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LE ittfttfeti fcttéitt Bulletin de recherches, observations et découvertes se rapportant l'Histoire Naturelle du Canada TOME TROISIEME L'ABBE L PROVANCHER, RÉDACTEUR-PROPRIÉTAIRE ^ QUÉBEC IMPRIMÉ PAR No 8, Rue de la 1871 C DARV Ê Atl Montagne LE 4* ilttttïitt Vol Québec, III Rédacteur {^ Le présent et ri étaient dans l'espérance de du progrès I l'Abbé La fin les y No 1870 PROVA^CHER, nuriiêro est adressé personnes lettrées qui nés, : DÉCEMBRE, un certain nombre de pas encore sur nos retenir au titre listes d'abon- d'amis des sciences d'une année de publication amène tou- un certain nombre de renvois ; comme le concours d'un plus grand nombre nous serait nécessaire, jours, parmi les sotiscriptetùrs, nous voudrions au moins remplir lité les vides de nos cadres L'uti- de notre publication a été maintes et maintes fois reconnue ; amis des sciences en ce pays lui prêtaient leur appui, son existence serait de suite mise l'abri de toute éventualité si tous les Espérons A NOS LECTEURS Avec le présent numéro commence notre troisième voAvoir pu soutenir, pendant deux ans, une publication exclusivement dévouée la science, une publication qui, fermée la politique, aux nouvelles, et la littérature légère, semble dépourvue des moyens les plus puissants lume d'attirer l'attention des lecteurs, surtout en ce pays, est un succès dont nous avons tout^ lieu de nous applaudir, et que bien des amis hésitaient nous promettre au début Si nous considérons notre état actuel de société les programmes d'études de la plupart de nos maisons d'éducation, où l'Histoire Naturelle n'est pas même mentionnée le surcroit de travail, vu le manque général de fortune, qu'ira; ; LE NATURALISTE CANADIEN pose aux hommes instruits la nécessité de pourvoir leur avenir l'extrême difficulté pour ceux qui auraient eu quelque désir de se livrer ces sortes d'études de se procurer les auteurs convenables la nouveauté de la chose enfin, on ; ; n'aura pas lieu d'être surpris des craintes qu'on entretenait en bien des endroits sur le succès de notre entreprise, et on n'osera blâmer ceux qui nous taxaient alors de témérité Mais Y audaces for tuna juvat du poëte latin a eu, une fois de plus, son application, et nos amis peuvent s'en réjouir avec nous aujourd'hui Mais, tout en vous applaudissant pour vous plus de craintes du passé, n'entretenez- l'avenir, va-t-on nous demander? Votre œuvre peut-elle être considérée maintenant comme viable ? Plut Dieu qu'il en pût être ainsi sont encore trop peu nombreux mais ; que nos écrits ont pu ! les faire surgir sont mais nos lecteurs nouveaux adeptes encore trop jeunes ; inconnue en trop d'institutions d'éducation mais l'importance de telles études est encore inappréciée par un trop grand nombre, pour que nous puissions bannir toute crainte, et ne pas presser nos amis de nous continuer leur appui Encore quelques années et des maisons d'éducation comme Nicolet, Rimouski, Troismais l'Histoire Naturelle est encore ; ," ! Rivières, etc., de formation ; où de précieuses collections sont en bonne voie où les élèves, tout en s' amusant la chasse des objets d'Histoire Naturelle, se familiarisent avec les noms de nos plantes et de nos animaux, auront produit un assez grand nombre d'amis des sciences, pour offrir une publication entièrement dévouée aux études sérieuses, un concours et un appui suffisant pour la faire compter avec assurance sur l'avenir Oh alors notre voix ne retentira pas dans un désert, lorsque nous dévoilerons les merveilles de la vie des animaux, lorsque nous entrerons dans le détail si intéressant de leurs mœurs, lorsque nous ferons conntre les qualités spéciales qui distinguent nos plantes, et cette harmonie parfaite qui relie les uns aux autres tous les