Paléontologie française V10

t>% PALÉONTOLOGIE FRANÇAISE DESCRIPTION DES ANIMAUX INVERTÉBRÉS PALEONTOLOGIE FRANÇAISE TERRAIN JURASSIQUE ECHINIDES REGULIERS Test circulaire ou sub-pentagonal, quelquefois elliptique, plus ou moins hémisphérique Pores ambulacraires dis- posés par paires simples ou multiples, formant des zones continues du sommet que toujours en la base Tubercules rangés pres- séries régulières, supportant des radioles apparents etde forme variable Péristome muni d'un appareil masticatoire, s'ouvrant au milieu de fermé par une membrane tantôt imbriquées d'écaillés la nue, face inférieure, tantôt couverte Périprocte supérieur, opposé au péristome, quelquefois un peu excentrique en arrière, mais toujours subordonné aux organes de vision, au milieu desquels il est génération et de la la renfermé Appareil apical sub-pentagonal, composé de cinq plaques génitales et de cinq plaques ocellaires alternant entre tains cas, d'une elles, et dans cer- ou de plusieurs plaques intérieures addi- tionnelles qui déterminent l'excentricité du périprocte Ainsi caractérisés, les Échinides réguliers constituent, comme les Pai Échinides irréguliers, un groupe parfaitement va — Jur \ I TERRAIN JURASSIQUE naturel et se subdivisant en plusieurs familles Ces coupes moins secondaires sont faciles sont loin d'être d'accord sur auteurs établir, et les leur nombre et les limites qu'on doit leur assigner Lorsque nous avons, dans logie franỗaise, dộcrit les crộtacộ, nous avons rộparti familles : dées Salénidées, Depuis la le volume VII de la les divers genres en quatre Cidaridées, Diadématidées et Ecliini- publication de ce volume, plusieurs travaux importants concernant la classification des Ecbinides ont paru M Pomel, dans sa Revue des Echinodermes classification, Paléonto- Écbinides réguliers du terrain Perrier, dans ses Recherches sur M et de leur les Pédi- M de Loriol, dans l'introduction qui précède cellaires, la Description des Echinides crétacés de la Suisse, et tout ré- cemment M A les Agassiz, dans son magnifique ouvrage sur Echinides vivants, ont examiné et discuté, avec beaucoup de soin et de savoir, la valeur desdivers groupes d'Échinides et apporté des modifications plus ou moins profondes aux classifications adoptées jusqu'ici Tout en reconnaissant lajustesse des observations de ces auteurs, et la force de quelques-unes de leurs critiques, nous avouons qu'aucune des classifications qu'ilsproposent ne nous satisfait complètement, et quant présent, nous préférons conserver, dans ce nouveau volume, lesdivisions adoptées pour les Echinides réguliers du terrain crétacé Assurément nous ne voulons pas exagérer l'importance des différences divisions En ce organiques qui séparent nos principales qui touche la famille des Salénidées, par exemple, nous reconnaissons avec M Pomel Loriol, que la avec M de de certaines plaques anales nom de plaques suranales, ne con- qu'on désigne sous stitue pas et persistance le un caractère de très-grande valeur et ne doit pas ÉCHINIDES RF.GlLItRS être considérée, ainsi qu'on comme un passage ou même l'a [i cru pendant longtemps, une tendance l'irrégularité, périprocte ne cessant jamais, dans les Salénidées le dans tous les autres fermé dans les comme genres d'Échinides réguliers, d'être ren- organes de la génération et de la vision Ce- pendant nous n'avons pas voulu supprimer cette division qui nous permet de réunir en un seul groupe un certain nombre de genres reliés entre eux, non-seulement par leur physionomie générale, mais encore par la structure cons- tante de leur appareil apical, caractère toujours facile saiSi sir nous persistons maintenir les Salénidées de famille, c'est provisoirement et parce que, dans sification que nous