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MALADIES INFECTIEUSES - PART 7 doc

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1 P r é v e n t i o n e n p r a t i q u e m é d i c a l e , M a i 2 0 0 5 3 tréalaise montre que les concentrations de NO 2 , un polluant principalement issu des véhicules, suivent un gradient selon l’achalandage des routes et que la con - centration est environ le double entre les sites les moins et les plus exposés (12) . Quelles sont les mesures préven- tives, individuelles et collectives? Le médecin peut jouer un rôle significatif auprès des personnes à risque ainsi qu’un rôle actif dans sa communauté. Ainsi, des données suggèrent que d’éviter les efforts physiques intenses lors des jours les plus pollués pourrait prévenir l’aggravation d’une maladie existante (MCV, MPOC, asthme). Il est donc recommandé : • d’identifier les personnes plus à risque (plus vulnérables ou davantage exposées), • de les informer de l’existence du système d’avertissement de smog (INFO-SMOG), • de les conseiller quant à la pertinence de réduire leur niveau d’activité physique lors des jours de forte pollution, surtout au moment les plus critiques de la jour - née, par exemple en fin d’après-midi, • de leur suggérer de surveiller leurs symptômes, d’ajuster leur médication au besoin et de consulter le cas échéant. Cette intervention ne peut cependant prévenir qu’une partie des effets aigus attribuables à la pollution de l’air et une petite fraction de l’ensemble des effets totaux. Il serait évidemment inacceptable de recommander à ces patients de limiter leur activité physique lors des jours de pollution modérée, vu leur fréquence et l’impact positif de l’activité physique en général. Notons que ces conseils peu - vent s’ajouter à ceux faits pour la chaleur accablante (recommandations faites aux mêmes personnes vulnérables de réduire l’activité physique, de s’hydrater et sur - tout de rechercher un endroit plus frais ou climatisé) puisqu’en été, les jours de chaleur accablante sont souvent associés au smog. Par ailleurs, le médecin peut jouer un rôle actif dans sa communauté en défen - dant publiquement l’importance d’actions visant à réduire l’exposition des personnes les plus vulnérables ou les plus exposées, celles-ci étant généralement les plus défavorisées économiquement. Il peut aussi collaborer avec la Direction de santé publique et ses partenaires. Le rôle de ces derniers est de diffuser les messa - ges publics en cas d’avertissement de smog (voir INFO-SMOG), de quantifier les impacts sanitaires de la pollution de l’air et de sensibiliser les décideurs et la popu - lation quant à leur ampleur, d’identifier les populations à risque et de promouvoir des actions visant à réduire la pollution à la source (revoir la réglementation, adopter diverses mesures incitatives, promouvoir le transport collectif et actif, instaurer un programme d’entretien des véhicules, modifier les modes de chauffage, réduire les émissions industrielles, ). Des expériences vécues ailleurs démon - trent les bénéfices réels de la diminu - tion de la pollution atmosphérique (2) . Mentionnons quelques exemples : • une baisse de la mortalité cardio- vasculaire de 10 % suite au bannisse - ment du charbon à Dublin, • une réduction des décès et des hospitali - sations pour maladies respiratoires suite à la fermeture temporaire d’une usine (principale source locale de pollution) dans la vallée de Utah, • une baisse des hospitalisations et consultations pour asthme à Atlanta associée à la restriction des véhicules lors des jeux olympiques de 1996, • une réduction des bronchites suivant la baisse des niveaux de pollution dans l’ancienne République Démocratique Allemande. Surveillance de la qualité de l’air? Il existe au Canada comme dans la majo- rité des pays un système de surveillance de la qualité de l’air et ce, principale - ment dans les grandes villes. Le program - me INFO-SMOG a débuté en 1994 dans la grande région de Montréal. Le pro- gramme couvre maintenant huit régions du Québec pour la période estivale alors qu’il est opérationnel en hiver que pour le grand Montréal. Il a été mis sur pied par Environnement Canada, en collaboration avec la ville de Montréal, le ministère de l’Environnement du Québec et les direc - tions de santé publique dont celle de Montréal. Ce système permet de prédire 24 heu - res à l’avance, à partir des conditions météorologiques, le dépassement des valeurs-guides pour l’ozone et les par - ticules fines et d’émettre un avertisse - ment le cas échéant. L’avis est par la suite confirmé ou infirmé selon les concentrations observées aux sites d’échantillonnage. Cette information est affichée sur les panneaux routiers; elle est également communiquée par les médias et est accessible sur les sites internet des organismes ci-haut . • Identifier les personnes à risque, soit les personnes vulnérables (patients porteurs de MCV, MPOC, asthme, diabète) et plus exposées (demeurant près des routes achalandées ou de sources industrielles, travaillant à l’extérieur, ). • Les informer du programme INFO-SMOG. • Leur conseiller de réduire leur niveau d’activité physique à l’extérieur lors des jours de forte pollution. • Leur suggérer de surveiller leurs symptô - mes, d’ajuster leur médication au besoin et de consulter le cas échéant. • S’impliquer dans sa communauté pour promouvoir des mesures visant à réduire la pollution atmosphérique. Interventions préventives du médecin lavoieverte.qc.ec.gc.ca/atmos/ dispersion/main_f.html Un bulletin de la Direction de santé publique de Montréal publié avec la collaboration de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention en pratique médicale, Volet Information, coordonné par le docteur Jean Cloutier. Ce numéro est une réalisation du secteur Environnement urbain et Santé Responsable du secteur : D r Louis Drouin Rédacteur en chef : D r Louis Patry Édition : Deborah Bonney Infographie : Manon Girard Auteur : D r Louis Jacques Collaborateurs : Norman King, Tom Kosatsky, Alexandra Kossowski 1301, rue Sherbrooke Est, Montréal (Québec) H2L 1M3 Téléphone : (514) 528-2400 http://www.santepub-mtl.qc.ca courriel: jcloutie@santepub-mtl.qc.ca ISSN (version imprimée) : 1481-3734 ISSN (version en ligne) : 1712-2937 Dépôt légal — Bibliothèque nationale du Québec, 2005 Dépôt légal — Bibliothèque nationale du Canada, 2005 Numéro de convention : 40005583 révention en pratique médicale Références 4 P r é v e n t i o n e n p r a t i q u e m é d i c a l e , M a i 2 0 0 5 Il est maintenant démontré que les niveaux actuels de pollution de l’air urbain causent une mortalité et morbidité cardio-respiratoires aiguës et chroniques qui engendrent un impact important sur la santé publique. Cet impact ne survient pas que lors des quelques jours de smog, mais bien sur l’ensemble de l’année, en été et en hiver. Le médecin peut contri- buer à la prévention de ces effets délé- tères par ses actions directes auprès des patients vulnérables et par son action communautaire. Ce n’est que par l’ensem- ble des actions concertées sur les sources de pollution de l’air que des bénéfices importants seront réalisés. Ces actions auront aussi un impact bénéfique sur les émissions de gaz à effet de serre, res- ponsables des changements climatiques, dont l’un des effets sera l’augmentation du nombre et la sévérité des épisodes de chaleur et de smog dans le futur. 1. Judek S, Jessiman B, Stieb D, Vet R. Estimation de la surmortalité causée par la pollution atmosphé - rique au Canada, Santé Canada et Environnement Canada, 30 août 2004. 2. Brunekreef B, Holgate ST. Air Pollution and Health, The Lancet, 360: 1233- 1242, 2002. 3. Brook RD, Brook JR, Rajagopalan S. Air Pollution: the “Heart” of the Problem, Current Hypertension Reports, 5:32-39, 2003. 4. Health Aspects of Air Pollution. Results from the WHO Project “Systematic Review of Health Aspects of Air Pollution in Europe” WHO, Regional Office for Europe, 25 p., 2004. 5. Brook RD et al. Air Pollution and Cardiovascular Disease. A Statement for Healthcare Professionals From the Expert Panel on Population and Prevention Science of the American Heart Association, Circulation, 109: 2655-2671, 2004. 6. Stieb DM, Judek S, Burnett RT. Meta- Analysis of Time-Series Studies of Air Pollution and Mortality: Effects of Gases and Particles and the Influence of Cause of Death, Age and Season. J. Air & Waste Manage. Assoc. 52:470- 484, 2002. Conclusion 7. Stieb DM, Judek S, Burnett RT. Meta- Analysis of Time-Series Studies of Air Pollution and Mortality: Update in Relation to the Use of Generalized Additive Models, J. Air & Waste Manage. Assoc. 53:258-261, 2003. 8. Pope III, CA. Epidemiology of Fine Particulate Air Pollution and Human Health : Biologic Mechanisms and Who’s at risk? Environ Health Perspect, 108(suppl 4):713-723, 2000. 9. Pope III, CA et al. Lung Cancer, Cardiopulmonary Mortality, and Long- term Exposure to Fine Particulate Air Pollution, JAMA, 287 (9): 1132-1141, 2002. 10. Bates DV, Caton RB: A Citizen’s Guide to Air Pollution, David Susuki Foundation, Vancouver, Canada, 2 nd edition, 452 p, 2002. 11. Breton MC et al. Association entre les concentrations polliniques de l’Ambrosia spp. et les consultations pour rhinite allergique à Montréal. Soumis pour publication. 12. Smargiassi A, Baldwin M, Berrada K. Étude pilote de la variation spatiale des niveaux de particules associés au transport routier à une échelle locale à Montréal. Direction de santé publi - que, Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre, 30 p. et annexes, 2003. Association des Médecins Omnipraticiens de Montréal Nombre moyen de jours par mois où les concentrations d’ozone et de particules fines ont été élevées à au moins une station de mesure Grande région de Montréal - Années 2001 à 2003 Ministère de l’Environnement du Québec http://www.menv.gouv.qc.ca/ Heat Waves www.santepub-mtl.qc.ca/Environnement/chaleur Santé Canada et qualité de l’air http://www.hc-sc.gc.ca/hecs-sesc/ qualite_air/a_propos.htm Source : Ministère de lʼEnvironnement du Québec 0 2 4 6 8 10 Jan Fév Mars Avril Mai Juin Juil Ao ût Sept Oct Nov Déc Nombre moyen de jours Concentrations élevées d'ozone Concentrations élevées de particules fines révention en pratique médicale HYPERTENSION ARTÉRIELLE PréoccuPations Préventives des nouvelles recommandations 2006¹ 1 P r é v e n t i o n e n p r a t i q u e m é d i c a l e , M a i 2 0 0 6 L’hypertension artérielle (HTA) est un facteur de risque pour les maladies cardiovasculaires ° Les maladies cardiovasculaires sont responsables de plus du tiers des décès La prise de la mesure de la tension artérielle (T.A.) doit se faire de façon régulière º Une personne normotendue âgée de 55 à 65 ans a 90% de ris - que de développer de l’HTA La prise en charge de l’HTA doit se faire rapidement º Traiter l’HTA réduit les risques d’ACV de 40%, la mortalité et les événements associés aux maladies cardiovasculaires Il faut augmenter le dépistage de l’HTA º 95% des cas d’HTA ont une étiologie