êtres de la création et qui force l'observateur consciencieux, en voyant tant d'aptitudes et de penchants contraires, tant de forces opposées s'é! A NOS LECTEURS proclamer de celui qui sait faire surgir si habilement mettre la mort au service de la vie Alors, si nous pouvons encore tenir la plume, lorsque nous entrerons dans le détail des moyens mis la disposition de l'homme pour agir sur tant de forces diverses pour les contenir ou les augmenter pour quilibrer, la sagesse l'ordre d'un tel chaos, qui sait ! ; ; ou favoriser la multiplication d'êtres sans nombre suivant qu'ils peuvent devenir avantageux ou nuisibles, nos écrits ne seront pas rejetés avec dédain, sans même avoir été lus, ou négligés, par ce qu'on ne saurait les comprendre mais tombant entre les mains de personnes avides d'agrandir le cercle de leurs connaissances, désireuses d'y trouver des renseignements pouvant ofirir de nouveaux appoints aux ressources de la vie, ils seront justement appréciés et convenablement encouragés Alors, il en sera en Canarestreindre ; ! comme en est chez nos voisins et chez tous les peuples éclairés de la civilisation moderne, où les merveilles de la vie des animaux sont connues de tout le monde, où la technicoiogie même des sciences naturelles n'a rien de répugnant au commun des jeunes gens tant soit peu appliqués da, il aux études remarquer nous ne sommes, aucune autre race, sous le rapport du talent et du génie Oh les aptitudes de tout genre fourmillent chez les Canadiens et si nous sommes encore Car qu'on veuille bien le : tant s'en faut, inférieurs ! ! ! en arrière dans certaines branches des connaissances utiles, c'est que la jeunesse n'a pas encore été initiée ces sortes d'études, c'est qu'ici en général on n'aime pas assez lire et étudier Mais La qu'elle, peut être la cause de ce dernier défaut ? voici suivant nous Les cours de nos institutions d'éducation sont bien cal- culés pour servir de bases des cours de hautes études qui viendraient la suite, ou des mais nullement pour études professionnelles ; l'étude de sciences initier l'élève plus attrayantes et plus usuelles, afin de permettre aux aptitudes particulières de choix Or, comme le se livrer la spécialité de leur nombre de ceux qui peuvent suivre des , LE NATURALISTE CANADIEN cours de hautes études ne constitue qu'une bien faible excep- en Canada, et que d'un autre côté, tous les jeunes gens ne peuvent être appelés embrasser l'état ecclésiastique ou entrer dans les professions libérales, qu'arrive-til? C'est qu'appliqué pendant des années suivre des cours qu'il sait bien lui devoir être très peu utiles par la suite, et où le succès fait souvent défaut, l'élève, ne rencontrant rien dans ses études qui réponde ses goûts particuliers, sort du collège avec un tel dégoût pour toute étude, qu'il ne tente même pas de se livrer celle pour laquelle il se sentait d'abord un penchant particulier, et que d'ailleurs il ne pourrait atteindre tion qu'après des efforts et un labeur extraordinaires, parce qu'a- il inanque de guide pour l'exploration de régions encore toutes nouvelles pour lui 11 en viendra peut-être même, comme on en voit de fréquents exemples, pousser si loin ce dégoût de l'étude, que toute lecture l'ennuiera, et qu'il négligera jusqu'à celles qui lui seraient nécessaires pour les devoirs de sa charge ou de sa situation bandonné alors ses seules ressources, Mais voyons ce qui se passe ailleurs, et surtout chez de progrès matériels, on sait si promptement aller au but, et où les aptitudes particulières de l'enfant sont si soigneusement examinées avant de déterminer Au lieu de faire le genre d'études auquel on l'assajétira pâlir un jeune homme pendant des et ans sur des classiques dont il sait ne devoir jamais tirer parti plus tard, et nos