suivons, nous n'admettons au rang la clas- ni tribu ni section de tribu Notre famille des Salénidées, dès l'instant où elle ne se rattache plus aux Écbinides irréguliers par l'excentricité de son périprocte, ne doit plus être placée la tête des Écbinides réguliers Si d'un côté elle est voisine des Cidaridées par l'autre elle se par le deux les genres Saleiria, Peltastes, etc., de rapproche essentiellement des Diadématidées genre Acrosalenia, et sa place naturelle est entre ces familles Nous reconnaissons également que les différences qui séparent les Diadématidées des Echinidées sont quelquefois très-difficiles a préciser, et liers, les que, chez Échinides régu- les caractères tirés de l'arrangement et du des pores n'ont pas irréguliers; il la même valeur que chez les nombre Échinides n'en est pas moins vrai que ces caractères concordent avec d'autres différences plus ou moins essentielles qui permettent de classer en deux grandes séries les nombreux genres réunis par MM Pomel la et de Loriol dans grande famille des Glyphostomes M de Loriol admet ces deux subdivisions, seulement il les désigne sous le TERRAIN JURASSIQUE nom de tribu; nous ne voyons réellement aucun inconvé- nient les conserver au rang de famille Les Échinides réguliers continueront donc pour nous former quatre familles : Am- Pores disposés par simples paires bulacres apical flexueux et composé de Appareil étroits Cidaridées dix plaques Pores disposés par simples paires Arabulacres tantôt droits et larges, tantôt com- flexueux et étroits Appareil apical Salénidées posé de plus de dix plaques Pores disposés par simples paires Am- bulacres droits et larges Appareil apical composé de Diadématiuées dix plaques Pores disposés par paires m ultiples.Ambulacres droits et larges Appareil apical composé de dix plaques Écdinidées Ces quatre familles ont des représentants dans jurassique; elles existent également l'époque La famille des Salénidées dispart avec rieures du terrain tertiaire; les trois les le terrain crétacée couches infé- autres persistent l'époque actuelle Famille des CIDARIDÉES Tribu des Angustistellès, Desor, 1857 Ciduiïdcvs, Wright, I808; Cotteau, 1801 el Cidaridées ou Holostomes, ; Ucsor de Loriot, 1868 Pomel, 1871 ; de Loriot, 1873 Pores disposés par paires formant une ou deux rangées; les pores sont tantôt séparés par un petit renflement gra- nuliforme, tantôt conjugués par un sillon sub-onduleux Aires ambulacraires étroites , llexueuses, quelquefois ÉCniNIDES RÉGULIERS «* presque droites, garnies de simples granules Tubercules interambulacraires largement développés, perforés, base lisse dans chacune des aires interambulacraires, Tetracidaris, les perforés ou iiû- ou crénelée, formant deux si rangées ce n'est chez où par exception ces tubercules forment quatre rangées Péristome sub-pentagonal, dépourvu d'entailles, larges ayant que les lèvres interambulacraires beaucoup plus correspondent aux aires ambulacrai- celles qui péristome est fermé par une membrane couverte res ; de petites plaques écailleuses, imbriquées, entre lesquelles le les pores ambulacraires se prolongent jusqu'à l'ouverture buccale Appareil masticatoire compliqué, solide, supporté par de fortes auricules Périprocte central Appareil api- du cal fleur test, granuleux, composé de cinq plaques génitales et de cinq plaques ocellaires perforées génitale antérieure de droite présente un aspect ri forme parfaitement Radioles taille, la plaque madrépo- distinct très-robustes, la variété ; remarquables par leur grande de leurs formes et des ornements qui les recouvrent Rapports et différences la famille — Les genres qui composent des Cidaridées se distinguent tous par leurs aires ambulacraires étroites, ne s'élargissant jamais