inconnue, sur ce, 60 % auraient une origine environnementale et 40% une génétique L’implication du patient dans son suivi est un gage de succès º Plus de 33% des patients hypertendus ne considèrent pas l’HTA comme un problème important • • • • • COMPLIANCE Éduquer le patient sur sa santé Augmenter la prise en charge par le patient Faciliter la prise de la médication (die, heure fixe) L’HTA est silencieuse L’HTA se dépiste DIAGNOSTIC La prise de la T.A. est inhérente à la pratique médicale. Elle peut cependant aussi être évaluée par l’Auto-mesure à domicile et par la Mesure Ambulatoire de Pression Artérielle (MAPA). RAPPEL des conditions idéales pour la prise de T.A. ENVIRONNEMENT PATIENT ÉQUIPEMENT PRISE DE MESURE Calme, confortable Assis confortablement Appareil calibré Après 5 mn de calme Pas de café 1 hre avant Pieds par terre Brassard de taille adéquate Confirmation 1 mn après Pas de nicotine 30 mn avant Jambes non croisées Brassard bien positionné Aux deux bras initialement Garder la mesure la plus élevée RAPPEL sur l’Auto-mesure de la T.A. à domicile : avoir deux valeurs, et ce, matin et soir, sur une période initiale de 7 jours. AUTRES RÉFÉRENCES : http://www2.fmcoeur.ca/tensionarterielle/ Le fardeau croissant des maladies cardiovasculaires et des accidents vasculaires cérébraux au Canada, 2003. Fondation des Maladies du Cœur du Canada, 2003. Guillaume Bobrie. Pourquoi et par quoi faut-il remplacer la mesure de la pression artérielle au cabinet médical ? Médecine thérapeu- tique. Volume 5, Numéro 9, 691-8, Novembre 1999, Revue : Hypertension artérielle • • • ¹Recommandations canadiennes sur l’hypertension, 2006. Fondation des Maladies du Cœur du Canada. http:// www.hypertension.ca ; onglet : professionnels de la santé, section : PECH recommandations 2006 1 P r é v e n t i o n e n p r a t i q u e m é d i c a l e , M a i 2 0 0 6 2 Traitements: Non pharmacologiques •Diète •Faible en sel et en gras saturés •Produits laitiers faibles en gras •Riche en fruits et légumes frais •Perte de poids s’il y a lieu •Activités physiques modérées (marche, course, bicyclette, natation) continues ou cumulées pour 30 – 60 mn, 4 à 7 fois / sem. •Cessation du tabac •Diminution de la consommation d’alcool Pharmacologique •S’ajoute au traitement non pharmacolo- gique, nécessitant souvent une thérapie combinée Algorithme pour le diagnostic et le suivi de l’ HTA Visite Hypertension 1 Mesure de la pression artérielle Histoire et examen physique HTA STADE 3 OU URGENCE HYPERTENSIVE Classification de la T.A. pour l’adulte, valeurs au bureau Optimale: < 120 / 80 Normale < 130 / 85 Normale haute: 130-139 / 85-89 Hypertension s tade 1 140-159 (Syst.) ou 90-99 (Diast.) stade 2 160 – 179 (Syst.) ou 100-109 (Diast.) stade 3 ≥ 180 (Syst.) ou > 110 (Diast.) L’urgence « relative » est définie comme une hypertension sévère ou accélérée : HTA stade 3 ou signes fonctionnels associés (cardiaque, neurologique, rénal). La valeur à domicile ou ambulatoire est de 5 mmHg moindre qu’au bureau. Visite Hypertension 2 Délai moins d’un mois Impression diagnostique: T.A. élevée, à investiguer et confirmer : •Analyse d’urine •Formule sanguine complète •Biochimie de base (Na, K, créatinine) •Glycémie à jeun •Bilan lipidique (HDL, LDL, TG, Chol total) •ECG (standard, 12 dérivations) •Évaluer risque global de MCV -T.A. ≥ 140/90 mmHg avec : •atteinte des organes cibles* •ou diabète •ou maladie rénale chronique -HTA stade 3 OUI NON *ORGANES CIBLES •Maladies cérébraux-vasculaires •Rétinopathie hypertensive •Dysfonction ventriculaire gauche •Maladie cardiaque •Maladie rénale chronique •Maladie artérielle périphérique Diagnostic incertain, à confirmer… Mesure en clinique Visite Hypertension 3 Systolique ≥160 ou diastolique ≥ 100 : DIAGNOSTIC HTA T.A. < 160 / 100 ou diagnostic incertain : MAPA, Auto-mesure, Suivi/visite HTA Visites Hypertension 4 et 5 Systolique ≥ 140 ou diatolique ≥ 90 : DIAGNOSTIC HTA T.A. < 140 / 90: CONTINUER LE SUIVI Auto-mesure (si disponible) T.A. ≥ 135 / 85 DIAGNOSTIC HTA T.A. < 135 / 85 MAPA, SUIVI MAPA (si disponible) T.A. moyenne de jour ou 24 hrs systolique ≥ 135 ≥ 130 diastolique ≥ 85 ≥ 80 T.A. moyenne de jour ou 24 hrs < 135 / 85 < 130 / 80 DIAGNOSTIC HTA SUIVI La T.A. est-elle sous les valeurs cibles pendant 2 visites consécutives? NON OUI Symptômes, HTA grave, intolérance au traitement antihy - pertensif ou atteinte d’organes cibles? Suivi intervalles de 3 à 6 mois Visites plus fréquentes OUI NON Visites aux 1 ou 2 mois DIAGNOSTIC HTA Document réalisé par la Direction de santé publique de Montréal dans le cadre du programme Prévention en pratique médicale ( PPM ) avec la collaboration de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal : www.santepub-mtl.qc.ca. Mai 2006 . ISSN : 1481-3734 (version imprimée); ISSN : 1712-2937 (version en ligne) 1 March 2001 The symptoms of CO poisoning are insidious and non-specific, and the history sometimes unreliable. To make such a diagnosis, it is imperative to remain suspicious. It is essential to try to identify the source of exposure to CO even though it is sometimes difficult to do so and may require turning to specialised resources. Every year in Québec, about 15 people die from carbon monoxide (CO) poisoning. A total of 117 poisonings were reported to the Quebec Poison Control Centre in 1988 compared with 1853 poisonings in 1998, the year of the ice storm. Among the 958 cases reported in 1999, accidental poisonings (excluding those in the workplace) repre- sented 70% of cases. CO, the