voisins, où, en fait de le dégoûter ainsi de l'étude, on fera pour ainsi dire passer en revue devant lui les diff'érentes branches des sciences, et on lui permettra de poursuivre de suite l'étude de celle de ces branches qui répond davantage ses goûts particuliers, ou du du moins de s'initier cette étude L'élève du lycée, là, montre-t-il des dispositions particulières, pour les mathématiques, la géométrie, le dessin, l'Histoire Naturelle etc., on s'emet presse de suite de cultiver spécialement cette aptitude si plus tard on a besoin d'un entomologiste, d'un botaniste, d'un ingénieur, d'un architecte etc., on a de suite son homme on n'est embarrassé que dans le choix du sujet Tandis qu'ici il faut que bon gré, malgré, l'élève se bourre ; ; A NOS LECTEURS de grec ef: Virgile, du Térence, du Xénopliou de latin, qu'il puisse se vanter d'avoir traduit etc., et après du un cours complet jusqu'à la Philosophie inclusivement, si on ne commence de suite un cours de théologie, de droit ou de médecitie, on ne sera seulement pas apte faire un bon commis de département public, pas même souvent un bon magister de village Mais quoi l'étude des sciences est ' tellement négligée pas rare de rencontrer des gens de profession, qui ont parcouru des cours classiques, ignorant même jusqu'aux noms de ces sciences Que disonsici qu'il n'est ! nous? nous avons rencontré des élèves pour qui, après même leur cours universitaire, les mots d'entomologie, d'icthyoiogie, d'erpétologie etc , équivalaient du sanscrit, ou de l'iroquois Ajoutez cela notre état de société, où findépendance de fortune est si rare qu'il faut avant tout songer aux ressources de la vie, et où aussi les coteries politiques sont si puissantes, que dans le patronage gouvernemental le vrai mérite est souvent méconnu, et les postes avantageux accordés des nullités, et on se convaincra avec nous, que nous n'exagérons rien dans la peinture que nous venons de faire, et qu'il règne ici un vice dans la direction des études qu'il faut s'efforcer de faire bientơt ! dispartre On dirait que comme de famille est tout tracé Canada,et d'une manière inévitable, l'avenir des d' avance, aujourd'hui,en lils pour les Seigneurs du moyen âge grand Seigneur qui devait poursuivre la carrière du père le cadet était de nécessité ecclésiastique, et la carrière des armes échéoit aux autres de la famille Ici, il faut faire un cours classique, ou ne pas étudier du tout et après un cours quoiqu'il puisse être, il faut être ou ecclésiastique, ou avocat, ou médecin pour les autres situa^tions, il Tétait autrefois Alors l'ainé était le ; ; ; telles qu'architectes, ingénieurs, mécaniciens, dessinateurs, naturalistes, géologistes etc., et les diverses industries qui re- quièrent la science, ce ne sont que des exceptions, et d'ailmanque ^Dour ces situations des capacités requises leurs on Ce vide dans nos cours d'étude se fait sentir jusque chez nos hommes d'état Il n'y a pas d'ignorant pire que LE NATURALISTE CANADIEN celui qui n'a pas conscience souvent nos hommes de ce qui placés la lui manque Et direction des affaires si du pays, n'accordent pas la protection qu'elle mérite l'étude et des arts, c'est que, n'ayant jamais entrepris de telles études, ils en ignorent l'importance, et croient qu'on peut sans inconvénient s'en passer Croirait-on qu'il y a des membres du Conseil d'Agriculture qui ne reỗoivent aucune publication agricole ? Or, comment veut-on qu'on puisse convenablement activer le progrès d'un art tel que l'agriculture, si on ne se préoccupe seulement pas de ce qu'on en peut dire, si on ne se rend pas compte de ce qui se Si on allouait seulement le coût d'un seul fait ailleurs? mille de chemin fer annuellement pour eiicourager l'étude des sciences, avant 10 ans on verrait des savants de tous