aux approches du péristome et se prolongeant sur leuses de la membrane buccale d'une haute importance au ; les plaques écail- ce dernier caractère est point de vue zoologique : il touche l'organisation intime du système respiratoire et fait de la famille des Cidaridées un groupe parfaitement tranché Dans (1) pi nos précédents travaux (1), nous avons Cotteau et Triger, Èchinides du département de la Sarthe, p 338, LVI, 1860 — Cotteau, Note géol de France, e sộrie, franỗaise, terrain crộtacộ, t t sicr le XVII, genre Heterocidaris [Bull Soc p 378, 1800.) VII, p 180, 18G0 Cotteau, Paléontologie TERRAIN JURASSIQUE placé dans la famille des Cidaridées le genre Heterocidaris Tout en reconnaissant que ce type curieux chait des Diadématidées et rappro- se notamment des Astropyga de Gray, par ses pores affectant, aux approches du péristome, une disposition trigéminée, par ses plaques coronales plus longues, plus étroites et par conséquent plus nombreuses qu'elles ne le sont ordinairement chez Cidaridées, les et surtout par les rangées multiples de gros tubercules qui remplissent les aires interambulacraires, nous avions cru devoir le laisser parmi ambulacraires étroites les Cidaridées, en raison de ses aires et flexueuses et de la structure de son péristome qui est sub-pentagonal et pores ambulacraires très-peu développés Un examen de ce nouvel genre singulier nous engage revenir sur celte opinion nous ranger M Pomel de la ; l'avis et de M Desor et celui plus récent de nous retrancherons donc le genre Heterocidaris famille des Cidaridées pour le placer en tête de celle des Diadématidées Aux genres connus depuis longtemps la et qui constituent famille des Cidaridées, nous ajouterons élrange et un type très- que nous avons décrit tout récemment Nous voulons parler du genre Tetracidaris type nouveau appartienne au terrain crétacé, (1) Bien que ce comme il doit trouver sa place dans l'énumération générale des genres de la famille des Cidaridées, nous devons en dire quelques mots Les Tetracidaris se distinguent de tous les Échinides connus réguliers et irréguiiers, vivants et fossiles, par la présence de quatre rangées de plaques ambulacrairesau lieu En dehors de la (I) Cottean, E ce caractère, ce genre présente •hviides Zoologie, année 187?, (liu'i Socitté (jpM de p nouveaux ou '.'.;,, Franc, pi V 29; />°u — série, physiono- connus, Revue et Magasin de Note t de deux 1, sur le fjeure Tetracùlans p 258, pi III, 1873.) KCIllNIDES REGULIERS mie des véritables Ciaa? idées, el se rapproche des Diploci- daris par sa grande taille, ses gros tubercules crénelés et perforés, la structure de ses aires arabulacraires et l'arran- gement bigéminé de ses porcs La famille des Cidar idées comprend neuf genres donl voici les caractères A opposables : Deux rangées de plaques dans chacune des aires interambulacraires a Pores disposés par simples paires ambulacraires flexueuses; tu- x Aires bercules largement développés; pé- ristome de y moyenne laille Plaques dépourvues d'impres- sions Pores non z sillon, conjugués par un ordinairement séparés par un renflement granuliforme Cid\ris, Klein Cidaris coronata, Goldfuss zz Pores conjugués par un Tubercules crénelés ; le sillon plus souvent radioles robustes, garnis de granules ou d'é- Riiabdocidaris, pines Rhabducidaris Orbignyana, Desor Tubercules non crénelés Leiocidaris imperialis, Desor yy Plaques pourvues d'impressions Sillons porifères placés autour des scrobicules ; ; Leiocidaris, radioles lisses z Desor radioles or- Desor TERRAIN JURASSIQUE dinairemcnl dentelés sur les bords Porocidaris, Porocidaris serrata, Desor zz Desor Impressions sulurales Goniocidaris, Goniocidaris geranioides, Agassiz zzz Impressions coronales Agassiz