great impersonator… Symptoms of CO intoxication can be mistaken for: • the flu or food poisoning (especially among children) • migraine or stroke • psychiatric problems or alcohol intoxication • cardiovascular disease (angina, infarct) The clinical features of CO poisoning vary greatly depending on: 1. the level and duration of exposure to CO 2. the physical effort expended during the exposure 3. the health status of the person exposed An intoxication can also affect a group of people: this option should be considered when several people in the same household, working at the same place, or participating in the same activities present similar symptoms at the same time. How does CO exert its toxic effects? CO is a chemical asphyxiant • Anoxia due to a lack of oxygen in the tissues is the principal toxic effect. CO has an affinity for haemoglobin that is 245 times higher than that of oxygen. The CO absorbed combines with haemoglobin and forms carboxyhaemoglobin (HbCO) Its toxicity also results from: • a decrease in the oxygen-carrying capacity of haemoglobin, making the quantity of O 2 even less available to the tissues • binding of CO with the myoglobin of myocardial and skeletal muscle cells • binding of CO with cytochromes, inhibiting the cellular respiratory cycle If you suspeçt CO poisoning When obtaining a patient’s clinical history, symp- toms should be documented, and risk conditions and sources of exposure identified. A patient should also undergo a complete physical examination, as well as an ECG and neurological testing. Special attention should be paid to cognitive functions. A neuropsychological evaluation is also recommended. However, neuropsychological resources are scarce. révention en pratique médicale CARBON MONOXIDE POISONING Not always easy to diagnose! The story of Ms. B. For the last two weeks, Ms. B., who lives in a downtown condominium complex, has been suffering from headaches, nausea, and vomiting. The CO detector installed in her apartment has gone off a few times and indicated concentrations of 100-150 ppm (parts per million). The municipal fire prevention service visited her home and recommended that the ventilation system in the building’s garage be inspected. Following an episode of more acute symptoms, including loss of consciousness, Ms. B. went to see her physician. Symptoms • Headache, fatigue • Dizziness, vertigo • Nausea, vomiting • Loss of consciousness* • Visual disturbances • Weakness • Shortness of breath on effort • Chest pain • Convulsion Clinical features • Neurological: Disorientation, confusion Coma, convulsion Localised or generalised deficits • Cardiopulmonary: Tachycardia, arrythmia, hyperpnea Cardiac and respiratory arrest * Victims of CO poisoning might not always be aware that they lost consciousness for a short period of time. Therefore, any history of loss of conscious- ness during or following exposure, even if brief and resolved, should be evaluated and verified with people on the premises. • Dynamiting - dynamiting generates CO that can migrate underground and affect workers or residents living near the work site • Use of methylene chloride or dichloromethane, a solvent used in paint remover, the production of plastics, the coffee decaffeination process, and the pharmaceutical industry. This solvent is partly metabolised into CO. How do you interpret carboxy- haemoglobin (COHb) levels? Normal values Non-smokers: less than 2% • Endogenous production arising from the break- down of haemoproteins (haemoglobin, myoglo- bin, etc.) Smokers: between 3% and 9% • Varies by extent of smoking habit • Upper value of 9% possible if very heavy smoker 2 Sources of exposure Sources of exposure that may be linked to a resi- dence, a place of work, sporting events, or leisure activities should be identified. Dangerous levels of CO are produced when a motor, a heating system, an appliance or a tool that uses fuel (gas, oil, propane, naphtha, natural gas, kerosene, wood, etc.) is defective or when it is used in an enclosed, poorly ventilated environment. Because CO is odorless and non-irritant, it is impos- sible to detect its presence without a measuring device. Principal sources: • Heating, cooking, and refrigeration systems - furnaces, gas stoves and hot water heaters - back-up systems used during power failures (heaters, generators, etc.) - propane refrigerators, gas stoves, barbecues • Motor vehicles - automobiles, trucks, snowmobiles, etc. • Industrial and maintenance equipment - propane lift trucks - ice resurfacing machines used in arenas - concrete and floor polishers - compressors • Motor appliances and tools - chain saws, mowers, pumps, etc. • Certain industrial processes - metallurgy, chemical synthesis industry, etc. • Ischemic heart disease or disturbances of cardiac rhythm. Carboxyhaemoglobin levels of 2% to 6% are sufficient to exacerbate angina attacks or cardiac arrythmias. • Pulmonary disease • Anaemia (O 2 delivery is perturbed) • Fever, hyperthyroidism (increased need for O 2 ) • Pregnancy • Foetus: greater affinity of foetal haemoglobin for CO. Foetal COHb can be 40% to 60% higher than the mother’s • Increased ventilation in children and young adults • Physical exercise in a poorly ventilated environment contaminated with CO The story of Ms. B. The physician asks for a carboxyhaemo- globin: her level of COHb is at 15 % and Ms. B. does not smoke. Health conditions at risk and other risk factors Several factors can influence the measured level of COHb: • Duration and intensity of exposure • Length of time between end of exposure and when blood sample was taken • Administration of oxygen It takes a while for COHb to dissociate. To reduce it by 50%, it takes about: • 5 hours and 20 minutes at 21% O 2 (ambiant air) • 1 hour and 20 minutes at 100% O 2 • 23 minutes at 100% O 2 and at 3 atmospheres (hyperbaric chamber) When interpreting results, various conditions unconnected to CO exposure that could generate COHb should also considered: • Pregnancy: increased endogenous production • Any increase in the destruction process of red blood cells and other haemoproteins, e.g.: severe haemolysis: COHb 5% • Exposure to methylene chloride or dichloromethane Adapted from: Monoxyde de carbone - Critères d’une intoxication et d’une exposition significative : Fichier des maladies à déclaration obligatoire, Comité de santé environnementale du Québec, 1998. Remember that a high level of COHb will confirm a diagnosis but that a normal level of COHb does not necessarily rule out this diagnosis. The level of COHb is not necessarily correlated to symptoms or prognosis. It should not be the only basis for choosing a treatment. 3 Symptoms and clinical features related to carboxyhaemoglobin concentration Adapted from INSPQ, Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels, Galarneau L., Martel R., Lévesque B., Sanfaçon G., Gauvin D., Auger P., Septembre 2000, Les risques d’intoxication au monoxyde de carbone associés au dynamitage en milieu habité. Avis Scientifique, page 6 COHb LEVELS 2.5% – 9% 10% – 19% 20% – 29% 30% – 39% 40% – 49% 50% – 70% > 66% Symptoms and features Possible coronary pain in people with angina exacerbated by low-level exertion Headache Headache, dizziness, nausea, hyperpnea, tachycardia Confusion, loss of consciousness, nausea, hyperpnea, tachycardia Visual and aural disturbances, intellectual dysfunction, muscular weakness Coma, convulsion, cardiopulmonary dysfunction Death What are the complications associated with CO poisoning? In the fœtus The fœtus is especially sensitive. In utero death is possible even if the mother is only slighly intoxi- cated. Poisoning can also provoke developmental problems and lesions caused by cerebral anoxia in the foetus. In children or adults In addition to cerebral oedema, metabolic acidosis and cardiac, pulmonary and renal complications can result in a patient’s death; the most insidious effect is onset of neurological, behavioural, and psychiatric manifestations following an asymptomatic period of a few weeks after exposure, which explains the impor- tance of carrying out a neuropsychological evaluation. Manifestations are varied and include: cognitive function, memory or personality impairments, irri- tability, impulsive behaviour, psychosis, dementia, cortical blindness, parkinsonism, peripheral neuritis, syndrome similar to multiple sclerosis, and auto- nomic nervous system dysfunction (urinary and faecal incontinence). To provide proper follow-up, we suggest seeing the patient again 3 weeks after an acute accidental exposure to ensure that no delayed sequelae have developed. The story of Ms. B. Because of the confusion she is presenting, the pneumologist at Montreal’s Sacré-Coeur Hospital has decided to hospitalise Ms. B and provide her with four treatments in a hyper- baric chamber. • Coma • Any residual neurological symptom, other than headaches, regardless of level of COHb, after 4 to 6 hours of normobaric oxygen therapy • Any history of loss of consciousness during or after exposure to CO, even if brief and resolved • Angina, arrythmia, or signs of ischemia at ECG • Any pregnant woman who has been exposed and whose COHb levels are over 15% * • Any patient with COHb levels over 40% • COHb levels between 25% and 40%, if prolonged exposure or if sample collection was delayed If unsure, contact the physician in charge of the hyperbaric centre at Montreal’s Hôpital du Sacré-Coeur at: (514) 338-2000. * Some centres treat all pregnant women who have been exposed Indications for referring patients who have definitely been exposed to CO for hyperbolic treatment The circumstances surrounding CO poisoning, the medical history, and a complete physical exam are more important to consider than COHb alone when deciding whether or not to treat a patient in a hyperbaric chamber. When should a patient be referred for treatment in a hyperbaric chamber? Patients with CO poisoning should be treated with 100% oxygen. Hyperbaric oxygen therapy (100%, 3 atmospheres) is used in certain cases to reduce CO levels in tissues more rapidly and to prevent delayed sequelae that could develop as a result of severe intoxication. Is this a reportable disease (MADO)? YES How can CO poisoning be prevented? The pamphlet entitled “Le monoxyde de carbone tue… Y en a-t-il chez vous?” lists the measures to take if there are sources of CO in a residential build- ing. You can consult this document on the following Web site: http://www.cspq.qc.ca/cse/pub/doc/text32.htm, or order it from the public health department by calling 528-2400, extension 3219. In the workplace, methods of control should be implemented at the source (preventive maintenance of machines and tools, using electric equipment), in the environment (general and local ventilation), and with workers (information, work methods, ade- quate personal protection equipment, if necessary) when there is a CO source. Industrial CO detectors can also be used. révention en pratique médicale 4 Association