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Annales and Bulletins Société Linnéenne de Lyon 2633

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BULLETI N DL L A SOCIÉTÉ D'A\TIIROPOLOGI E DE LYO N Fondée le 10 Février 188 TOME VINGT-CINQUIÈM E 1.90 - LYO N 'PAIR S H GEORG, LIBRAIR E PASSAGE' DEL ' IIOTEL-DIEU 36-38 MASSON & C1e , LIBRAIRE S 120, 1907 BOULEVARD SAINT-GERMAIT( ANNEX E Mémoires lus la Séance de Novembre 190 VÉRIFICATION POST-MORTEM D'UN PELVIGRAMME OBTEN U PAR LA MÉTHODE DU PROFESSEUR FABR E P,r MM JARRICOT et TRILLAT (Mémoire non déposé ) REMARQUES ET EXPÉRIENCES SUR UNE MÉTHOD E RADIOGRAPHIQU E DE MENSURATION DES DIAMÈTRES DU DÉTROIT SUPÉRIEU R PAR M JAP.RICO T Chef du laboratoire de li clinique ohstétrica'e de Lion On a proposé plusieurs méthodes d'utilisation des rayon s de Roentgen pour renseigner sur les dimensions du détroi t supérieur examiné in vivo Nous citerons, par ordre chronologique, celles de MM Var nier, Lévy et Thumin, Fabre, Bouchacourt, Morin, Carlo s Santos, Contremoulin (1) Les recherches décrites dans le présent mémoire se rapportent exclusivement l'une de ces méthcdes, celle imaginé e par notre mtre, M le professeur Fabre, et réalisée par lu i dès 1899, au moins dans ses parties essentielles Avant d'entrer dans le détail des expériences, nous r.appelerons sommairement le principe de la méthode que nou s avons employée et les caractéristiques de son application (1) Pour une bibliographie complète jusqu'en novembre 1906 , voyez Donnezan, De la mensuration des diamètres du détroi t supérieur par la radiographie (thèse de Lyon, travail du Laboratoire de fa Clinique obstétricale) SOC ANTU , T XXVV , 1906 12 172 SOCIÉTÉ' D 'ANTHROPOLOGIE DE LYO N Principe de la méthode La méthode imaginée par le professeur Fabre consiste essentiellement radiographier, en même temps que le suje t dont on veut explorer le détroit, un cadre métallique divisé , disposé autour de lui On obtient, comane dans toute radio graphie, une image déformée, mais on obtient aussi - e t c'est le point original - la cote, l'échelle de la déformation Le cadre que nous utilisons la clinique est composé d e rubans d'acier de millimètres d'épaisseur Ces rubans fon t entre eux des angles de 90 degrés rigoureusement exacts, e t la substance dont ils sont composés en garantit la rigidité Leur caractéristique est d'ëtre régulièrement divisés en dents de scie, une dent par /0 millimètres Mes dents regardent l'intérieur du cadre ; un revêtement de fines lattes de bois protège le sujet sans altérer la netteté de l'image radiographique Ces dents aigués et aux arrêtes vives fournissent des repère s irréprochables En réunissant ces repères symétriquement , par des traits minces, sur le cliché ou sur une• épreuve, o n divise l'aire du radiogranune en un quadrillage dont chaqu e fraction élémentaire correspond, clans la réalité, un carr é de 10 millimètres de côté On a donc tous les éléments pour redresser le radiogramm e et construire en vraie grandeur l'image de la région anatomique qui se trouvait comprise dans le même plan que l e cadre et qui a été radiographiée en Inênle temps que lui Toutefois, une difficulté se présente Cette région ne nous offre pas dans un plan unique tou s les points que peuvent intéresser les mesures Dans toutes les espèces de bassins, le promontoire est situé notablemen t au-dessus ,du plan qui