genres pulluler en Canada car plus que partout ailleurs et l'encouragement peut-être les talents sont ici communs ferait ressortir des aptitudes sans nombre qui demeurent aujourd'hui ignorées et sans utilité Espérons du moins, quant l'agriculture, que bientôt ce département, qui a pour ainsi dire les destinées du pays entre ses mains, sera organisé, grâce Ja capacité et aux vues larges d'un bon des sciences ! ; nombre des membres du Conseil qui le dirige, sur un pied capable de produire tout le bien qu'on a droit d'en attendre Espérons que bientôt, avec nos écoles et nos fermes modèles, on aura au moins un musée agricole, où les plantes et les animaux particuliers notre pays, seront spécialement étudiés, pour qu'on puisse conntre lesquels méritent destruction ou protection Si nous notons particulièrement c'est que aux études que l'agriculture, plus que tout autre ce département est lié nous poursuivons Ce sont les Chambres d'agriculture des Etats de New-York, du Massachusetts etc., qui ont employé des savants tels que Dekay, Hentz, Agassiz, G-ray, etc., pour étudier les plantes, les mammifères, les oiseaux, les poissons Ce sont encore les etc., de ces états respectifs partements dans les Etats de New- York, des mêmes dé- Illinois, du que Fitch, Walsh, Riley, etc., pour étudier spécialement les insectes de ces contrées et c'est en suivant de si nobles exemples que Missouri qui ont appointé des entomologistes ; tels A NOS LECTEURS Chambre d'Agriculture d'Ontario alloue $400 annuellement au Canadian Entomolognt qui poursuit le même but la que nous, avec la seule différence que son action se renferme uniquement dans l'étude des insectes, tandis que nous embrassons les diverses parties de THistoire JN aturelle C'est que on comprend que pour le succès en agriculture, il faut nécessairement compter avec ces légions de petits êtres qui nous font la guerre, tandis qu'ici nous subissons leurs attaques sans presque nous en préoccuper, comme une plaie laquelle on ne saurait trouver de remède Il n'y a pas de plus sûr moyen d'être vaincu que de ne vouloir tenter aucune défense combattons nos ennemis quels qu'ils ; avec prudence, avec sagesse, et surtout avec science, Dans ce lieu d'expiaet le succès couronnera nos efforts tion et de peines, nous aurons toujours des misères et des soient, ennemis, mais notre bien-être relatif sera toujours subor- donné notre travail et notre courage Quanta notre programme pour f avenir, il est tout tracé par la marche des années précédentes cependant nous nous proposons de donner une attention toute particulière aux insectes nuisibles l'agriculture ISlous continuerons glaner ỗa et l, dans les champs divers de FHistoire JN aturelle, des épis de toute espèce, afin d'en composer des gerbes ; si variées qu'elles puissent rencontrer tous les goûts de nos Inutile d'ajouter qu'aucune peine ne sera épargnée de notre part pour donner notre publication autant d'intérêt qu'il nous sera possible de le faire Si fencouragement ne nous fait défaut, nous voulons lecteurs mettre contribution ment établi le talent d'un artiste habile, récem- Québec, M A Rho, pour ajouter nos illus- une planche lithographique ou deux, dans chaque numéro, dans le genre de celles que nous donnons aujourtrations, d'hui Que nos confrères de la presse qui ont poussé souvent la bienveillance quefois même jusqu'à louer nos humbles écrits et quelà leur faire l'honneur de la reproduction, veuillent bien en recevoir nos plus sincères remerciments, et la nous continuer leur puissant patronage, dans cause que nous défendons l'intérêt de LE NATURALISTE CANADIEN FAXJIVE CAIVA.13IEIVJV1Ỵ: Les Oiseaux (Contin de la page 351 du Les Crieurs Clamatores Il Sous-ordre un en Doigts, en avant et Primaires toujours Vol II) arrière, aucun longue