Première partie – Programmation web avec MySQL/PHP
Chapitre 1 – Introduction à MySQL et PHP
1.1 Introduction au Web et à la programmation web
1.1.1 Serveurs web
1.1.2 Documents web : le langage XHTML
1.1.3 Programmation web
1.1.4 Sessions
1.2 Programmation web avec MySQL et PHP
1.2.1 MySQL
1.2.2 PHP
1.3 Une première base MySQL
1.3.1 Création d'une table
1.3.2 L'utilitaire mysql
1.3.3 L'interface PhpMyAdmin
1.4 Accès à MySQL avec PHP
1.4.1 L'interface MySQL/PHP
1.4.2 Formulaires d'interrogation
1.4.3 Formulaires de mises à jour
Chapitre 2 – Techniques de base
2.1 Programmation avec fonctions
2.1.1 Création de fonctions
2.1.2 Utilisation des fonctions
2.1.3 À propos de require et include
2.1.4 Passage par valeur et passage par référence
2.2 Traitement des données transmises par HTTP
2.2.1 Échappement et codage des données HTTP
2.2.2 Contrôle des données HTTP
2.2.3 Comment insérer dans la base de données : insertion dans MySQL
2.2.4 Traitement de la réponse
2.2.5 Comment obtenir du texte « pur » : envoi de l'e-mail
2.2.6 En résumé : traitement des requêtes et des réponses
2.3 Mise à jour d'une base par formulaire
2.3.1 Script d'insertion et de mise à jour
2.3.2 Validation des données et expressions régulières
2.4 Transfert et gestion de fichiers
2.4.1 Transfert du client au serveur
2.4.2 Transfert du serveur au client
2.5 Sessions
2.5.1 Comment gérer une session web ?
2.5.2 Gestion de session avec cookies
2.5.3 Prise en charge des sessions dans PHP
2.6 SQL dynamique et affichage multi-pages
2.6.1 Affichage d'une requête dynamique
2.6.2 Affichage multi-pages
Chapitre 3 - Programmation objet
3.1 Tour d'horizon de la programmation objet
3.1.1 Principes de la programmation objet
3.1.2 Objets et classes
3.1.3 Les exceptions
3.1.4 Spécialisation : classes et sous-classes
3.1.5 Spécialisation et classes abstraites : la classe BD
3.1.6 Résumé
3.2 La classe Tableau
3.2.1 Conception
3.2.2 Utilisation
3.2.3 Implantation
3.3 La classe Formulaire
3.3.1 Conception
3.3.2 Utilisation
3.3.3 Implantation
3.4 La classe IhmBD
3.4.1 Utilisation
3.4.2 Implantation
Deuxième partie – Conception et création d’un site
Chapitre 4 – Création d'une base MySQL
4.1 Conception de la base
4.1.1 Bons et mauvais schémas
4.1.2 Principes généraux
4.1.3 Création d'un schéma E/A
4.2 Schéma de la base de données
4.2.1 Transcription des entités
4.2.2 Associations de un à plusieurs
4.2.3 Associations de plusieurs à plusieurs
4.3 Création de la base Films avec MySQL
4.3.1 Tables
4.3.2 Contraintes
4.3.3 Modification du schéma
Chapitre 5 – Organisation du développement
5.1 Choix des outils
5.1.1 Environnement de développement intégré Eclipse
5.1.2 Développement en équipe : Subversion
5.1.3 Production d'une documentation avec PhpDoc
5.1.4 Tests unitaires avec PhpUnit
5.1.5 En résumé
5.2 Gestion des erreurs
5.2.1 Erreurs syntaxiques
5.2.2 Gestion des erreurs en PHP
5.2.3 Les exceptions PHP
5.2.4 Gestionnaires d'erreurs et d'exceptions
5.3 Portabilité multi-SGBD
5.3.1 Précautions syntaxiques
5.3.2 Le problème des séquences
5.3.3 PDO, l'interface générique d'accès aux bases relationnelles
Chapitre 6 – Architecture du site : le pattern MVC
6.1 Le motif de conception MVC
6.1.1 Vue d'ensemble
6.1.2 Le modèle
6.1.3 La vue
6.1.4 Contrôleurs et actions
6.1.5 Organisation du code et conventions
6.2 Structure d'une application MVC : contrôleurs et actions
6.2.1 Le fichier index.php
6.2.2 Le contrôleur frontal
6.2.3 Créer des contrôleurs et des actions
6.3 Structure d'une application MVC : la vue
6.3.1 Les templates
6.3.2 Combiner des templates
