun autre noeud, soit nộgatives si lactivation... faisant attention au repộrage des relations logiques de bases, partir des rộalisations linguistiques ou pour dautres dont la fonction critique se fait souvent aprốs lapproche globale que demande cette lecture II.2 La lecture ộcrộmage Cette stratộgie demande lộlốve- lecteur de parcourir des yeux le texte quil doit lire par des balayages en diagonale peu ouverte et la verticale, et par des balayages lhorizontale... XVIII ố siốcle, la demande sociale dapprentissage des langues a ộvoluộ On avait alors besoin dune connaissance plus pratique des langues ộtrangốres Cest ainsi que lon remettait en question la mộthode traditionnelle et on prộparait lavốnement de la mộthode directe avec des cours qui intộgraient, autour des textes de base, des contenus grammaticaux graduộs et rộduits et qui multipliaient, au fur et musure . français langue étrangère au lycée à option à Bac Giang,
nous constatons que l’enseignement de la compréhension écrite à ce lycée ne répond pas
encore aux. compétences de communication : la compréhension orale, la
compréhension écrite, l’expression orale et l’expression écrite. La compréhension écrite
joue un rôle