Đây là bài nghiên cứu bằng tiếng Pháp về ứng dụng ngôn ngữ cơ thể trong phỏng vấn xin việc. Do các bạn sinh viên mới ra trường thường gặp nhiều khó khăn trong việc thuyết phục nhà tuyển dụng nên báo cáo khoa học này hướng đến việc sử dụng nhuần nhuyễn các kiến thức về ngôn ngữ cơ thể trong phỏng vấn xin việc. Ngôn ngữ cơ thể được sử dụng để đoán biết suy nghĩ của nhà tuyển dụng và để thể hiện bản thân.
Trang 1UNIVERSITÉ NATIONALE DE HANOЇ ÉCOLE DE LANGUES ET D’ÉTUDES INTERNATIONALES Département de langue et de culture françaises
Trang 2Hano – 2014 ї – 2014 TABLE DE MATIÈRE
INTRODUCTION 3
I Raison du choix du sujet 3
II Cadre et objectifs de la recherche 3
III Questions de la recherche et hypothèses de recherche 3
CHAPITRE I LANGAGE CORPOREL 5
I.1 Définition 5
I.2 Rôle du langage corporel dans la communication 6
I.3 Importance du langage corporel dans l’entretien d’embauche 7
CHAPITRE II PROPOSITIONS SUR LA PRATIQUE DU LANGAGE COPOREL POUR RÉUSSIR L’ENTRETIEN D’EMBAUCHE 9
II.1 DÉCRYPTAGE LE LANGAGE CORPOREL DES RECRUTEURS 9
II.1.1 Mécontentement 10
II.1.2 Intérêt 11
II.2 UTILISATION DU LANGAGE NON-VERBAL POUR FAIRE UNE BONNE PREMIÈRE IMPRESSION 13
II.2.1 Langage de la tête 13
II.2.2 Langage du visage (les yeux, le nez, les lèvres…) 14
II.2.3 Langage des mains 16
II.2.4 Langage des jambes et des pieds 18
II.3.1 Première impression de l’accueil 20
II.3.2 Conseils pendant l’entretien d’embauche 22
II.3.3 Clôture de l’entretien d’embauche avec succès 27
CONCLUSION 29
BIOGRAPHIE 31
Trang 4I Raison du choix du sujet
Actuellement, les élèves, les étudiants sortent de l’école avec des lacunesgraves dans les compétances sociales, les savoir-faire et les savoir-être Ilsconnaissent donc des difficultés à trouver un emploi, notamment dans en temps
de crise économique Ils ne réussissent pas à arffirmer leur capacité, à persuaderles recruteurs ou à négocier le salaire
Face à cette question, nous voulons faire une recherche sur utilisation dulangage du corps pour réussir l’entretien d’embauche En effet, la communicationnon-verbale comprend toutes les formes de communication exprimées autrementque par les mots Elle regroupe, entre autres, les expressions faciales, le regard, laposture, les gestes, le comportement vocal, les caractéristiques physiques ainsique l’habillement Le comportement non-verbal fait partie des éléments essentiels
à la prise de décision d’embauche Il est donc nécessaire de prêter attention auxcomportements que l’onva exprimer lors des entretiens auxquels on participera
II.Cadre et objectifs de la recherche
-Cadre : langage gestuel du recruteur et du candidat
-Objectif de la recherche : aider des jeunes diplômés à connaître le langagecorporel et à savoir utiliser de façon appropriée le langage du corps pour réussirl’entretien d’embauche
III Questions de la recherche et hypothèses de recherche
Questions de recherche :
Trang 5-Qu’est-ce que le langage du corps ?
-Comment décrypter le langage du corps des recruteurs ?
-Comment utiliser le langage du corps lors d'un entretien d'embauche pourréussir l’entretien d’embauche ?