6.3.3 Utilisation d'un moteur de templates comme vue MVC
6.3.4 Exemple complet
6.3.5 Discussion
6.4 Structure d'une application MVC : le modèle
6.4.1 Modèle et base de données : la classe TableBD
6.4.2 Un exemple complet de saisie et validation de données
6.4.3 Pour conclure
Chapitre 7 – Production du site
7.1 Authentification
7.1.1 Problème et solutions
7.1.2 Contrôleur d'authentification et de gestion des sessions
7.1.3 Les actions de login et de logout
7.2 Recherche, présentation, notation des films
7.2.1 Outil de recherche et jointures SQL
7.2.2 Notation des films
7.3 Affichage des films et forum de discussion
7.4 Recommandations
7.4.1 Algorithmes de prédiction
7.4.2 Agrégation de données avec SQL
7.4.3 Recommandations de films
Chapitre 8 – XML
8.1 Introduction à XML
8.1.1 Pourquoi XML ?
8.1.2 XML et HTML
8.1.3 Syntaxe de XML
8.2 Export de données XML
8.2.1 Comment passer d'une base MySQL à XML
8.2.2 Application avec PHP
8.3 Import de données XML dans MySQL
8.3.1 Simple XML
8.3.2 L'API SAX
8.3.3 Une classe de traitement de documents XML
8.4 Mise en forme de documents avec XSLT
8.4.1 Quelques mots sur XSLT
8.4.2 Application d'un programme XSLT avec PHP
Troisième partie – Compléments
Chapitre 9 – Introduction au Zend Framework
9.1 Mise en route
9.1.1 Installation d'une application ZF
9.1.2 Redirection des requêtes avec le ZF
9.1.3 Organisation et conventions
9.1.4 Routage des requêtes dans une application Zend
9.1.5 Configuration
9.1.6 Connexion à la base de données
9.1.7 Le registre
9.1.8 Contrôleurs, actions et vues
9.2 Accès à la base de données
9.2.1 Interrogation
9.2.2 Insertion et mise à jour
9.3 Le MVC du Zend Framework
9.3.1 L'objet request
9.3.2 L'objet response
9.3.3 Gérer les exceptions
9.4 La vue dans le Zend Framework
9.4.1 Les vues sont des scripts PHP
9.4.2 Le layout
9.4.3 Créer des Helpers
9.5 Le composant Modèle du Zend Framework
9.5.1 L'ORM du Zend Framework
9.5.2 Le modèle ORM de l'application
9.5.3 Manipulation des données avec les classes ORM
9.6 Pour conclure
Chapitre 10 – Récapitulatif SQL
10.1 Sélections
10.1.1 Renommage, fonctions et constantes
10.1.2 La clause DISTINCT
10.1.3 La clause ORDER BY
10.1.4 La clause WHERE
10.1.5 Dates
10.1.6 Valeurs nulles
10.1.7 Clauses spécifiques à MySQL
10.2 Jointures
10.2.1 Interprétation d'une jointure
10.2.2 Gestion des ambiguïtés
10.2.3 Jointures externes
10.3 Opérations ensemblistes
10.4 Requêtes imbriquées
10.4.1 Exemples de requêtes imbriquées
10.4.2 Requêtes corrélées
10.4.3 Requêtes avec négation
10.5 Agrégation
10.5.1 La clause GROUP BY
10.5.2 La clause HAVING
10.6 Mises à jour
10.6.1 Insertion
10.6.2 Destruction
10.6.3 Modification
Chapitre 11 – Récapitulatif PHP
11.1 Généralités
11.1.1 Commentaires
11.1.2 Variables et littéraux
11.1.3 Constantes
11.2 Types
11.2.1 Types numériques et booléens
11.2.2 Chaînes de caractères
11.2.3 Tableaux
11.2.4 Conversion et typage
11.3 Expressions
11.4 Opérateurs
11.4.1 Concaténation de chaînes
11.4.2 Incrémentations
11.4.3 Opérateurs de bits
11.4.4 Opérateurs logiques
11.5 Structures de contrôle
11.5.1 Tests
11.5.2 Boucles
11.5.3 Les instructions break et continue
11.6 Fonctions
11.6.1 Passage des arguments
11.6.2 Valeurs par défaut
11.6.3 Fonctions et variables
11.7 Programmation orientée-objet
11.7.1 Classes et objets
11.7.2 Constructeurs et destructeurs
11.7.3 Sous-classes
11.7.4 Manipulation des objets
11.7.5 Compléments
Quatrième partie – Annexes
Annexe A – Installation Apache/PHP/MySQL
A. 1 Mot de passe root
A. 2 Création de bases et d'utilisateurs
A. 2.1 La commande GRANT