renferme les transverses et les obliques Sur plus de 100 bassins secs examinés dans les collections du Laboratoire, un seul a fait exception cett e règle, et c'était un bassin ostéomalacique La difficulté est donc bien réelle, mais elle ne subsiste pas (Cliché Jarricot ) FIG - Sujet en position pour ètre radiographié ; on voit les règles du cadre double placées dans les deux plans du détroit supérieur (Pour la position de l'ampoule, voyez fig ) SOCIETL D ' ANTIIRUPOL001E DE LYO N Elle est levée par l'emploi d'un cadre double, ou, plus exactement, par l'adjonction au cadre primitif ,de deux règle s latérales Ces deux nouvelles règles sont orientées dans l e plan du promontoire pubien ; bien placées, elle permetten t de mesurer ce diamètre avec exactitude Un dernier caractère achève de donner la méthode d e M le professeur Fabre sa physionomie originale et bien personnelle : c'est l'adoption de la position sur le ventre Le su jet radiographier est étendu sur la plaque dans l,a positio n indiqué par la figure Si paradoxale qu'elle puisse semble r de prime abord, cette position est la position de choix pou r bien dégager l'angle sacro-vertébra l., la partie difficile lire dans toute radiographie du bassin Applications L'orientation du cadre radiographique suppose qu'il es t possible de déterminer par des repères externes l'orientatio n des plans du détroit Sous le titre de Rapports des plans du détroit supérieur ave c tes saillies osseuses de la région sacro-lombaire, Mile' J Ro main a publié, en 1900, une étude sur ces points de repère Il nous part nécessaire de bien fixer les idées au sujet de ce travail Il faut d'abord faire abstraction de certaines erreurs qui s e sont glissées dans les calculs des moyennes Ce sont vrai semblablement des fautes de composition, qui ont échapp é la correction des épreuves Il serait, d'ailleurs, élémentair e d'épurer ces calculs, mais l'intérêt du mémoire n'est pas Il n'est pas davantage, croyons-nous, dans les mises e n séries des distances qui séparent les épines iliaques postérosupérieures des points où aboutissent en arrière les prolon- gements des plans du détroit Il n'est ni démontré, ni rnên:e probable, que les rapport s du plan du détroit supérieur varient avec certaines catégorie s établies dans les bassins : bassins généralement grands, bas- siANCE vu NOVEMBRE 1906 17 sins ronds, bassins aplatis, bassins aplatis généralement rétrécis, etc , catégories dont l'intérêt est surtout clinique D'après les chiffres mêmes de Mlle Romain, dans une mêm e catégorie, les distances des épines iliaques postéro-supérieures au prolongement du promonto-pubien varient dans de s proportions très notables Dans les bassins aplatis, par exemple, cette distance pourrait osciller entre 19 et 79 millimètres De pareils écarts enlèvent toute valeur un calcul de s moyennes, surtout, comme c'est le cas ici, avec de petite s séries et des séries très irrégulières Il n'y a donc pas discuter la formation plus ou moins légitime des séries qu i ont servi au calcul des moyennes Peut-être même n'y a-t-il pas lieu davantage de discute r la technique suivie par Mlle Romain dans ses recherches II faut, en effet, considérer deux applications bien distinctes de la méthode du professeur Fabre : 1° Une application cl?iuque, ou un peu appro rimative, mai s suffisante dans tous les cas et qui existe ; 2° Une appUcaiion