Sujet 1. Vous avez acheté dans une grande surface parisienne un produit dont la qualité ne vous satisfait pas. Vous écrivez à la direction du magasin pour vous plaindre.
Monsieur ou madame le Directeur,
Lors de mon séjour à Paris qui s’est déroule du 15 au 18 septembre, j'ai acheté un jouet pour les enfants de 2 à 4 ans que vous vendiez au prix de 124 euros. Il faut dire que cette poupée est belle avec sa robe vraiment colorée. Je pense que toutes les petites filles l’aiment bien. Néanmoins, j’ai été étonnée après que ma nièce a joué avec celle-là pendant 2 jours, car elle présentait des rougeurs autour de la bouche et aux mains. En recherchant des informations, j’ai appris que ce jouet était d’origine chinoise. Cela m’a déplu car votre employé ne m’a pas indiqué l’origine de ce jouet.
D’abord, comme vous le savez, les jouets chinois sont de mauvaise qualité car ils sont rapidement abimés, après environ une semaine. De plus, les batteries des jouets chinois sont à plat plus rapidement.
Ensuite, la plupart des jouets chinois ont une odeur désagréable qui provient de leur plastique Cela nuit à la santé, surtout à celle des enfants car ce
plastique contient des éléments cancérigènes, cela est en particulier dangereux lorsque les enfants les sucent.
En tant que consommateur, je me permets donc de vous demander de limiter la vente de produits fabriqués en Chine et en tant que mère j’exige que vous vous souciez de trouver une solution à l’amiable concernant la situation désagréable de ma fille.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, madame, monsieur, à l’assurance de toute ma considération.
Sujet 2. Pour être une ville mondiale, Hanọ doit faire diminuer les accidents de la route.
Hier, j’ai visité le Temple de la Littérature et j’ai eu plusieurs occasions de parler avec des ộtrangers. Je les ai interrogộs : ôqu’est-ce qui vous fait le plus peur à Hanọ ? ằ Les rộponses ont toujours ộtộ ô la circulation ằ. En effet, cette dernière est vraiment dangereuse. Malgré les efforts des policiers, les accidents routiers montent en puissance. Pour devenir une ville mondiale selon le vœu de tous les Vietnamiens, Hanọ doit donc résoudre ce problème, en particulier à l'occasion de son millénaire.
Tout d’abord, on ne peut pas nier les efforts des autorités Hanọennes pour la réduction du nombre d’accidents routiers. Grâce à ceux-ci, tous les habitants portent un casque en circulant (ce que nous ne pouvions pas voir il y a quelques années seulement) et il y a moins de chauffards qui brûlent les feux rouges par exemple. Toutefois, ces efforts ne sont pas suffisants : les embouteillages et les accidents ne cessent d’augmenter, cela nous crée beaucoup de difficultés et nous fatigue beaucoup.
Dans les grandes villes : Paris, New York, Berlin ou Amsterdam et même dans les villes asiatiques comme Pékin, Séoul ou Tokyo, la circulation est plus facile. On se sent en sécurité en prenant la route parce qu’il n’y a pas beaucoup de voitures et que les gens sont toujours prudents en conduisant. Pour que Hanọ soit une métropole mondiale, il est nécessaire de faire plus d’efforts pour réduire le nombre d’accidents.
De plus, les accidents de la route cỏtent très cher. Chaque jour, il y a des dizaines de morts dans notre capitale à cause de ces derniers. C’est un chiffre
terrible, je crois. Les victimes, si elles ont la chance de ne pas succomber, peuvent devenir handicapées. C’est trop dangereux, il est l’heure d’agir !
D’après moi, on doit prendre des mesures plus efficaces que celles d’aujourd’hui.
Premièrement, les autorités doivent édicter des lois plus strictes pour punir les gens qui passent au feu rouge ou ceux qui roulent trop vite.
Deuxièmement, l’État doit consacrer une plus grande partie de son budget pour la construction et l’entretien des routes à Hanọ. Si c’est possible, on pourrait élargir les routes pour éviter les embouteillages.
Troisièmement, on doit encourager les gens à prendre les transports publics plutôt que les véhicules individuels. Je crois que les autorités doivent donner l’exemple en prenant le bus pour se rendre au bureau.