Hypothèse de recherche :
-Le langage du corps est un facteur important dans la communication
-On peut décrypter le langage corporel des recruteurs
-Les candidats peuvent réussir d’entretien d’embauche grâce à l’utilisationappropriée du langage du corps
Méthodologie de recherche: la recherche est sur la base sur la recherchedocumentaire et l'analyse des données
Trang 6CHAPITRE I LANGAGE CORPOREL
Figure I.1 Chaque geste est un parole
La communication non-verbale est du domaine de la psychologie (études desémotions) et de l'éthologie Elle bénéficie d'apports provenant de l'anthropologie,
la sociologie, de l'ethnologie et des neurosciences Les récentes avancéestechnologiques dans le domaine de l'imagerie cérébrale permet aujourd'hui depréciser des connaissances et des observations du passé Cela contribue à validercertaines théories, et en invalider d'autres
Trang 7Le corps fait passer un message aussi efficace que les mots qu'on prononce.
De plus, les interlocuteurs réagissent sans s'en rendre compte aux messages verbaux mutuels; les interactions qui traversent un dialogue conduisent ou non à
non-un accord entre les interlocuteurs
On peut distinguer:
-Actes volontaires ou involontaires de communication, (conscients ouinconscients pour l'émetteur et/ou pour la cible), pouvant par exemple mobiliserdes processus type phéromonal ou hormonal ;
-Actes de communication impliquant ou non le contact physique avec l'autre(des caresses aux coups) ;
-Messages discrets (éventuellement quasi-subliminaux) ou ostentatoires ;
-Communication instinctivement et instantanément intelligibles par lesprotagonistes, ou au contraire nécessitant la connaissance d'un code de signescommun, ou d'une culture partagée (innéou acquis) Par exemple, un hochement
de tête de gauche à droite n'a pas la même signification en France qu'en Inde (ó ilsignifie l'approbation)
Dans le cadre de cette recherche, le langage corporel renvoie au langage de latête, du visage, des mains, des jambes, des pieds du candidat et du recruteur
I.2 Rơle du langage corporel dans la communication
On vit dans le monde fait d’interactions, d’échanges et de partaged’informations.Ces phénomènes s’appuient sur notre communication Il apparaỵtdonc nécessaire de mettre à jour les moyens à notre disposition pour envoyer etdécrypter les messages chargés de sens, afin de favoriser notre adaptation à notreenvironnement
Trang 8Le langage verbal est souvent considéré comme un bon moyen pourcommuniquer L'importance et l'impact de la communication non-verbale ontdonc longtemps été sous-estimés En effet, la chose la plus importante encommunication, c'est d'entendre ce qui n'est pas dit.
Figure I.2 Résultat d’une enquête conduite par ADIA
(Abu Dhabi Investment Authority)
Premièrement, les êtres humains ont la possibilité d'utiliser un langage verbal,dont ils tirent beaucoup d’expérience, et qui est, contrairement au langage non-verbal, étudié dans toutes les écoles
Deuxièmement,on utilise notre corps pour communiquer de façon inconsciente,naturelle, sans nous poser de questions sur l’efficacité du langage corporel.Cependant, les gestes ne mentent pas
En effet, alors que la communication verbale se limite aux mots employés, lacommunication non-verbale est extrêmement complexe et d'une grande variété
I.3 Importance du langage corporel dans l’entretien d’embauche
Selon l’enquête menée en 2012 par le Département desprévisions sur lesressources humaines et le marché du travail de la ville de Ho Chi Minh, le chômage
Trang 9chez les jeunes diplômés a atteint 50% Ce chiffre montre que les jeunes diplôméssont en pénurie de capacités professionnelles et de compétences relationnelles.Notamment, ils manquent des expériences d’affirmation en soi et de persuasiondes recruteurs lord d’entretien d’embauche.