des Médecins Omnipraticiens de Montréal A publication of the Direction de la santé publique de Montréal-Centre published in collaboration with the Association des médecins omnipraticiens de Montréal, as part of the Prévention en pratique médicale programme coordonnated by Doctor Jean Cloutier. This issue is produced by the Occupational and Environmental Health Unit. Head of the unit: Dr. Louis Drouin Editor-in-chief: Dr. Louis Patry Editor: Jo Anne Simard Design: Rouleau • Paquin Graphic design: Manon Girard Texts by: Dr. Suzanne Brisson, Dr. Louis Patry, Monique Beausoleil, M.Sc. Contributors: Dr. Mario Dugas, Dr.Simone Provencher, Norman King Translation: Sylvie Gauthier Illustration: Taken from the pamphelt: “Le monoxyde de carbone tue Y en a-t-il chez vous?” Produced by the ministère de la Santé et des Services sociaux 1301 Sherbrooke East, Montréal, Québec H2L 1M3 Telephone : (514) 528-2400 http://www.santepub-mtl.qc.ca Legal deposit – 1 st trimestre 2001 Bibliothèque nationale du Québec National library of Canada ISSN: 1481-3742 Resources • Agencies and their functions Environmental health team on call at the Direction de la santé publique de Montréal-Centre (DSP) (514) 528-2400 • Monitor reported events • Contact attending physicians if necessary Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) (514) 906-2911, 24 hours a day • When poisoning occurs among workers, inspectors can investigate workplaces and ensure that required corrective and preventive actions are taken. Montreal fire prevention services 911 • Intervene in emergency cases. They can measure the concentrations of CO in the air, proceed with an evacuation of the premises, and stabilise the situation in the buildings. Quebec Poison Control Centre 1-800-463-5060 • Source of toxicological referrals. Sacré-Cœur de Montréal Hospital (514) 338-2000 Hôtel-Dieu de Lévis (418) 835-7121 Institut maritime du Québec à Rimouski (418) 724-2822 • Hyperbaric centres available to treat CO poisoning. Interuniversity occupational and environ- mental health clinic (514) 849-5201, extension 2360 • Occupational and environmental health c onsultation • Post-exposure follow-up Are CO detectors effective? CO detectors are an effective prevention method when there are potential sources of CO in a residence. They continuously measure CO concentration in the air, simulate the effects of CO in the human body, and set off an audible alarm before CO concentration reaches levels that pose a health risk. It is important to read the manufacturer’s instructions carefully to know where to put the detectors and the measures to take in case the alarm goes off. Finally, it is essential to find out what caused the alarm to go off and to correct the problem. Residential CO detectors should not be used in indus- trial settings. There are specific CO detectors for com- mercial and industrial use. To report CO poisoning to the DSP Montréal-Centre 24-hour service: (514) 528-2400 • From 8:00 a.m. to 5:00 p.m., ask for the person on-call in occupational and environmental health. • Outside regular working hours, follow the voice-mail instructions. The story of Ms. B. The physician reports the case immedia- tely to the public health department. Ms. B. lives in a condominium; therefore, it is important to ensure that the sources of exposure are clearly identified and well- controlled and that no one else continues to be exposed to this source of CO. The same day, a health worker from the public health department goes to her home. In view of the high concentrations of CO measured in the building, other residents affected by CO are sought out. A neighbour also reports symptoms including loss of consciousness. Because of her losing consciousness, both she and her 9-year-old child will receive two treat- ments in a hyperbaric chamber. Upon recom- mendation from the public health unit, the Fire Prevention Service forbids auto- mobile access to the building’s under- ground garage as long as corrective mea- sures have not been taken. The investigation will show major defects in the CO detec- tors as well as in the garage’s ventilation and exhaust systems. Residents will have to wait several months before they can use the garage again. Colder temperatures have arrived and with them the unwelcome possibility of carbon monoxide poisoning. Accidental carbon monoxide poisoning is avoidable and can be prevented. Carbon monoxide (CO) poisoning often occurs in northern climates such as ours here in Quebec. CO can be generated by faulty or poorly maintained heating systems, or by internal combustion motors functioning in a poorly ventilated environment. Any fuel is a source of CO, including petroleum, gas, diesel, fuel, derosene, oil, heating oil, naphta, coal, natural gas, propane, wood, etc. Dynamiting also generates CO that can penetrate underground and affect workers or residents living near the work site. CARBON MONOXIDE POISONING Prevention Be wary of CO • CO is an odourless, colourless, and non-irritant gas. Consequently, it is impossible to detect its presence without a measuring device. • CO detectors are an effective protection method when there are poten- tial sources of CO in a residence . The pamphlet entitled “Un avertisseur de carbone peut sauver des vies. Protégez-vous 1 ” contains pertinent informa- tion on choosing and installing residential CO detectors. • Residential CO detectors should not be ued in industrial settings. There are specific CO detectors for commercial and