Hanọ fêtera son millénaire dans quelques mois, il y aura beaucoup d’étrangers qui visiteront notre capitale. Si nous faisons des efforts dans le but d’améliorer la situation de la circulation à Hanọ, nous contribuerons à construire une image plus belle de Hanọ.
Sujet 3. Que pensez – vous de l’affirmation suivante: ôL’ộgalitộ, la paritộ entre les hommes et les femmes ne peuvent pas devenir rộalitộ ằ.
Rédigez un essai argumenté de 250 mots environ afin d’exprimer votre opinion.
Autrefois, on appréciait les hommes, les femmes étaient donc mal traitées.
Des millions des femmes dans le monde entier ont lutté en silence pendant des siècles. Aujourd’hui, les femmes occupent de plus en plus un rôle important dans la société. Pourtant, l’égalité entre les hommes et les femmes n’existe pas encore aux quatre coins du monde. On a raison en disant que l’égalité, la parité entre les hommes et les femmes ne peuvent pas devenir réalité.
L’égalité entre deux sexes signifie que les femmes peuvent faire tout ce que les hommes peuvent et inversement. Il n’existerait pas encore de notions ô le travail masculin ằ ou ô le travail fộminin ằ. D’un mờme rộsultat, on va recevoir le même salaire. La parité est que les femmes et les hommes ont des positions similaires et avoir des droits et des devoirs égaux dans tous les domaines. Il est évident que l’égalité, la parité entre deux sexes ne deviennent
pas complètement réalité à cause de différences physiques et de disproportions de niveau de vie, de conception entre les différentes régions.
Premièrement, les femmes, en général, ne sont pas aussi fortes que les hommes. Elles ne peuvent pas faire des travaux durs, surtout en maternité. À l’école, on ne peut pas demander aux jeunes filles de courir 1500 mètres comme les garỗons. L’obligation des femmes de faire leur service militaire est impossible.
Deuxièmement, la conception est très difficile de changer, les musulmanes portent toujours leur voile dans la rue même si elles sont autorisées à l’étranger.
Dans les pays développés, les femmes jouissent de l’égalité, mais dans beaucoup de pays lointains, moins développés, elles doivent subir de la douleur de discrimination.
En bref, l’égalité, la parité entre les hommes et les femmes sont encore le but idéal de notre société. Nous pouvons seulement faire des efforts pour améliorer la position et le rôle des femmes.
Sujet 4. Chacun a son opinion sur le meilleur régime alimentaire. A votre avis, quel est le régime alimentaire le plus sain ? Le suivez-vous ? Expliquez pourquoi.
La santé est le patrimoine le plus précieux pour les hommes. Elle devient donc une grande préoccupation dans la vie moderne. Afin d’avoir une bonne santé, l’important est de suivre un régime alimentaire sain. Autrement dit, il faut établir une alimentation raisonnée qui est caractérisée par le choix et le dosage des aliments en fonction des besoins de l'organisme (sain ou malade). Dans cet essai, je vais rộpondre à la question ôquel est le rộgime alimentaire le plus sain ? ằ en abordant d’abord rộgime alimentaire le plus sain en gộnộral et puis mon régime.
Chacun a son corps avec ses caractéristiques biologiques. C’est pourquoi, chacun s’adapte à un régime alimentaire. Pourtant, il y a de mêmes bases principales d’une alimentation raisonnée. Il faut comprendre l’état de la santé pour que la fourniture d’énergie au corps soit équilibrée aux besoins de l’organisme selon les périodes différentes. Il nous faut avoir au moins trois repas par jour, répartir les glucides d’une manière décroissante au cours de la journée (beaucoup le matin, moins le midi, peu le soir), boire 1,5 litres d’eau. Il
faut consommer chaque jour des fruits, des légumes verts. En plus, faisons attention aux viandes grasses, aux boissons riches en sucre. En effet, les personnes suivant le régime végétarien comme les japonais ont moins de risques de cancer que celles du régime carné tels que les américains.
Quant à moi, je dois étudier toute la journée, voire la nuit, donc, je mange cinq repas par jour, trois principaux et deux supplémentaires entre les heures de travail. Je bois plus de deux litres d’eau par jour. Je prends les aliments riches en vitamine pour le cerveau comme l’haricot vert, l’arachide, le sésame, etc.
J’aime bien les légumes.