Temnocidaris, Temnocidaris magnifica, Cotteau Cotteau xx Aires ambulacraires droites; tu- bercules peu développés; péristome de petite Orthocidaris, taille Cotteau Orthocidaris inermis, Cotteau h Pores disposés par doubles paires Diplocidaris, Diplocidaris gigontea, Desor B Quatre rangées de plaques sur Desor chacune des aires interambulacraires Tetp.acidams, Tetracidaris lïeynesi, Cotteau Nous maintenons dans fait précédemment, le la méthode, que actuelle et comme en genre Leiocidaris, quelques oursins de grande taille Cotteau nous l'avons le limitant appartenant l'épo- remarquables surtout par leurs radioles très-gros, finement striés et cylindriques Nous persistons cidaris établis par a été admis rejeter les genres Polycidaris et Lepto- M Quensledt Le premier de ces genres récemment par M de Loriol(l), plutôt d'a- près sa physionomie générale qu'en raison de l'importance des caractères qui lui sont propres et Wttibdocidaris et des Cidaris Sous le le distinguent des nom de Polycidaris nonariWfM Quensledt vient de figurer une seconde espèce qui s'éloigne des lïhabdocidaris par la structure de ses pores ambulacraires rapprochés les uns des autres et (I) Desor et de Loriol, Échinologie helvétique, p 81 non TERRAIN JURASSIQUE 454 et n'a été jusqu'ici points signalée que sur M Carabœuf a ajouté une plaire provenant des où rencontré M l'a localité celles Troarn (Calvados), dans Nous rapportons également marnes nombre de petit que nous communiquer un exem- connaissions, et vient de nous plaire trouvé un l'étage callovien l'A spinosa un Beaudouin ; il petit exem- d'Etrochey, argoviennes diffère un peu du type par sa forme plus globuleuse et par ses tubercules interambulacraires plus rapprochés Provisoirement ce- pendant nous avons cru devoir le réunir l'A spinosa Acrosalenfa kemicidaroides, Wright, Voy n°241, A hemicidaroides, p 368 Nous avons oublié de mentionner que M avait recueilli 1851 un exemplaire parfaitement J Beaudouin caractérisé de cette espèce Villotte (Côte-d'Or), dans l'étage bathonien Acrosalenia iiarioni, Voy n° 247, A Marioni, Cotteau, 1879 p 383 Cette espèce a été rencontrée dans l'étage bathonien du département de l'Yonne, par M Bonneville qui en possède plusieurs exemplaires provenant des environs du lac Sau- vain (Arcy-sur-Cure) Dès 1863, Michelin en avait trouvé un bel exemplaire Saint-Moré (Yonne), dans les marnes de l'étage bathonien Plusieurs des exemplaires de M Bonneville sont légèrement pénétrés de silice Acrosalenia radians, Voy n° 248, A Desor, 1846 radians, p 386 M Beaudouin nous a communiqué deux exemplaires de cette espèce très rare, trouvés Élrochey (Côte-d'Or), dans l'étage oxfordien TABLE ALPHABÉTIQUE & SYNONYMIQUE FAMILLES, GENRES ET ESPECES D'ÉCHWLDES DECRITS DANS CE VOLUME Planch Acrosalenia, Agassiz Angularis, Agassiz ccl et ccli Aspera, Agassiz, voy Pseudosalenia aspera Aspera, M'Coy (non Agassiz), voy 391 419 Acrosalenia hemicidaroides Berthelini, Pag 349, 350 368 Cotteau Boloniensis, Cotteau ccxliii 372 cclii et ccliii 399 Bouchardi, Desor, voy Acros hemicidaroides 368 Cotnplanata, Agassiz et Desor 412 Corallina, Daines 416 Cotteaui, Gauthier 409 Decorata, Wright, voy Acros angularis 391 Gauthieri, Cotteau ccxxxix Girouxi, É talion Graiteriensis, Gratiosa, 408 Étallon 417 Desor Hemicidaroides, Wright 357 412 cclxii et cclxiii 368, 454 Hunteri, Wright 415 Desor, voy Pseudos aspera Kœnigi, Wright, voy Acros Boloniensis 419 Interpunctata, 399 Lsevis, Agass., voy Acros spinosa 351 Lamarcki, Wright ccxliv et ccxlv 374 Lamberti, Cotteau ccliv et cclv 405 ccxi.v 378 Lapparcnti, Cotteau 436 TABLE ALPHABÉTIQUE ET SYN0NYM1QUE Planch Pag 414 Lens, Desor Loweana, Wright Lycetti, Wright ccxli 362 ccxl 359 Marconi, Cotteau ccxlix et ccl 389 