Sûrement, il n’est pas si évident de trouver un travail au premier coin de rue.Même si on a un bon curriculum vitae, il n’est pas facile pour les candidats deréussir l’entretien d’embauche s’ils n’utilisent pas leur langage corporel de façoncorrecte
Figure I.3 Utilisation du langage corporel fait une bonne impression
D’ailleurs, le langage corporel relève en partie la personnalité, certainescompétence des candidats qui conditionnent d’autres Pour présenter un profitcomplet des candidats, le langage du corps constitue ainsi un des facteurs surlesquels s’appuie le recruteur pour évaluer les compétence des candidats et pourprendre les décisions
Ainsi, cette recherche fait une synthèse des propositions de l’utilisation dulangage corporel visant à aider des jeunes diplômés à décrypter la pensée desrecruteurs et à faire une bonne première impression pour réussir l’entretiend’embauche
Trang 10CHAPITRE II.PROPOSITIONS SUR LA PRATIQUE DU LANGAGE COPOREL POUR RÉUSSIR L’ENTRETIEN D’EMBAUCHE
Détecter les signaux que les autres nous envoient à travers leur langagecorporel fait partie des compétences sociales Certains des candidats sontcapables de lecomprendre facilement, d’autres manifestent ce langage defaçonnaturele Heureusement, grâce à un peu d'attention supplémentaire, onpourra apprendre à lire le langage corporel, et grâce à une pratique consciente,cela deviendra une seconde nature
II.1 DÉCRYPTAGE LE LANGAGE CORPOREL DES RECRUTEURS
L’entretien d’embauche vis à vérifier en quoi et comment les compétences ducandidat sont à même de répondre au poste à pourvoir Les recruteurspeuventêtrele futur supérieur direct, le Directeur des ressources humaines, l'ancientitulaire du poste ou la personne qui va nous mettre en relation avec les 3 autres.Ils évaluent et mettent en évidence les qualités du candidat : ses compétences, sa «motivation », sa capacité d'écoute, de compréhension, d'analyse, de synthèse,d'argumentation, d'adaptation, de maîtrise de soi, de discipline, de méthode detravail, d'élocution, de répartie, etc et permet au recruteur d'approfondir lestâches à accomplir
Lors d’un entretien d’embauche, les recruteurs peuvent démontrer desgestes qui exprime des différentes attitudes vis-à-vis des candidats Ces dernierspeuvent alors les décrypter pour réagir correctement Certe les attitudes du
Trang 11recruteur sont diverses, mais dans cette partie, on se limite à aborder seulementles deux attitudes essentielles: le mécontentement et l’intérêt.
II.1.1.Mécontentement
Le candidat veut toujours persuader les recruteurs et les contenter Danscertains cas, il n’y réussit pas.En regardant des gestes ci-dessous d’un recruteur,
on peut prendre cela comme un signe de mécontentement ou d'irritation :
Il secoue la tête : il ne partage pas l’option de l’interlocuteur ou ce que l’ondite ne le contente pas
Il secoue les jambes ou les pieds : il perd patience
Il a les bras croisés brusquement dans la conversation : Ce geste signifiel’indifférence, le « barrière » et l’attitude opposée Il refuse de donner son accord
Il a un plissement au niveau du haut du nez qui est typique du dégỏt
Il porte sa main devant la bouche :
Trang 12Image II.1.La main devant la bouche joue souvent le rôle d'une barrière
En revanche, si l'index se dresse, cela signifie que l’interlocuteur n'est pasd'accord et qu'il s'apprête à le dire dès qu'on lui laissera la parole Volonté de seplacer en retrait ou de marquer son opposition, on aura de toute façon intérêt àdonner la parole à votre interlocuteur pour l'impliquer dans la discussion ouécouter ses réserves
Il regarde vers le bas ou plie les bras en se penchant vers l’arrière
Il fait augmenter la distance entre les candidats et lui-même La distance estconsidérée comme le règle d’intimité On garde ses distances par rapport à lapersonne que l’on n’aime pas
Il se frotte le front : il est assez ou très mal à l’aise
Il se frotte le cou : il est fatigué ou en colère et il essaie de se calmer
Dans ce cas, le sourire constitue un outil efficace pour calmer les autres Il est
un signe d'ouverture et de disponibilité envers l’assistance Il s’agit un bon moyen
