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TRIBU DES ANGIJSTIPEINWES CuUctèues penchée; engagée dans lé prolhorax, niais rareplus longue depuis le bord antérieur de ces organes jusqu'à l'extrémité des mandibules, que depuis ce l)Di(l jusqu'au protliorax rarement prolongée en espèce de museau, mais alors hanches antérieures allongées, et les intermédiaires conliguës Yeux situés sur les côtés de la tête, soit échancrés, soit entiers Tête ment jusqu'aux yeux: souvent ; Antennes insérées découvert, soit dans l'échancrure des yeux ou pris de celte échancrure, quand elle existe, soit au devant de ces organes; habituellement sétacées ou filiformes; rarement peine moins grêles vers l'extrémité; généralement allongées; de onze articles di* au inoins chez l'un des sexes, ou avec l'lincls, parfois de douze , onzième article appendice Palpes maxillaires dernier article de forme variable Prothorax latéralement sans rebord côtés repliés base notablement plus étroite que celle des élytres en dessous flanches antérieures allongées, contignës ou peu près, non séparées complètement par le proslernum Manches intermédiaires un peu ; ; , obliques ayant la et en partie séparées par le mésosternum, chez les espèces yeux très-échancrés parallèles et con- tête courte et les ; espèces ayant la tête allongée et les yeux eniieis ou médiocrement échancrés l'entre généralement de cinq arceaux paraissant rarement en avoir six Tarses antérieurs et apparents tinues cliez les , les postérieurs de quatre l'avanlintermédiaires de cinq articles dernier au moins, éebancré et garni en dessous d'une brosse OngUi simples Corps plus ou moins allongé, souvenl tirait - liin ;Ut f'e !n Societi' F.innéennCi 1m h v : : 66 i \- (.1 SI IITW'FS Les Anguslipennes ne peuvent êlre confondus avec les insectes qui om posent les premières Tribus de nuire seconde division des lléléro- inéres, e'esl à-dire celles des Barbipàlpes ei des Longipèdes, car ils ont base de leur prolliorax notablement plus étroite que celle dcsély 1res, la la tête non inclinée Ce dernier caractère les éloigne des Colligères des Yésicants, qui ont d'ailleurs la lèle généralement séparée du prolhorax par une sorte de nodule Leurs antennes se lacées on el cl filiformes, articles allongés, el leurs élytres ordinairement étroites, séparent des Lalipennes Ceux d'entre eux qui se rapprochent des Roslrifères par la forme de leur lèle, s'en distinguent par leurs b'S antennes non renllées vers l'extrémité et plus rapprochées des vux; par la forme de ces organes; surtout par leurs hanches antérieures allongées el par les intermédiaires conliguës Presque de là, le nom tous" onl le corps allongé el les élytres étroites : iV Angustipennes donné ces insectes par M Duméril Étude des parties extéutèuSes du cours en L'étude du système tégumen taire et des diverses parties du corps, montrant les affinités naturelles qui existent entre les insectes de celte Tribu, font sentir aussi les modifications la Puissance Créatrice a su varier avec tant d'art l'aide desquelles les formes exté- rieures simplement penchée, jamais verticale ou inclinée, offre des yeux sa plus grande largeur; plus ou moins rélrécie après ces organes, elle esl rarement engagée jusqu'à eux dans le prolhorax Chez quelques-uns comme les Calopes, la hase des mandibules est presque contỵgue au bord antérieur des yeux La vers tete, le milieu , mais chez les espèces offrant dans l'épislome el plus ordinairement dans le Iront un allongement plus ou moins sensible, les organes de la vision se montrent éloignés de l'origine de ces instruments de mastication Le labre, toujours très-visible et lié l'épislome, est tantôt Iran*, verse ou notablement plus large que long; lanlôl il se rapproche de la forme carrée; il se montre entier ou faiblement échancré ; parfois Les un peu rétréci postérieurement mandibules, toujours cornées, fortes el arquées, sont il est leur extrémité, plus ou el munies moins apparente leur côté interné d'une bifides membrane INTRODUCTION *iitrc la cliemin ; i> I des transitions plus ou moins insensibles nature de la corne et la consistance du cuir ou du parleur base toutefois, toujours cornée, s'élève le plus souvent Les mâchoires offrent d'une manière verticale, ou de manière offrir dans son point d'union avec la pièce suivante une carène Iransverse elles se divisent en : ilcux lobes moins plus court, proportionnellement d'une nalure ordinairement coriace ou parcheminée, distincts étroit, : l'interne, frangé ou cilié au côté interne: l'externe, plus long, tantôt courbé sur l'autre , tantôt droit et subparallèle, ordinairement coriace chez lés premiers, et en majeure partie corné chez les seconds, avec l'extrémité ciliée ou garnie d'une houppe de poils parfois par'.' en deux divisions Les palpes maxillaires, toujours notablement plus longs i|iie l< s le l r , court: le e , labiaux, sont composés de quatre articles peu e aussi le le 3visiblement grand que près plus court que l'un et l'autre de