industrial use. •Never leave the motor running while you are digging a car out of a snow- bank. •Never leave a car running in a garage, even if the garage door is open . •Never start a car using a remote starter when the car is in a garage. •Never use a gas stove instead of the main heating system, even for a short period of time. •Never use a barbecue, Hibachi, or fuel- burning heater inside a house, cottage, mobile home or any other building. •Never use a lamp, a stove, or any other outdoor open-flame appliance in an enclosed space. • In a mobile home or a house, never block off the air in takes or extractor fans of fuel-based appliances. •Never run motor tools (mowers, hedge- cutters, chain saws, generators, etc.) in an enclosed or poorly ventilated space (house, garage, workshop, shed, etc.). What you should never do HOW TO PREVENT CARBON MONOXIDE POISONING 2 • Remove snow from around a car before turning on the ignition. •Install one or several carbon monoxide detectors in the house or mobile home if there is a potential source of CO. •Check regularly to ensure that all appliances and tools that use fuel are in good working order ; follow maintenance and safety instructions in the user guides. Ensure that qualified personnel perform yearly maintenance. •Make sure that furnace exhaust ducts and the chimney are in good condition. •Make sure that no bird’s nest or other debris, or accumulation of ice or snow is blocking the chimney. •Have your chimney swept regularly. •Use the right type of appliance in the right place: some items are made only for tents and others for use outdoors. •Ensure that there is a permanent air inlet and an outdoor vent for all fuel-using products. •Make sure that when the kitchen or bathroom fan and the air exchanger are used, combustion gases are not drawn back into the house. • For propane refrigerators, choose a new model that is vented to the outdoors and has integrated CO detector. • If you use a fuel-burning heating system, have it verified by a qualified contractor at least once a year, or when changing or replacing the system. • Generators should be installed outdoors and in such a way that gases will not be trapped or drawn into building through a window or other opening. What you should do 1 An electronic version of the pamphlet « Un avertisseur de carbone peut sauver des vies. Protégez-vous » is available in French at www.inspq.qc.ca/cap/depliants.htm 2 Based on the pamphlet “Carbon Monoxide kills Is there any in your home?” available on the Internet at: ww.inspq.qc.ca/cap/depliants.htm. 1 révention en pratique médicale Lymphogranuloma venereum - “LGV” Lymphogranuloma venereum (LGV) is a sex- ually transmitted infection (STI) caused by Chlamydia trachomatis serotypes L1, L2 and L3. Unlike serotypes A-K, LGV serotypes are invasive. Epidemiological situation LGV was formally described for the first time in 1900. LGV is endemic in some parts of Africa, Asia, South America and the Caribbean. In January 2003, an outbreak of LGV among men who have sex with men (MSM) was reported, first in Europe (Amsterdam, Paris, London) then in the United States. In Canada, as of 3 November 2005, 36 cases of lymphogranuloma venereum (LGV) had been reported to the Public Health Agency of Canada since January 2004. In Quebec, a case of LGV was reported in 2004, and 24 cases in 2005 (23 in Montréal and 1 in the Eastern Townshipse). Up to 83% of these cases were observed in the latter half of 2005. All cases were in men who have sex with men (MSM) aged 21 to 55 years (average age: 38 years). The principal clinical manifestations were the following: genital or anal papule or ulcer (4 people); anal symptoms: pain, tenesmus, dis- charge (19 people, 2 of whom had bloody stools), and inguinal lymphadenopathy (4 peo- ple); joint inflammation was also observed in 1 individual. Based on the nosologic definition currently in effect in Quebec and Canada, 9 of these cases were confirmed and 15 were prob- able cases. A large majority of MSM for whom LGV was reported in 2005 had had sexual relations in gay saunas during the incubation period; up to 70% knew they had human immunodeficiency virus infection; about one third had used at least once during the past year, one of the fol- lowing drugs: marijuana, poppers, ecstasy or smoked cocaine; and just over one out of five had had sex with a partner who usually lives outside Québec, either during a trip a patient had taken or when a partner was visiting Québec; partner living in Belgium (1), France (1), Latin America (1), and the United States (2). Fisting (a sexual practice that consists in inserting a finger, fingers, or the fist into the anus) and shar- ing sex toys were very rarely reported. Transmission LGV is transmitted through sexual relations (oral, anal or vaginal) involving contact with: z a mucous membrane (anus, rectum, glans, vagina, mouth or throat) infected with LGV, with or without visible lesions z infected discharge or secretions from the penis, anus or vagina. A pregnant woman infected with LGV can transmit the infection to her newborn during childbirth, when the baby passes through the vagina. A person who has infected but is not treated can transmit LGV for several weeks or even months after contracting it. Epidemiological characteristics of lymphogranuloma venereum cases reported in Montréal in 2005 (n = 23) % Man who has sex with men 100 Man who has sex with men and women 0 French-Canadian or English-Canadian 88 Knows he has human immunodeficiency virus infection 70 1 During the incubation period Had sexual relations in gay saunas in Montréal 83 Had sex with a partner who usually lives outside Quebec 22 1 (when travelling or with a partner visiting Quebec) During the past year Received or gave money in exchange for sex in Québec 0 Consumed “illicit” drugs (including ecstasy) 31 1 Injected drugs 0 1. This proportion is difficult to assess since information on this subject was often missing. Cases for whom data was missing were included in the denominator to calculate this proportion. A “new” sexually transmitted infection March 2006 [...]