A. 2.2 Modification des droits d'accès
A. 3 Fichiers de configuration
A. 3.1 Format d'un fichier de configuration
A. 3.2 Les différents fichiers
A. 3.3 Configuration du serveur
A. 3.4 Configuration d'un compte administrateur
A. 4 Sauvegardes
A. 5 phpMyAdmin
Annexe B – Référence MySQL
B. 1 Types de données MySQL
B. 2 Commandes de MySQL
B. 3 Fonctions MySQL
Annexe C – Fonctions PHP
C. 1 Fonctions générales
C. 2 Chaînes de caractères
C. 3 Dates
C. 4 Tableaux
C. 5 Fonctions XML
C. 6 Accès aux fichiers
C. 7 Interface PHP/MySQL
Index général
Index des fonctions PHP
Index des commandes SQL
Table des figures
Nội dung
5.1 Choix des outils 213 5.1.3 Production d’une documentation avec PhpDoc La communauté des développeurs PHP a produit de nombreux outils pour constituer des environnements logiciels de qualité. Ces outils contribuent à faire de PHP un concurrent tout à fait présentable de langages anciens et éprouvés comme C++ ou Java. La possibilité de produire une documentation directement à partir du code fait partie de ces acquis. Dans le monde PHP, l’outil qui semble le plus utilisé est PhpDocumentor http://www.phpdoc.org/ et c’est donc celui que je présente ensuite. Cela étant des logiciels plus généralistes comme doxygen, qui s’applique également au C, au C++, à Java et à beaucoup d’autres langages, produisent également un très beau travail. Documenter du PHP pour PhpDoc PhpDoc produit un site HTML statique contenant une description technique extraites des fichiers PHP d’une application web. La figure 5.5 montre un exemple d’une page PhpDoc produite automatiquement pour le site W EBSCOPE. Figure 5.5 — Exemple de page produite par PhpDoc La documentation est basée sur la notion de DocBlock qui sert à documenter des « éléments » du code. Les éléments sont les fonctions, les variables, les classes, et tous les composants logiciels d’une application PHP. Chaque DocBlock est simplement un commentaire de la forme /** */ (notez les deux étoiles initiales) constitué de trois parties aparaissant dans l’ordre suivant : 1. une description courte ; 2. une description longue ; 214 Chapitre 5. Organisation du développement 3. des balises choisies parmi un ensemble pré-défini et décrivant un des aspects de l’élément documenté (par exemple, la balise @author indique l’auteur de l’élément). La stratégie utilisée pour la documentation varie selon le type d’élément docu- menté. Pour faire simple, limitons-nous ici au cas des classes PHP orientées-objet. On peut les documenter à deux niveaux : la classe et la méthode (on pourrait envisager trois niveaux si on mettait plusieurs classes dans une page). Voici quelques exemples de balises utiles dans ce contexte. • @category est le nom de l’application ; • @package est une notion correspondant à un regroupement de classes parta- geant un même objectif (par exemple toutes les classes interagissant avec la base de données) ; • @copyright est le nom du titulaire de la propriété intellectuelle ; • @license est la licence d’exploitation ; • @version est le numéro de version. Voici un exemple de DocBlock pour la classe BD de notre application. /** * Classe abstraite d´efinissant une interface g´en´erique d’acc`es `a une BD * * Cette classe d´efinit les m´ethodes g´en´eriques d’acc`es `a une base de donn´ees * quel que soit le serveur utilis´e. Elle est abstraite et doit ^etre sp´ecialis´ee * pour chaque syst`eme (MySQL, Oracle, etc.) * * @category Pratique de MySQL et PHP * @package BD * @copyright Philippe Rigaux * @licence GPL * @version 1.0.0 */ Au niveau des