ceux-ci, généralement moins étroit que le S e :le4* ou dernier, de forme variable suivant les genres rarement cylindrique, : : ; comme dans les Sténostomes, il se montre généralement élaigi d'arrière en avant son côté interne, le plus souvent jusqu'aux trois cinquièmes au inoins de sa longueur, et rétréci ensuite en ligne Ou Courbe jusqu'à son angle anléro-exlerne; d'autres fois il en forme de contre ou de hache, comme les Asclères en offrent l'exemple en général son côté externe est peu près droit d'autres droite est ; fois, comme les trois ; chez les Nacerdes et les Anoncodes, cinquièmes ou un peu plus de sa il longueur, est anguleux vers cl sinué entre ce point et l'extrémité Le menton se montre souvent relevé sa base, de manière offrit dans son point de jonction avec la pièce prébasilaire, une carène transversale Son développement et sa forme sont variables suivant les gcu res Ordinairement plus large que long, il est tantôt rétréci d'arrière en avant, d'une manière arquée, tantôt en ligne courbe irrégulière quelquefois il est allongé comme chez les Sténostomes Sa surface e?*l plane chez les uns, concave chez les autres La languette, courte, coriace et cornée, est tantôt triangulaire on , rétrécie d'arrière en avant, tantôt transverse et éebancrée son bord antérieur Les paraglossed, membraneux et garnis de poils, pinson moins sailau devant de la languette, sont ovalaires ou arrondis leui lants extrémité aW liS vnri\\F.s Los palpes labiaux, généralement coin primés, sont composés de ii lis articles le premier, court le 2', ordinairement un peu élargi : : dernier, de forme variable suivant les genres \'êpistomc et le pÔsUpislome qui l'accompagne, sont pufois presque insensiblement liés au front, d'autres fois ils en sont séparés par une d'arrière en avant : le uttùre très-évidente, la suture frontale Dans les Tribus précédentes, nous avons cru inutile de distinguer ces deux pièces précitées, que l'un confond ordinairement dans la nomenclature mais, ici, elles méritent souvent d'avoir chacune leur nom particulier, car parfois la partie antérieure ou l'épistome proprement dit, est creusé d'un sillon longitudinal fournissant, pour la distinction des espèces, un bon ; caractère, négligé jusqu'à ce jour Lesjo»esont un développement variable Chez nos premiers \nguslipennes ayant les yeux rapprochés de la base des mandibules, Iles sont réduites a un espace assez restreint, et le plus souvent elles échancrent les yeux; chez les autres, elles ont une forme allongée, ordinairement parallèle et plus ou moins sensiblement creusée en sillon Quelquefois elles p naissent servira l'insertion des antennes d'autres fois, comme chez les Sténosloines, elles restent en dehors de • ; base de ces organes la Le front varie d'étendue suivant les gmres et même parfois suivant espèces ou les sexes Ainsi chez les Galopes il est beaucoup plus ainsi, chez les Xanlhochroas, sa restreint chez; le ,f que chez la J les ; largeur inégale sert distinguer les espèces Parfois il est séparé du poslépistome par une suture frontale, comme chez les Nacerdes ; comme OEdémères, il en est faiblement distinct Souvent limité au niveau du bord antérieur des yeux, il s'allonge chez les Slénostomes, pour prolonger la lôle, et contribuer former d'autres une fois, sorte de chez les museau Les yeux, situés surles côtés delà tète, s'étendent sur la partie inférieure de celle-ci, et empiètent parfois sur l'espace ordinaire du front Souvent saillants et convexes, comme (liez les OEdémères, ils ont comme chez les Slénostomes, une convexité beaucoup pi OS Leurs facettes distinctes une faible loupe, sont quelquefois Leur configuration grosses, comme les Galopes en offrent l'exemple et leur volume varient Parfois ils sont arrondis ou ovalaires; d'autres parfois, faible fois et ; nt chez sont ils chez , obliquement transverses Entiers chez les OEdémérales Slénostomes, ils sont entamés chez les autres, soit lé^èrecomme chez les Asclères, soit d'une manière profonde comme les les Galopes Chez les premiers, celte échanernre est visiblement 09 ivrHObL't.iio* due aux joues chez les seconds, elle semble produite par le front elle offre, du reste, dans sa position des différences qui varient sui; ; vant les genres Les antennes fournissent des caractères faciles utiliser Chez la torulus dans lequel est reỗue la ro tule de leur premier article, est sans saillie parfois même, comme tandis que chez chez lesStộnoslomes, il est reỗu dans une fossette plupart, la partie de la tête ou le ; ; comme Galopes, ce torulus se relève sur ses bord» eu une espèce de bourrelet ou de tubercule Chez ces derniers insectes, ces filaments articulés sont insérés dans l'échancrure profonde quelques-uns, les des yeux mais quand ces organes de la vision sont faiblement entamés, les antennes s'engagent peine dans cette échancrure, se portent plus ou moins du côté du front, eu s'éloignanl des yeux pour s'insd; rer plus avant Généralement un chez les ? , le plus souvent peu plus longues chez les