anthropologique, ou rigoureusemen t exacte, possible peut-être, mais non instituée encore Les mensurations habituelles du bassin sec n'ont pas un e grande rigueur C'est un fait On peut, sans grand risque , mettre au défi dix anatcmistes, mesurant un même bassin , de donner une même valeur certains diamètres, les oblique s par exemple, les sacro-cotyloïdiens et souvent même les transverses Ces diamètres sont mal définis ; leur intérêt tout obstétrica l n'est pas diminué pour cela Le flottement 'dans leur détermination n'est pas une gên e pour l'accoucheur, parce que, s'il est difficile de les mesure r rigoureusement sur le bassin sec, cette difficulté est peu d e chose auprès de leur estimation sur le vivant et surtout auprès 17U SOCIETE D ' ANTHROPOLOGIE DE LYON de l'estimation des dimensions foe tales quai auront s'accommoder de ces diamètres On peut avoir des doutes sur la valeur des repères chi transverso-pubien et du mode que propose Mlle Ilomain pour estimer la hauteur du pronuuntuice 'intérèi, de son travail es t pourtant d'avoir bien mis en évidence qu'il est possible, pou r qui sait explorer clin i quement un bassin sur le vivant, de s e faire une idée, sien rigoureusement exacte, dans ions les cas , (lu moins très voisine (le la vérité, quasi aux distances qu i séparent le pronm ntoire du plan transverse-pubien (1), quan t la position ii donner aux règles, par conséquent D'autre part, si l'ordre de grandeur de l'erreur est dans l e cas de la radiographie nlélcique le nièrne que dans le cas d e la mensuration clinique ilti bassin sec, la valeur du procéd é est incontestable et digne an plus liant point de l'attention 11 11 a donc un tirs grand inféré/ (t saroir orner certitud e quelle esl l'erreur que l ' un peul commetlre en plaỗant le s rốgles (lu cadre radiographique un lieu en dehors (les flan s (font on se propose (le mesurer les (Iiamèlr(s ; c'est ( 'l cell e pr(é oeeulu(lion (pie nos expériences répondcnl * * * Quoique la méthode de radiographie métrique dont nou s parlons ici ait été instituée pour répondre ei satisfaire au x besoins de la clinique, - et seulement pour cola, dans l'espri t (1) ('e palan (trausverso-pubien) prolongé aboutit en arrière au dessus des épines iliaques pnstéro-sujéienres ii des ilislances variables suivant tes lvpes de bassin :, En ne prenant que le s moyennes (le ces listai ces, on trouve qu'elles varient de i i i IL millimètres Le diamùire pronionto-pubien ferait, Partie d'u n plan plais élevé en arrière, ii cause (le la sitr(è léviition (lit promontoire et, prolongé, il aboutit en arrière ii t G G et iuéni e centimètres au-dessus (les épines iliaques po:stéro-supérieures ( :es variations sont en rapport d'une (acon générai - avec• la hauteur dit lrronioufnire telle qu'on peut l'apprécier pa > le touche r vaginal et avec la forme du sicrnni - - I Romain, lcr rit (p G3) l~ic Radiographie faite en position sur le ventre Cache simple (lu professeur Fabre (Clichy ilu profe ssrur Fabre ) 178 SOCIETE D ' ANTHROPOLOGIE DE LYO N du professeur Fabre, ne peut-on espérer pour cette méthod e un rôle plus large et un rendement meilleur qu'à l'heure actuelle ? Il serait prématuré de rien affirmer, mais nous croyons qu e l'on peut espérer beaucoup Le principe est excellent En théorie, il est certain que l'on doit obtenir des mesure s rigoureusement exactes du détroit, si les plans sont