Marioni, Cotteau ccxlvi, ccxlvii et ccxlviii 383, 454 Matheyi, Desor, voy Pseudos aspera 419 Meriani, Desor 413 416 Parva, Wright Pentagona, Cotteau ccxli Pseudodecorata, Cotteau 365 380 ccxlvi Pustulata, Forbes 414 ccxlix 386, 454 et ccxxxjx 351, 453 Radians, Agassiz Radiata, Forbes, voy Acrosal spinosa ccxxxvm Spinosa, Agassiz 351 419 Tnberculosa, Agassiz, voy Pseudos aspera Wiltoni, Wright, voy Acrosal Lamarchi 374 Woodwardi, Wright 415 Cidaridées ^idaris, Abichi, Klein 10 7, Mœsch 236 Acrolineata, Gauthier cxcvn 206 Acuminifera, Agassiz, voy Cid carinifera 199 Agassizi, Cotteau, voy Cid florigemma 149 Allobrogica, Desor 235 Alpina, Cotteau clxxv Alternans, Quenstedt, voy Diplocid altemans 28 343 Alternata, Stoppani 246 Amalthei, Dumortier (non Quenstedt), voy Rhabd Moraldinxt 24!» Anglosuevica, Oppel, voy Rhabd horrida 258 Antiqwita, Cotteau, voy Rhabd horrida Armata, Cotteau 258 cxlv Aspera, Agassiz, voy Cid Blumcnbachi Aspernata, Desor 89 235 , Authentica, Desor, voy Cid glandifera Babeaui, Cotteau Baculifera, Agassiz, voy Cid Blumenbachi 23 liil clv 59 89 457 TABLE ALPHABÉTIQUE ET SYNONYMIQUE Planch 140 Bavarica, Desor, voy Cid cervicales ccm ccm Beaugrandi, Cotteau Beltremieuxi, Cotteau Bertrandi, Michelin, voy biplocid giyantea Desmarest c.lxvi, clxvii, clxviii Blumenbachi, Munster Blumenbachi (pars), Munster, voy Cid florigemma Blumenbachi (pars), Agassiz, voy Cid cervicalis 149 140 222 ccn et cciv ce, 233 clxx Çalloviensis, Cotteau 04 oxlvi 30 cxcvn 199 Cotteau Carinifera, Agassiz 282 Caprimontana, Quenst., voy Bhnbd caprimontana 237 Cartieri, Desor Cartieri, Cotteau (non Desor), voy C Blumenbachi 89 246 Caudex, Stoppani Caumonti, Cotteau cliii et cclviii 50, Cervicalis, Agassiz et exem 140, 438 de Loriot, voy Cid 175 granulata Chalmasi, Cotteau clxxii Çhantrei, Cotteau clv Gharmasseij Cotteau clu Cladifcra, Agassiz, voy Biplocid o 57 48 335 elad&fera 242 Quenstedt Cotteau cliii 49 230 Constricta, Agassiz Copeoides, Agassiz, voy Bhabd copeoides Copeoides, Quenst., voy Uhabd 337 Cinnamonea, Agassiz, voy Diplocid cinnamonea Thurmanni 269 276 245 Cornalise, Stoppani Coronata, Goldfuss 87 288 Bhabd Censoriensis clxxviji, clxxix, ci.xxx et Desor 435 clxv Munier-Chalmas Censoriensis, Cotteau, voy Collenoti, 214 231 Bradfordensis, Wright Claviceps, 71 89, 436 Bouchardi, Wright Cervicalis, (pars) 205 clxi Boloniensis (pars, Wright, voy Cid Legayi Bononiensis, Wright 221 324 Blainvillei, Cellensis, 52 62, 431 clvii Baihonica, Cotteau Carabœufi, Pag Cliv Bajocensis, Cotteau clxxvi et clxxvii 132, 437 Coronata (pars) Agassiz, voy Cid monilifera 163 Coronata (pars), Ag et Desor, vo\ Cid propinqua 169 TABLE ALPHABÉTIQUE ET SYNONYMIQUE 458 Planch Pag Coronata (pars), Cotteau, voy Cid cervicalis 140 Coronata (pars), Quenstedt, voy Cid marginata 179 Coronoïdes, Rolle, voy Cid cervicalis 140 Cottaldina, Desor, voy Cid cucumifera Thurmann, Cotteaui, Étallon et voy Cid 31 flori- gemma 149 Courtaudina, Cotteau, voy Cid cucumifera 31 Crassa, Cotteau, voy Rhabd megalacantha 298 Cristata, Crossei, Agass , voy Rhabd cristata 313 Cotteau Crucifera, 14 cxliii Agassiz, voy Cid florigemma Cucumifera, Agassiz 149 cxlvii et cxlviii 31 , 430 Curionii, Stoppani 244 Curvata, Quenst., voy Cid pcrlata 240 Cylindrica, Quenstedt, voy Rhabd caprimontana 282 Cylindrograna, Quenstedt, voy Cid filograna Davoustiana, Cotteau 105 83 clxiv Depicta, Quenstedt 242 Deslongchampsi, Cotteau Desnoyersi, Cotteau Desori, Cotteau cxlvi 27 clxv 88 69 clx Digitata, Desor, voy Cid florigemma 149 Drogiaca, Cotteau, voy Diplocidavis gigantea 324 Ducreti, De Loriol cxcviu Dumortieri, Cotteau 210 clv Edwardsi, Wright 55 230 Elegans, Munster clxxlii Elegans (pars), Quenstedt, voy Cid propinqua 120 169 EZe