de gagner la bienveillance du public De plus, on peut rendre visibles les mains cequi indique la sincérité, la franchise
Trang 13Si le recruteur se contente de la qualité du candidat, normalement il nemontrera pas cette attitude de façon directive Voici comment décoder le langagecorporel de l’interlocuteur qui est intéressé par ce que l’on dit :
Il maintient le contact visuel avec l’interlocuteur plus de 60% du temps
Sa tête est légèrement inclinée vers l'avant
Il montre des signes d’acquiescement avec sa tête Cela signifie qu'il estattentif à ce que l’on dite
Ses pieds sont dirigés vers ce candidat
Il se sourit : il s’agit sûrement un geste d’encouragement, d’esprit ouvert
Leurs mains sont ouvertes à plat sur la table (signe d'authenticité)
Il met la main à la poitrine (signe d’ouverture et de sincérité, d'honnêteté
ou de dévouement)
Il a les jambes croisées Croiser les jambes est un signe de bien-être Toutsimplement car il est beaucoup plus difficile de pouvoir partir dans cette positionqu’un pied devant l’autre C’est pour cette raison qu’il ne faut pas être étonné devoir de proches amis, en synchronisation, se tenir debout les jambes croisées
Il pose son menton sur la paume ou le dos de ses mains
Trang 14Figure I.2 Le recruteur pose son menton sur la paume ou le dos de ses mainsSelon Philippe Turchet, "La position du poignet est garante de l'attitudementale Cette dernière aura tendance à se durcir, à se raffermir et le corps àentrer en rébellion si les poignets se ferment, quelle que soit par ailleurs l'attitudeouverte du visage" Une personne physiquement détendue, dont la tête repose surles paumes de ses mains, sera en totale décontraction et on écoutera enbienveillance "En revanche, si la tête repose sur le dos des mains et que lespoignets se ferment, l’interlocuteur sera plus en tension et à même de interpeller
le candidat agressivement", ajoute-t-il Cette tension des articulations reste un bonindicateur de l'état d'agitation de votre interlocuteur Il aiguille le candidat sur lecomportement que ce candidat doit adopter pour y faire face
II.2.UTILISATION DU LANGAGE NON-VERBAL POUR FAIRE UNE BONNE PREMIÈRE IMPRESSION
Il est extrêmement utile d’avoir la capacité de lire et de comprendre lelangage du corps Ne tenir compte que des mots qu’ils nous disent n’est pasgénéralement pas suffisant En revanche, en observant le langage corporel de soninterlocuteur, on saura tout de suite si telle personne est honnête dans ses propos
Trang 15et ce qu’elle ressent vraiment en profondeur De plus, grâce à ses expériences en
la matière, le candidat pourra faire une bonne première impression en faveur dusuccès de l’entretien d’embauche
II.2.1 Langage de la tête
Figure II.3 Hochements de tête
Hocher la tête signifie généralement « oui » ou « je suis d’accord », mais dansd’autres pays comme la Yougoslavie ou la Turquie, cela veut parfois dire « non »
Le fait de pencher la tête vers l’arrière ou sur le côté indique que la personneréfléchit profondément ou qu’elle prend en considération une idée ou unepossibilité
Si on voit passer quelqu'un avec la tête bien droite, il nous paraît aussitôt avoir del'assurance, de la confiance en lui, il semble manifester une certaine formed'autorité
Lors d'une conversation, il peut arriver qu'une personne incline sa tête vers lecôté ou vers l'arrière : dans ce cas, il s’agit fort à parier que celle-ci soit perduedans ses pensées ; peut-être est-elle en train de réfléchir profondément à unequestion ou à un problème qui lui est soumis, ou encore prend-elle vraiment enconsidération ce que l’on est en train de dire Si ce mouvement fait suite à unequestion que l’on avait posée, cela signifie que la personne qui nous fait face est entrain de réfléchir à la meilleure réponse à donner à l’interlocuteur
Trang 16En voici un autre -moins connu- qui s'utilise pour dire "NON" ou pourexprimer le désaccord : le lent déplacement (balancement) de la tête de l'avantvers l'arrière ! Attention une fois de plus aux différences culturelles, car danscertains pays, ce même mouvement s'apparente au hochement verticaltraditionnel qui veut dire "OUI".