correctement placés, par rapport aux règles Nos expériences démontrent que, dans la réalité, les faits répondent la théorie Reste donc seulenlent la question de définir correctemen t les repères externes ; comment placer 1•e cadre en bonne position par rapport aux plans du détroit ? * ** Avant de faire des expériences comparatives de pelvimétrie radiographique, il est bien certain qu'il faut d'abor d savoir mesurer avec rigueur sur le bassin sec les diamètre s qui vont être mis en cause Des approximations cliniques n e sont plus de mise ici Mais remarquons de suite que pour savoir mesurer correctement les diamètres du détroit supérieur sur le bassin sec , il faut d'abord savoir définir les plans sur lesquels on mesur e ces diamètres Les transverses, par exemple, sont compri s quelque part, sur les lignes innominées ; mais quelle hauteur exactement, sur le dos d'âne que forment ces lignes ? Dans le travail que nous avons publié ici même, sous l e titre de Méthode et appareils pour obtenir des figurations rationnelles du détroit supérieur (1), nous avons abordé l'étud e de cette quest i on Grâce aux appareils que nous avons fait construire, nou s pouvons : 1° Orienter le bassin d'une manière définie ; (1) Jarricot, Bull de la Soc d'Anth de Lyon, 1906 SEANCE DU NOVEMBRE 1906 179 2° Inscrire même les os du bassin les contours des plan s mis en cause Voici, d'ailleurs, notre technique actuelle pour définir l e plan horizontal anthropologique ou plan vrai du détroit ana tomique et, ,en même temps (1), une norma verticalis pelvienne Entre les mors d,e la pince du pelvistat (2), on saisit pa r la symphyse pubienne le bassin examiner A l'aide de l'épigraphe et des articulations du pelvistat , on dispose le bassin de manière que les deux extrémité s du pronionto-pubien minimum d'une part, les deux épine s iliaques postérc.-supérieures d'autre part, soient comprise s dans deux plans horizontaux, soit deux plans parallèles l a plaque d,e cristal, correctement dénivelée ; qui sert de base tout l'ensemble des appareils (fig 3) On détermine sur le bassin, ainsi orienté, les points- où l e détroit est coupé par le plan transverse médian d'Isaac ; o n r cherche ensuite, droite et gauche, le point de ce zlan o ù la saillie de la ligne innominée est maxima Ce point de saillie maxima est donné par un fil plomb supporté pa r l ' épigraphe transformé en potence, comme pour la détermination d'une norma basi!aris cranienne d'orientation allemande Ces points ainsi déterminés étant inscrits sur le bassin, o n cherche par tàtonnements, l'aide -de l'épigraphe agissan t comme trousquin, la position où le point de Crouzat et les deux points innominés se trouvent dans un même pla n horizontal Pour avoir le plan vrai du détroit anatomique, il suffi t d,e réunir les trois points par un trait continu (1) Il ne faut pas confondre l'H A avec le plan transversopubien de Fochier Le transverso-pubien comprend le bord supérieur du pubis ; l'H A passe dans tous les cas plus bas que c e plan (2) Jarricot, Description d'un support nouveau pourles étude s anthropologiques du crâne et du bassin (Bull de la Soc d'Anal de Lyon, 1906) 200 SOCIÉTÉ D 'ANTHROPOLOGIE DE LYON 202 SOCIETE D' ANTHROPOLOGIE DE LIO N sacro-lombaire Du côté pubien, il est impossible de commettr e une pareille erreur Dvidenlnlent, il ne faut pas prendre le repère pubien l'eeil et choisir par