Un régime alimentaire sain est un régime qui contribue à la bonne santé physique et morale, qui n'a pas d'effet nocif, néfaste sur l'organisme. Il n’est pas facile à suivre, mais il est nécessaire pour avoir un bon corps.
Sujet 5. Ces derniers temps, il y a eu beaucoup d’intempéries. Selon vous, quels en sont les causes et que devons-nous faire pour sauver la terre et les êtres humains ?
Les multiples catastrophes ont eu lieu cette année dans le monde : inondations au Pakistan, incendies en Russie, glissements de terrain en Chine ou encore les cyclones qui ont dévasté les ỵles des Carạbes, etc. D’ó viennent – elles, ces intempéries ? Allons – nous accepter de voir saccager cette nature que des générations nous ont légué presque intacte ? Certes non. Mais comment fait –on concrètement pour lutter contre des intempéries efficacement ?
Les catastrophes d'origine naturelle et humaine dans quatre coins du monde ont pesé lourd sur l'économie mondiale en 2010. Le 30 novembre le réassureur Swiss Re a estimé un endommagement environ de 222 milliards de dollars (169 milliards d'euros). Ce chiffre a "plus que triplé" par rapport à 2009, ó l'économie de la planète avait perdu 63 milliards de dollars en raison de ce type de catastrophes. De plus, les dégâts humains sont incomptables. La plus grosse catastrophe de l'année, le séisme en Hạti qui a dévasté la capitale Port- au-Prince et ses environs causant la mort ou la disparition de plus de 222.000 personnes. Au Vietnam, Nghê An a été la province la plus durement touchée par les inondations au mois d’octobre en 2010, avec 47 personnes décédées et 51 blessées. Les pertes matérielles sont estimées à près de 1.730 milliards de dôngs.
Les intempéries qui apparaissent brusquement, qu’on ne peut pas prévenir sont les conséquences négatives des activités humaines. Sous prétexte de progrès, de technologies avancées, ils dérèglent peu à peu le système de la nature. Les pays développés et émergents avec les usines industrielles partout, avec un grand nombre de moyens de transports émettent une énorme quantité de gaz de l’effet de serre. Dans les pays en voie de développement, l’agriculture traditionnelle utilise les engrais humain ou chimique et des pesticides polluant le sol, la technologie de traiter les ordures qui n’est pas bonne pollue de l’eau.
Les hommes détruisent les forêts, ravagent les sources naturelles. Ils provoquent donc le déséquilibre de la nature. De plus, la population augmente continuellement, plus on consomme, plus on rejette des ordures, des toxiques dans l’environnement. La vie de l’homme est en danger. La terre se réchauffe, la glace sur les pôles est en fonte, le niveau de la mer augmente. La sécheresse, l’inondation détruisent la récolte. La chaleur épouvantable en été, le froid effrayant en hiver mettent en péril la santé des hommes. On ne peut se réfugier nulle part quand la pollution est partout. Devant ces constats si alarmants, que faire ? N’est –il pas déjà trop tard ?
Il est sûr que les dégâts déjà causés à la nature ne sont pas réparables. Tout au plus, les hommes peuvent essayer de s’entendre pour cesser de polluer leur terre. C’est notre intérêt commun car notre vie est menacée ou, en tout cas, celle des générations futures. Le problème est bien sûr immense et ne peut pas être résolu par un tel ou tel pays. En effet, seule une sensibilisation dès l’enfance aux problèmes de l’environnement dans tous les pays du globe pourra permettre un véritable progrès en matière de lutte contre la pollution. Les pays industrialisés doivent réduire leur émission de gaz de l’effet de serre selon le protocole de Kyoto qui était en vigueur de l’année 2005. Les pays riches peuvent verser des sommes du fonds vert qui vient de fonder à Cancun pour aider les pays pauvres à améliorer la technologie pour lutter contre la pollution. Chaque pays doit donner des politiques adaptées pour protéger l’environnement. Chaque personne contribue à protéger notre planète par des gestes simples tels que ne pas fumer, ne pas jeter les déchets partout, ne pas détruire la forêt, utiliser les choses recyclées, l’énergie propre.
Brièvement, les intempéries qui anéantissent la vie humaine sont les symptụmes du changement climatique. Elles sont entraợnộes par les hommes.
La protection de la nature est un des enjeux majeurs du troisième millénaire.
Tout le monde doit contribuer à la protection de notre maison commune.