II.2.2.Langage du visage (les yeux, le nez, les lèvres…)
Les expressions émotionnelles du visage sont-elles interprétées de manièredifférente en fonction de chaque culture ? Une étude anglaise relance la réflexion àpropos de l’hypothèse darwinienne d’universalité, sur laquelle s’est appuyé P.Ekman Plus exactement cette étude montre que certains filtres culturels peuventmodifier l’interprétation du récepteur Ces constatations ont été faites à partir detests « eyetracking » au cours desquels des sujets britanniques et chinoisobservaient des photos d’acteurs mimant les « émotions fondamentales »
Figure II.4 Établir un contact visuel et sourire
Le pistage du regard est effectivement, la méthode la plus adaptée pourcontrôler les perceptions visuelles que des interlocuteurs peuvent avoir de nosgestes Lors de tests menés au laboratoire Multicom, les chercheurs constatentqu’il apparaissait ceci : pour décoder une émotion (visage sur un écran) le regard
Trang 17du sujet percevant, procède à des allers-retours de quelques millisecondes entre
le haut du visage considéré (sourcils, yeux, front ) et la zone inférieure (bouche,menton, joues) pour comprendre le contexte émotionnel Les tables de fréquencemontraient également que le nez de l’interlocuteur est une zone d’attention Cetorgane, le nez, n’offre pourtant a priori aucun intérêt du point de vue del’expression faciale … Mais son emplacement au centre du visage, permet ded’apercevoir la bouche, les yeux et sourcils en vision parafovéale La région nasale,
au centre de gravité des indices visuels du visage, joue ainsi le rôle de point detransition d’un indice à l’autre lors des parcours oculaires
Pour en revenir à l’étude mentionnée, elle permet de constater entre leseuropéens et les asiatiques, des manières différentes de regarder le visage desacteurs Chez les sujets européens, le regard « scanne » l'ensemble du visage,incluant la bouche, tandis que chez les sujets asiatiques il se focalise plutôt sur leséléments supérieurs du visage En raison de cette lecture sélective des photos, lessujets asiatiques caractérisent avec plus d’erreurs que les sujets européens lesexpressions de peur et de dégout, qui impliquent beaucoup le bas du visage
Cette recherche ne discute donc pas véritablement les théories relatives àl’expression universelle des émotions ; elle questionne plus exactement laperception universelle ou non, des émotions On peut la rapprocher d'une autreétude interculturelle, qui montre que la reconnaissance émotionnelle est plusprécise quand les sujets évaluent les effets visuels sur des sujets de même ethniequ'eux
Trang 18II.2.3.Langage des mains.
Il existe plus de connexions nerveuses entre le cerveau et les mains qu’avectoute autre partie du corps Nos gestes manuels sont donc les meilleurs reflets denosétats émotionnels ; et comme les mains se placent devant, ils sont très visibles
- Les mains entrecroisées, doigts en quinconce:
Figure II.5 Les mains entrecroisées, doigts en quinconce
Ce geste courant traduit l’anxiété de celui qui le reproduit La reine Elisabethd’Angleterre serre souvent ainsi les mains sur les genoux lors de ses apparitionspubliques C’est un geste courant chez les politiques
On peut serrer ainsi les mains dans 4 positions différentes : à hauteur duvisage, sur les genoux, les bras posés sur la table, ou au niveau de l’entre-jambe.Alan et Barbara Pease, deux éminents conférenciers en langage non-verbal,ont découvert qu’il existait une corrélation entre le degré de contrariété et le