exemple, le pli sus-pubien Ce pli est placé un niveau plus élevé que le bord supérieur du pubis (Papillaut) Il faut palper légèrement, attentivement et, surtout, si l a femme est un peu grosse, ne pas craindre de placer l e repère pubien de 10 15 millimètres au-dessous du pubis Pour atteindre l'erreur de l'expérience IV, c'est juste l'in verse qu'il faudrait faire Il faudrait placer la règle pubienn e centimètres au-dessus du plan transverso-pubien, bien au dessus du pubis, par conséquent ; mais n'est-ce pas la preuv e que pour y réussir, il faudrait vouloir le mal placer ? Nous n'insisterons pas sur les petites erreurs ; celles d e millimètres sur les transverses peuvent bien être considérées, au moins en obstétrique, comme pratiquement san s intérêt Quant l'erreur de millimètres sur le transvers e maximum de l'expérience III, outre qu'elle est en soi minime , le moins qu'on en puisse dire, c'est qu'elle semble aussi difficile réaliser que l'erreur de l'expérience 1V En résumé, pour avoir des résultats douteux, il faudrai t faire une erreur de 30 millimètres dans l'application de l a règle pubienne et, pratiquement, une semblable erreur n e peut pas se commettre Il faudrait, d'ailleurs, et en ?mime temps, colulnettre un e erreur de centimètres aussi la région sacro lombaire, c e qui diminue encore, s'il est possible, la probabilité qu'un e telle orientation se trouve réalisée Inversement, on voit mal, priori, du moins, qu'une orientation mixte ne puisse se rencontrer Ne se pourrait-il pas que, la règle pubienne étant bie n placée, la règle sacro-lombaire soit en position incorrecte ? Certain en lent Voyons donc ce que les mesures deviennent dans cette hypothèse (I :liché .larricol ) il - Disposition du bassin dans les expériences VI, VII et VIII Soc ANTa , T XXV", 1906 I ~i `ZOO SOCIÉTÉ D ' ANTHROPOLOGIE DE LYO N Expériences relatives au ca s où un plan considéré du détroit supérieur lait avec sa règl e correspondante un écart angulaire sommet pubien Nous avons fait ces expériences avec des bassins secs Nou s avons pris les précautions les plus minutieuses pour repére r les règles et les plans Suivant la technique décrite dans la première partie d e cette note, nous avons, l'aide du pelvistat et de l'épigraphe , inscrit sur les bassins, intus et extra, les contours des plan s du détroit Nous nous sommes appliqué, ensuite, fair e correspondre le trait externe avec le plan du ruban d'acier Nous avons usé pour cela de deux procédés Dans' l'un, un fil tendu d'une règle l'autre constituait u n prolongement réel du plan transverso-pubien du cadre On faisait coïncider avec ce fil cieux points du tracé pris sur l a région sacro-lombaire On déterminait de même la coïncidenc e du plan des règles et du promonto-pubien minimum prolongé Dans l'autre procédé, plus rigoureux et, en même temps , plus commode, on munissait le cadre de deux petites tablette s possédant une feuillure dont la profondeur correspondait l'épaisseur des lattes postérieures du cadre Maintenues en place par des serre-joints, ces tablettes constituaient des prolongements des rubans métalliques ou, plus exactement, d e la face inférieure ou postérieure de ces rubans D'autre part , aux deux points où, précédemment, le fil prenait contact ave c l'os, on plantait sur les crêtes iliaques deux cavaliers d'électricien et on faisait passer par l'arcade de ces cavalier s une