... Lacombe 1301 Sherbrooke Street East, Montrộal, QC H2L 1M3 Telephone: (514) 52 8-2 400, Fax: (514) 52 8-2 452 http://www.santepub-mtl.qc.ca email: jcloutie@santepub-mtl.qc.ca Lymphogranuloma venerium (LGV) Epi Update www.phac-aspc.gc.ca/publicat/epiu-aepi/std-mts/lgv_e.html ISSN (printed version ): 148 1-3 74 2 ISSN (on-line version): 171 2-2 945 Lymphogranuloma venereum (LGV) in Canada: Recommendations for Diagnosis... et rộfộrence (514) 52 7- 0 140 de lextộrieur de Montrộal 1 (800) 46 1-0 140 Ligne tộlộphonique 24 /7 Information (gratuit) Rộfộrence (gratuit) ẫcoute (gratuit) Maison Jean-Lapointe (514) 28 8-2 611 Centre de crise (gratuit) Traitement en externe (gratuit) Traitement en interne (payant) Centre Dollard-Cormier (514) 38 5-0 046 Traitement en externe (gratuit) Orientation Praxis Inc (514) 72 3-2 585 Traitement en externe... Hụpital du Sacrộ-Cur de Montrộal (514) 33 8-2 000 Hụtel-Dieu de Lộvis (418) 83 5 -7 121 Institut maritime du Quộbec Rimouski (418) 72 4-2 822 Centres hyperbares disponibles pour le traitement de lintoxication au CO Clinique interuniversitaire de santộ au travail et de santộ environnementale (514) 84 9-5 201 poste 2360 Consultation en santộ au travail et en santộ environnementale Suivi post-exposition Comment... rộfrigộration - fournaise, poờle et chauffe-eau au gaz - systốme dappoint utilisộ lors des pannes dộlectricitộ (chaufferette, gộnộratrice, etc.) - rộfrigộrateur au propane, cuisiniốre au gaz, barbecue Les vộhicules moteurs - automobile, camion, motoneige, etc Les ộquipements industriels et dentretien - chariot ộlộvateur au propane - surfaceuse de glace dans les arộnas - polisseuses bộton, plancher - compresseur... Ministốre de la Santộ et des services sociaux Dộfinitions nosologiques, Maladies d'origine infectieuses - Maladie dộclaration obligatoire au Quộbec 5th Edition June 2005 http://publications.msss.gouv.qc.ca/acrobat/f/documentation/preventioncontrole/0 5-2 6 8-0 1W.pdf Health Canada Canadian STD Guidelines (1998) www.phac-aspc.gc.ca/publicat/std-mts98/index.html (the 2006 edition of the Guidelines will be available... est de mise partout En fait, les condoms devraient probablement faire partie de toute trousse de voyage, au mờme titre que le maillot de bain ou la brosse dents Clinique Santộ Voyage St-Luc 1001, rue Saint-Denis Montrộal (Quộbec) H2X 3H9 Tộl : (514) 89 0-8 332 Clinique du voyageur de lHụpital du Sacrộ-Coeur de Montrộal 5400, boulevard Gouin Ouest Montrộal (Quộbec) H4J 1C5 Tộl : (514) 33 8-3 169 Service... Chevalier Dr Olivia Hernandez-Sanchez, Dr Serge Nault Collaborateurs : Dr Jean-Pierre Villeneuve, Rina Gupta, Dr Jacques H Roy rapport synthốse gratuit : www.santepub-mtl.qc.ca/Publication/telecharg_rapport.html www.santepub-mtl.qc.ca 1301, rue Sherbrooke Est, Montrộal (Quộbec) H2L 1M3 Tộlộphone : (514) 52 8-2 400 http://www.santepub-mtl.qc.ca courriel: jcloutie@santepub-mtl.qc.ca Dộpụt lộgal 1er trimestre... ne plus avoir dargent? 7 Arrive-t-il cette personne de retourner immộdiatement jouer pour se refaire (recouvrer ses pertes) ou pour gagner plus dargent? 8 Arrive-t-il cette personne de jouer pour tenter de rộsoudre des difficultộs financiốres ou encore de penser (faussement) que les gains de jeux permettront sa famille davoir une vie matộrielle plus confortable? 9 Arrive-t-il cette personne demprunter... lexposition et 7 jours aprốs celle-ci 100 mg par jour, commenỗant 1 jour avant lexposition, se poursuivant durant lexposition et 28 jours aprốs celle-ci 30 mg par jour, commenỗant la veille de lexposition, se poursuivant durant lexposition et 4 jours aprốs celle-ci 500 mg par semaine, commenỗant 1 semaine avant lexposition, se poursuivant durant lexposition et 4 semaines aprốs celle-ci Cliniques de santộ-voyage... lộvacuation des lieux et stabiliser la situation dans les bõtiments Le Centre Anti-Poison du Quộbec 1-8 0 0-4 6 3-5 060 Source de rộfộrence toxicologique Sagit-il dune maladie dộclaration obligatoire (MADO)? OUI Lhistoire de Madame B Le mộdecin dộclare immộdiatement le cas la Direction de la santộ publique (DSP) de Montrộal-Centre Madame B habite un condominium, il est donc important de sassurer que les . Centre 1-8 0 0-4 6 3-5 060 • Source of toxicological referrals. Sacré-Cœur de Montréal Hospital (514) 33 8-2 000 Hôtel-Dieu de Lévis (418) 83 5 -7 121 Institut maritime du Québec à Rimouski (418) 72 4-2 822. 1M3 Telephone: (514) 52 8-2 400, Fax: (514) 52 8-2 452 http://www.santepub-mtl.qc.ca email: jcloutie@santepub-mtl.qc.ca ISSN (printed version ): 148 1-3 74 2 ISSN (on-line version): 171 2-2 945 Legal deposit Bibliothèque. bâtiments. Le Centre Anti-Poison du Québec 1-8 0 0-4 6 3-5 060 • Source de référence toxicologique. Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal (514) 33 8-2 000 Hôtel-Dieu de Lévis (418) 83 5 -7 121 Institut maritime

Ngày đăng: 18/06/2014, 10:05

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