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Histoire naturelle des insectes 08

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I HISTOIRE NATURELLE DES INSECTES TOME III Ouvrages qui se trouvent chez même Libraire, le Cours de Thèmes pour les quatrième , troiiième et seconde chutes, l'uiage des collèges; par M Planche , professeur de rhétorique au Collège royal de Bourbon; ouvrage recommandé pour les collèges par le conseil royal de l'Université Un vol in-ia, i8a4 , j fr 5o c Description des Mœurs, Usages et Coutumes tous les Peupies du Monde , contenant une fonle d'Anecdotes sur lu sauvages d'Afrique, d'Amérique, les Anthropophages, Hottentots, Caraïbes, Pa lagons , etc etc Seconde édition , très augmentée, q vol in-18 , ornes de a gravure* fr Épilepsie (deV) en général , et partïcnlièrement de celle qui » art , est déterminée par des causes morales; par M Voussin-Vubreuil Un vol- in-ia Deuxième édition, i8a5 fr Esprit {de V) des Lois ; par Montesquieu Nouvelle édition, du portrait de l'auteur C109 vo '- in-is» , 1822 iafr Glaires (des)-, de leurs causes, de leurs effets , et des indica- ornée tions remplir pour sin-Dubreuil , les combattre in-8 , 1824 Neuvième édition; parM Doits4 fr Nouveaux aperỗus sur les causes et les effets des Glaires; même Un vol in-8a fr De l'emploi du remède contre les Glaires, et observations sur yar le Un vol in-8 ;5 c Graissinet (M.) ou Qn'est-U donc? histoire comique, satirique et véridique, publiée par M Duval Quatre vol in-ia, i8a3 10 fr Grammaire franỗaise ( nouvelle ) , sur un plan très méthodique, avec de nombreux exercices d'orthographe , de syntaxe et de ponctuation , tirés de nos meilleurs auteurs, et distribués dans l'ordre des règles; par Noël et Chapsal ; ouvrage mi» au nombre des i«l effets MM parle conseil royal de l'Université Huitième édition fr Deuxvol- in-ia , 1827 Ze Corrigé des exercices, par les mêmes Va vol in-ia , livres classiques 1897 Grammaire franỗaise de Restaut Grandeur (la) ; gros volume in-ia, ifia4 a fr 5o c vol, in-ta, des Romains; par Montesquieu i8aa a Guide (nouveau tion 1S23 Un ) de la Politesse ; par Lmen'c Secoudc If, édi- 5fr vol in-8 riK L IMPRIMERIE DE CHAPELET, rue de Vaugïrard , n° HISTOIRE NATURELLE DES INSECTES composee réaumur, ceoffroy, degéer, d'après rof.sel, linné, fabricius, Et les meilleurs Ouvrages qui ont paru sur cette partie ; RÉDIGÉE SUIVANT LA METHODE D'OLIVIER, ET ORNÉE DE FIGURES DESSINÉES D'APRÈS NATURE PAR Membre de F la M G DE TIGNT, T Société d'IIistoirc naturelle de Paris TROISIEME ÉDITION, Revue , augmentée et mise an niveau des connaissances actuelles PAR M F E j GUÉRIN, Membre et la Société d'Histoire naturelle' de Paris de plusieurs autres Sociétés savantes TOME TROISIÈME PARIS, RORET, LIBRAIRE, RUE HAUTEFEUILLE, AU COIN DE CELLE DU HATTOIR l828 0L fyê3 202349 HISTOIRE NATURELLE DES INSECTES LXXVI' GENRE HANNETON Caractères génériques Antennes en niasse allongée, feuilletée premier composées de dix , est gros et articles presque sphériqne antennules inégales, filiformes; dont , le — Quatre antérieures les un peu plus longues, composées de quatre arJambes antéticles; les postérieures de trois — rieures avec deux Linné Degéer , les petites dentelures et M Geoffroy ont hannetons parmi M Fabricius mé un genre, que depuis ment forme les lui les les scarabées en a séparés les et placé ; mais en a for- auteurs qui ont écrit ont adopté On distingue facile- hannetons des scarabées, par la dit corps Les hannetons ont les antennes composées de dix articles m , dont le premier est gros et i , HISTOIIIK •1 NATURELLE assez long; le second est gros et court; le un peu plus allongé; troisième est vans sont presque égaux; ou quelquefois masse Ils les sui- les trois, quatre sept derniers forment une les feuilletée, allongée et arquée ont chaperon le quelquefois avancé , arrondi ou échancré , et plus très ou moins bordé La bouche périeure épaisses , composée d'une lèvre su- est de deux mandibules courtes , comprimées leur extrémité ; , quelquefois dentées de deux mâchoires d'une , lèvre inférieure, et de quatre filiformes, dont antérieures sont un peu les longues que plus de quatre articles antcnnulcs autres, les , et composées postérieures