broche d ' acier, rigide et rectiligne Une seconde broche perforant la colonne d'arrière en avant s'étendait dans l'excavation du promontoire au point de Crouzat Les, figure s annexées au texte montre bien leur mode d'emploi Pou r appliquer l'un ou l'autre de ces deux procédés, le bassi n étant muni aussi de deux petites bro' ches pubiennes qui supportaient la symphyse au-dessus de la règle correspondante , l'en écartaient _dans la proportion des tissus mous chez le SÉANCE DU NOVEMBRE 190 vivant et servaient de charnière, dans le cas d'écarts voulu s entre un plan et sa règle Enfin, pour que ces broches jouassent correctement leu r rôle d'index, elles n'avaient pas de rôle dans la sustentatio n du bassin Ce rôle était imparti un support constitué par une tige verticale assujettie sur une plate-forme lourdemen t lestée ; sur la tige verticale, un bras horizontal pouvait s e déplacer de bas en haut ; ce bras était muni d'un écrou Le bassin, d'autres part, était solidement vissé par les ischion s une petite pièce de bois munie d'une tète rotule La rotule fixée dans l'écrou du bras horizontal, tous les mouvements utiles pouvaient être imprimés au bassin pour l'orienter par rapport aux règles L'orientation terminée, il suffi sait de serrer quelques vis pour immobiliser in situ cadre e t bassin Dans toutes les expériences, les bassins ont été munis d e repères métalliques, en particulier au niveau du 'promontoire et du point de Crouzat Grâce ces diverses précautions nous avons pu faire de s expériences qui sont précises et auxquelles on voudra bien, , peut-être, accorder quelque confiance EXPÉRIENCE V Quoique par hypothèse, les règles soient placées correctement, c'•est-à-dire dans les plans correspondants du bassin , la place normale de cette expérience semble ici ; voipï, e n effet, quoi 'elle répond : Le cadre est constitué d'une manière telle que la règle pubienne est dans le plan qu'on met en rapport avec le pla n transverso-pubien du bassin Les articulations des règles latérales promonto-pubienne s sont situées sur l e ruban même de la règle pubienne, e n arrière et en bas Dès lors l'objection suivante ne semble-t-ell e pas logique? plan transverso-pubien du bassin est correctemént Si le 206 SOCIE'FE D ' ANTHROPOLOGIE DE LYO N placé dans le cadre, le point de Crouzat est dans le plan d u cadre Mais le point de Crouzat ne peut pas se trouver en mêm e temps dans cieux plans faisant entre eux un écart angu - ]aire ; donc, le point de Crouzat n'est pas dans le plan de s Pic i5 - Expérience V Radiogramme non redressé (réduit au quart) règles promonto-pubiennes et, par suit, le promonto-pubie n minimum peut n'être pas mesuré avec exactitude Résultats - L'objection n'est valable qu'en théorie Pratiquement, le diamètre promonto-pubien minimum es t mesuré juste Diamètre promonto-pubien minimum vrai, cm 7, sur le radiogramme, cm Nctons, en passant, que tous les autres diamètres son t menés avec exactitude Après avoir tracé l'épigraphe le contour du plan trans- FIG 16 - Métrophotographie d ' un détroit supérieur Quadrillag e au demi-centimètre ■■ ■■.■ =iIi!u:i ■■ u u ■ ■.■■ ~■■.■.■ ■■C ■ ■.■.■■■ ■■ UU'CC ■ ■ ■■■.■■■ ■.■ i■.■.■ ■ ■■■.■■■■■ ■.