méthodes, on peut ajouter la description du type et du rôle de chaque paramètre, ainsi que le type de la valeur retournée. Les paramètres sont marqués par la balise @param, suivi du type et d’une phrase qui décrit le paramètre. La balise @tag suit a même convention. Voici un exemple, toujours tiré de la classe BD. /** * Constructeur de la classe * * Le constructeur appelle la m´ethode connect() de la classe *etv´erifie que la connexion a bien ´et´e´etablie. Sinon une * exception est lev´ee. * * @param string Login de connexion * @param string mot de passe 5.1 Choix des outils 215 * @param string nom de la base * @param string nom du serveur * @return null */ function __construct ($login, $mot_de_passe, $base, $serveur) { } La production de cette documentation technique est particulièrement utile pour les bibliothèques, classes et fonctions utilitaires fréquemment appelées et pour les- quelles une description des modes d’appel est indispensable. Comment utiliser PhpDoc PhpDoc s’installe très simplement comme une application PHP. Récupérez sur http://www.phpdoc.org/ le fichier archive et décompressez-le dans le répertoire htdocs. Renommez le nouveau répértoire obtenu en phpdoc. Vous pouvez maintenant y accéder à http://localhost/phpdoc. Si vous voulez documenter une application, par l’exemple l’application W EB- S COPE, le plus simple, pour éviter de saisir systématiquement les paramètres de production de la documentation, est de créer un fichier de configuration à placer dans users/ dans le répertoire phpdoc. À titre d’illustration, voici un fichier de confi- guration minimal permettant d’analyser l’application web W EBSCOPE et de placer la documentation générée dans wsdoc. ;Titre g´en´eral title = Documentation WebScope ;; Quelle est l’application `a documenter directory = /Applications/MAMP/htdocs/webscope ;; O`u´ecrire la documentation? target = /Applications/MAMP/htdocs/wsdoc ;;Doit-on consid´erer les fichiers cach´es? hidden = false ;; Doit-on montrer les ´el´ements priv´es? (@access private) parseprivate = off ;; Quel est le package principal? defaultpackagename = WebScope ;; Fichiers `a ignorer ignore = *.tpl ;; Style de la documentation output=HTML:Smarty:HandS 216 Chapitre 5. Organisation du développement Ce fichier de configuration apparaît alors dans la liste des choix quand on accède à la page de configuration de PhpDoc. Il ne reste plus ensuite qu’à l’afficher avec le navigateur web. PhpDoc peut également engendrer d’autres formats, et notamment le format DocBook qu’on peut ensuite transformer en PDF. Toutes les documenta- tions techniques des composants PHP Open Source sont créées de cette manière (mais pas toujours avec PhpDoc, car, comme signalé ci-dessus, des logiciels comme doxygen font un travail au moins équivalent et valent la peine d’être étudiés). 5.1.4 Tests unitaires avec PhpUnit Vous devez bien entendu tester vos développements et vous assurer de leur correc- tion, en toutes circonstances. Le test est une tâche fastidieuse mais nécessaire pour une production de qualité. Le contrôle et la certification du logiciel constituent un sujet extrêmement vaste. Une première étape consiste à effectuer des test unitaires afin de contrôler les briques de base d’une application, si possible de façon automatique. L’outil de test unitaire pour PHP s’appelle PhpUnit et constitue la déclinaison pour PHP de JUnit (pour Java) ou CppUnit (pour C++). Son site d’accueil est http://www.phpunit.de. Ce qui suit constitue une brève introduction à son utilisation. Il faut commencer par installer