que 10, la 1ère aussi versatile la 2e Pennes caudales ordinairement 12 Ce comprend que deux sous-ordre ne familles, celles des Alcédinides et des Coloptérides qu'on peut distinguer par les caractères suivants Tête grosse bec ; : long, droit, presque pyramidal fort, Ailes courtes, la Alcédinides 3e primaire étant la plus longue Tête moyenne; bec déprimé, plus long que haut, plus ou moins gulaire, courbé la pointe La 1ère Pam dés ALCEDINIDES Bec Alcedinidae droit et dont l'ouverture se prolonge jusqu'au des- Queue sous des yeux rieures plus courtes sont nus trian- primaire la plus longue Coloptérides ; le ; courte, 12 les tarses pennes dont les exté avec une partie des cuisses doigt extérieur est uni au 3e jusqu'à la moitié de sa longueur ongles aigus ; Cette famille dans notre faune ne senferme que le genre qui suit, Gren Bec long, droit sur le front, et Mabtin Ceryle, Boie sommet se prolongeant un peu déprimés Queue longue et large et fort, à côtés très Tarses courts et forts Le Martin Alcyon CeryU — Vul Martin-pêcheur pouces, ailes ; d'un bleu terne sans ; Alcyon, Boie Alcedo Alcyon, Linn Angl Belted Kiiigfinhfr — Longueur 12 13 une longue Parties supt^rieures tête portant reflets métalliques ; crête une tacbe eu avant de l'œil n SOMMAIRE Faune Canadienne — Les Oiseaux CE NUMERO La Tourbe 257 Faune du Can 258 (suite) Entomologie Elémentaire en rapport avec la 261 (swiVe) Liste des Névroptères pi is Québec — Faux-Névroptères 267 Névroptères-A^rais Voyage Le Journal A 270 la Floride (suite) des Trois-Rivières 281 284 nos correspondants Sur notre 284 table 285 Faits divers 287 Observations météorologiques et 288 ne Le Naturaliste Canadien part vers le 15 de chaque 24 32 pages mois, par livraisons de in-8 Abonnement, $2 par année, payable après la réception du premier numéro de chaque volume ou nouvelle année de publication, N.B — L'abonnement est réduit $1.50 en faveur des élèves des collèges et autres institutions d'éducation On ne s'abonne pas pour moins d'un an Tout souscripteur désirant discontinuer son abonnement, est tenu d'en donner avis aussitôt après la réception du dernier nu- méro de chaque volume ou de chaque année de publication Toutes correspondances, réclamations JB®" remises, doivent être adressées an rédacteur, St Rochde Québec, Agents du Naturaliste St Albans pour Montréal: Mr les Etats-Unis J Godin, : Mr : le Gr Hyacinthe : M le Y Druon Ecole Normale Jacques- Cartier St etc., bte 70 Dr St Grermain "THE AMERICAN NATURALIST," LA SEULE PUBLICATION AUX ETATS-UNIS Dévouée la popularisation de V Histoire Naturelle Publié par la Peabody Academy of Science, Salem, Mass dacteurs L' et propriétaires : A S Packard, AMERICAN NATURALIST F Ré- W Putnam publié mensuellement est contient 64 pages in-8 de texte, avec de nombreuses Chaque numéro illustrations, jr et d'une exécution irréprochable, soit sur bois ou en litho- graphie Le but des numéro du Naturalist éditeurs est de rendre chaque important pour tous ceux qui prennent quelque intérêt l'étude de l'Histoire Naturelle, et comme tous les articles sont écrits par de^ sujets qu'on y traite, chaque volume forme une précieuse encyclopédie illustrée d'histoire Naturelle, de grande valeur pour tous les lecteurs en général aussi autorités dans la science sur les différents bien que pour les professeurs et les étudiants des sciences naturelles Le volume V est commencé avec le CONDITIONS $4.00 numéro 35 par année, : rigoureusement payées d'avanc« Chaque cts Souscription au vol u a u u u a u ti u " " " V avec les précédents vol $15.00, reliés $18.00 " " 15.00 12.50, Y "3 des " 11.50 9.75, Y n a " 8.00 y a u 7,00, V en clubs de au taux de 3.75 chaque copie '' (( Chaque volume séparément Les volumes reliure 50 cts titre numéro de Mars 187 en or sur le dos et