■■■■ ■ ■ ::::::::.:::MIMI ::: ::: FIG 17 - Radiogramme redressé du bassin ci-dessus Quadrillage et réductio n â la même échelle Expérience V Fm 18 (Cliché Jarricot ) -Radiographie d ' un bassin sec, muni des broches métalliques destinées orienter systématiquemen t les deux plans du détroit supérieur et les deux plans du cadre double (Dispositif de Jarricot ) SIUNCE DU NOVEMBRE 190G 20 :: :, ' mi C :GÜ/i ï'üüiï, iGirii 7ô.iGiiiü ~i üii :iiiï : : : ::6:99 :r.~~ °.r, ae i-ln B ' • ~ ~w~• ipa YMG.'N•• ~'y? ■ :Ea s ï?E ~ M• N : : tri\ H : :: rrw : : a ■ m.; 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[i) - Expérience VI - Comparaison du plan II A (trait continu) et du contour du radiogramme redressé (pointillé) - 210 SOCIETE D 'ANTHROPOLOGIE DE LYO N verso-pubien, nous l'avons moulé en plaire Nous avons coin paré ensuite ce moulage au contour du radiogramme redressé par la mise au carreau Sauf, bien entendu, pour 1a région du promontoire, le s deux contours coïncident sur tout leur pourtour Enfin, avant de poursuivre, qu'il nous soit permis de fair e une remarque encore Nous mettons en regard, dans les figures 16 et 17, une réduction du radiogramme redressé et une métrophotograpid e du même bassin (échelle millimètres pour centimètre) L a similitude des cieux courbes comparées est, une fois encore , complète On jugera peut-être avec nous que ce contrôle réciproqu e n'est pas sans intérêt Il démontre que notre plan H A corr•espond rigoureusement au plan vrai du dét r oit anatomique EXPÉRIENCE VI Le bassin utilisé dans l ' expérience V ayant été vissé avan t la macération, il est traversé de part en part par les tige s métalliques filetées qui servent cet usage Comme dans cette expérience (VI) et les suivantes, le repèrage du plan a été fait l'aide de broches d'acier, pour n e pas surcharger la rad i ographie d'ombres parasites et a u moins inesthétiques, nous avons choisi un autre bassin Le s expériences VI, VII, VIII ont été faites avec le bassin don t le profil est présenté figure Une raison d'ailleurs plus importante a motivé notre choix Comme le montre le profil , ce bassin possède un promontoire d'une hauteur exceptionnelle Il réalise, par suite, le cas le plus difficile mesure r correctement par la méthode radiographique C ' est donc bie n le bassin type que nous devions choisir Après nous être assuré (expérimentalement) que les règle s en position correcte donnaient une mesure juste de tous le s diamètres, nous avons introduit entre la face postérieure de s règles et la feuillure des tablettes deux cales de 10 millimètres B.S Fio 20 et 21 - Expériences VI et VII - Radiogrammes non redressés (réduction de moitié) 212 SOCIGTL D ' ANTHROPOLOGIE bE LYO N Les broches étant mises en contact avec les tablettes, le bassi n se trouve orienté comme suit : Le pubis bien placé par rapport la règle pubienne L e Plan transverso-pubien du bassin aboutit en arrière centimètres ,en dessous des règles La position de l'ampoule est celle de toutes les expériences ; l'angle de la règle transverso-pubienne avec l'horizontale d u plan du lit est de 54 degrés Résultats - Tous les diamètres sent mesurés correctement EXPÉRIENCE VI I On renverse les conditions de l'expérience VI, le plan transverso-pubien du bassin passe en arrière centimètres au dessus des règles Résultats - Tous les diamètres sont encore mesurée correctement C ' est tout au plus si la superposition de la courb e du radiogramme la courbe vraie du détroit montre un e tendance légère l'augmentation de l'image clans la régio n située au-dessus du transverse