PhpUnit. Le site donne deux procédures d’ins- tallation : la première avec pear, un gestionnaire de composants PHP, la seconde par téléchargement et configuration. Si pear n’est pas installé dans votre environnement, suivez simplement les instructions sur le site de PHPUnit pour une installation directe. Dans les deux cas, on se retrouve avec un script PHP phpunit qui s’exécute en ligne de commande (pas d’interface web). Commençons par un exemple trivial. Nous avons créé une classe Addition avec une méthode ajout() dont le but est d’ajouter deux nombres. Le code n’est pas trop compliqué : Exemple 5.1 exemples/Addition.php : Une classe sans intérêt, mais à tester quand même <?php class Addition { public function ajout ($a , $b) { return $a + $b; } } ?> Maintenant nous allons créer un second script PHP qui va tester le premier. Comme il s’agit d’un cas fictif, les deux scripts sont dans le répertoire de nos exemples, mais en général il faut bien entendu imaginer que l’application de test est séparée de celle qui est testée. 5.1 Choix des outils 217 Exemple 5.2 exemples/PremierTest.php : Une seconde classe, qui teste la première <?php /∗∗ Test de la classe addition ∗ ∗ / require_once ( ’PHPUnit/Framework.php ’); require_once ("Addition.php"); class PremierTest extends PHPUnit_Framework_Testcase { public function testAjout() { $addition = new Addition() ; $this−>assertEquals (2, $addition−>ajout(1, 1)); $this−>assertNotEquals(3, $addition−>ajout (2, 2)); } } ?> La simplicité de l’exemple a le mérite de le rendre assez clair. La classe de test instancie un objet de la class testée, exécute une méthode et effectue des contrôles sur le résultat obtenu. On vérifie ici que 1 + 1 = 2 et que 2 + 2 = 3. Il reste à lancer le script phpunit sur cette classe de test. > phpunit PremierTest PHPUnit 3.3.1 by Sebastian Bergmann. . Time: 0 seconds OK (1 test, 2 assertions) Tout s’est bien passé. Voici maintenant quelques explications. PHPUnit s’appuie sur des conventions de nommage consistant à donner aux classes de test un nom se terminant par Test et aux méthodes de test un nom commençant par test. La classe de test ne doit pas être située dans le même répertoire que l’application : le but est de lancer une application (de test) qui travaille sur une autre application (normale), cette dernière ne devant pas subir la moindre modification. Une classe de test hérite de PHPUnit_FrameworkTestCase. Ce faisant elle dispose de tout un ensemble d’assertions et de mécanismes pour exécuter les tests. Le script phpunit reçoit le nom de la classe de test et exécute chacune des méthodes de test. À l’intérieur de chaque méthode de test, on place une liste d’assertions exprimant ce que le code testé doit faire et quels résultats il doit fournir. Dans notre exemple trivial, on vérifie les résultats de deux additions. Dans un exemple plus réaliste, il faut inclure toutes les assertions exprimant ce qui doit caractériser selon . elle dispose de tout un ensemble d’assertions et de mécanismes pour exécuter les tests. Le script phpunit reçoit le nom de la classe de test et exécute chacune des méthodes de test. À l’intérieur de chaque. appelle la m´ethode connect() de la classe *etv´erifie que la connexion a bien et e´etablie. Sinon une * exception est lev´ee. * * @param string Login de connexion * @param string mot de passe 5.1. 2)); } } ?> La simplicité de l’exemple a le mérite de le rendre assez clair. La classe de test instancie un objet de la class testée, exécute une méthode et effectue des contrôles sur le résultat