maximum EXPÉRIENCE VII I On place correctement le bassin dans le cadre Mais a u lieu de quadriller sur les dents des règles du transversopubien, on trace le réseau sur les règles promonto-pubiennes C'est comme si, après avoir correctement placé dans l'espace règles et bassin, on laissait en place le cadre et amenai t le plan transverso-pubien du bassin occuper la région d u cadre dévolue au promonto-pubien Le profil indique un écar t de centimètres entre les deux plans au niveau du promontoire On voit l'écart que cela doit représenter sur l e vivant, puisqu'il convient d'augmenter au moins 65 millimètres chacun des deux côtés de l'angle formé par les plans, SPANCts DU NOVEMBRE 190G : ::: :CU::Se ÇLŸi.: : : an: : iuan :::'■■;"i= üiii':° : :,■ ï~•°tL.■' ■Ÿ:;~;~;;YI:: y.:: ; ■.Wu:o , H : Y.L ~~a YN Y ;■ 21 'I::MU: ■ h: 'i` :;e ri;U.«rrar",~imm:: : •■° : :C ôL°i :x :: aalC a::M'Y n tl '_# L•■ w /a■aw■'LŸL■' ■r aa■ ■a1• :/:: ■:dL ■■ ■Ma ■ ■: " :::::in■'V ~~~ ■ga' ,ôiMaunw:YmWa:■W■■SN■ : LMM: :à Li ::'Ÿ::Ÿ::LHa a :a a : :Y■:::■W■x.H :Ÿ::n:: : p :::::: a/ởS"ỷ i ụS ::L:.ầLL:LL L :~LLZZ :LL.'LL~■ ~ MI::Lt :L:L:Z ~LL :L:~: : û:°.L.•LSLC : :::::a■■a;: ••■ ;C4••~~:LL°L: •• a■a••a/.Y■ •■■• a•I•a.aaaa : a •■:aa :: :Na■WNHa■■WaY■•~ •■■ ••N■ • ■aa: •• ■ \ Y:L :4 YYYY:a' aH■a/■Y ■u,,• naaÛ•L ■ L Z: x ■ HWH N4 NWaY■ ;■■ HHO:::: ■ : AS :.0aa••a.~ :aa■):■l`■ `LŸ°`: :■■Na~L~~■IMW IŸM■■ :::aM■ap: : ::: :`::Y'LLS':LL:fLH.■•N '::: : a':LLÜ a■/■tl/ :a,I Cti:f1' ~ :a■1•/■H, ■l:tl.nW N M tl :LCLpa■L• ■ ■■aa ; YY :: : mn NH ~ Ÿ■maanN.x IUaaL■a:a'::::L:°: ŸL::YŸ:à:ne Ln °■ơ:Co.H.C : 7.n:L•Ÿ■a:/: :::::: N:a xnLIh■ 91un :me:::::::::::L:::: ::■g■ả~atl■/~\■a NLL■:•~:' Y :■ ia■■■ :Ÿ:: :: : L ;■bl ::: ::::: ::■U: : :■aaLNHLE : : ! ■■ax :.,IU :` a wii :::Y ~~~"W1 u ~IMC L ô:Ohằ :b:: ::: N ua • • • Ya■■LI:: : :::■H : : :ne ' :w::::: :•■ :V:: a~ UY• Y :: • ■• :.:fY■aLa•~J W :LSC û■ :.• mu- ::a: sna■ w Ÿ■: nûx~a~ •:■'LY.La :::: :::: nHs :: : Y-a■.'._`;ri,L:: •en: :ü: , :rH ::::: b:âau :Y:■Hp::ơiƠ •■•■ ' re:ax aa■■ nu:Siiiii ;.le L;°~ r' .NLa:Y Ytl a "`HHi a WSLL:Si ''m m:• : ::LS■° ■aMa :û , ::ü ::Mid:::ri:: ü Y ■•4a■ m/ am~YW■W■ :aŸY MYY\.IWH -~~ tl L e M V ram Y W Otl\ tlmHnnap\w tlt l ■ a \ r „ UxlCaa■■ `NIa amtl uvO Ÿ L Hx•_ë WiH■H n a\ y■M W■ J U U Hau.xH9 WaW■aaW CtlaUna \4 ■.a V■O■ atl w'LiLL«'L :"YLL' H N°;.LL W Y.H■ :Y : Ÿ•ƠU Y■UaY•/ L Y•• magna■.R:U\Ubaa■ :.H.O:L::I ŸM LCL:••w~.O `w° °û'i ,S.• L' :~HNHi:i.'■°'aa'L'■' L ,~aa ga Hi■ CYWNY■ : ■■• x•Ya■WUa Y•HN■a ûvia:ar•Y iau•■.•aa■ ■p':: : : :::.mHWx maủiüma Gi•.YW aiL':m W::ri:::a■:Cuu.: namu :.•uutlm :w'Lni:: SS:tLLw.diơHa Yn■u utl■::.tlûL■°.~ z :::u raVU:u•::::: aaiH ::::: : H.::L:: •uui nYtlmU Na•L râi.■°a•ûüûaawi a ûtlu Ÿ m a i\ m :■°iû■ûl\~ü■ L H iSÛi■I n uLLawx■nL: ;N■YWaY :: a a :i:i~~ °: :L : p :LL :û: ■• û■~M :LLL l■ man ;;mtlû::aav~ YY ■ C :a S: :~: =::,r=u:mhWnuu/ma:■ma: :: 'NL:::.l•:::Ÿ•::H : :ûi.•' ; 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RADIOGRAPHIQU E DE MENSURATION DES DIAMÈTRES DU DÉTROIT SUPÉRIEU R PAR M JAP.RICO T Chef du laboratoire de li clinique ohstétrica'e de Lion On a proposé plusieurs méthodes d'utilisation des rayon s de Roentgen... (Bull de la Soc d'Anal de Lyon, 1906) 180 SOCIHTE D ' ANTHROPOLOGIE DE LYO N Le fait que ce plan est défini et orienté lui confère de s avantages certains Indépendamment de la mesure des diamètres

Ngày đăng: 05/11/2018, 19:14