de les trois Le que corselet est la tête , un peu convexe, plus large arrondi sur les côtés ou moins bordé; l'écusson les élytres sont plus elles ont un rebord et elles usage quand et plus ; courtes que l'abdomen; très petit recouvrent deux ses, repliées , est triangulaire de chaque côté, ailes membraneu- l'insecte n'en fait point DES HANNETONS L'abdomen allongé, est triangulaire l'extrémité Les pâtes sont de longueur moyenne, plus minces que celles des scarabées les ; jambes antérieures ont quelques dentelures, les autres ont quelques épines; cinq articles, dont les les tarses ont dernier, plus long que le autres, est un peu arqué et terminé par deux crochets assez forts et aigus Les hannetons ne sont que trop connus, par aux arbres en le tort qu'ils font pouillant de leurs feuilles les dé- Pendant toute leur vio, ces insectes se nourrissent de substances végétales; sous l'état de larve, rongent et détruisent vivaecs bres et , les des arbrisseaux et plus durs tempérés, pendant assez les racines Dans même : des ar- les climats froids engourdies les larves restent l'hiver ils des plantes elles sont alors profondément en terre , enfoncées enfermées dans une loge qu'elles construisent en au- tomne; mais au printemps on voit partre l'insecte parfait; c'est hanneton dévore sous cet état que les feuilles dans de certaines années , des le arbres ; ces insectes sont HISTOIRE NATURELLE si abondans aux environs de Paris, qu'ils dépouillent presque entièrement les arbres de leurs feuilles Dans le midi de la France , ou en trouve une espèce qui y est assez com- mune , qui mange qui attaque plupart des arbres assez des vignes, et les feuilles saules, les peupliers et la les fruitiers nombreux mais ; Ce genre est toutes les espèces ne sont pas également nuisibles Celle qui fait le plus de tort est C'est le hanneton vulgaire ordinairement au printemps qu'on voit partre ces insectes; pendant la plus grande partie du jour, gourdis , branches et restent et aux ils sont comme feuilles des arbres; mais pressés par le besoin de manger de s'accoupler, dès que le soleil est et même un peu et volent en volant de tous ils avant, côtés ils et surtout , couché prennent Leur vol font entendre ment semblable en- immobiles attachés aux est , l'essor lourd ; un bourdonne- celui des grosses abeilles Ces insectes, qui vivent peine huit jours sous leur dernière forme, s'accouplent peu de temps après être sortis de terre et leur ac, couplement dure vingt-quatre heures Peu- , S DES IIÀHNKTONS; dant l'accouplement de rière la femelle, le , dans cette position , partout où elle veut temps après la il mâle pend au der- ayant le dos renversé; il se laisse entrner le conduire tombe épuisé et ; peu de meurt Mais après femelle vit plus long-temps Aussitôt elle creuse un trou , qu'elle a été fécondée en terre s'y , l'aide de ses pâtes antérieures enfonce profondeur d'un demi-pied, la d'un jaune y dépose des œufs oblongs , les uns clair , que quelquefois elle arrange auprès des autres, et après sa ponte elle du trou, mange encore pendant quelques jours, et meurt ensuite Les larves qui sortent de ces œufs sont sort molles, allongées; elles ont six pâtes courtes, écailleuses; la tôte grosse et écailleusc ; deux antennes composées de cinq articles , et neuf stigmates de chaque côté; leur corps est composé de treize anneaux Ces larves, qui sont connues des jardiniers sous le nom de vers blancs , vivent trois ou quatre an- nées sous cette forme, fois de peau dant : et changent plusieurs elles restent l'hiver, et engourdies pen- ne mangent qu'au commen HI3TOIRP le on devant de voit ỵle NATURELLE la tète est comme coupé, peu avancée la munie d'une corne petite dent rieure est avancée ; ; le corselet est est très petit les élytres et chaque côté du chaperon une , et partie supétrès courte ; arrondi postérieurement sont pointillées , pâle ; On les est ; et ont des lignes longitudinales peu élevées, peu apparentes l'abdomen , convexe l'écusson ; d'un rouge plus ou moins pâtes sont d'un vert bleuâtre trouve cet insecte en Afrique, sur la côte de Barbarie Le Hanneton Renard, Melalontlm Vxdpes G Amplùcome Lath Il est un peu plus petit que le précédent ; son chaperon est carré , avec les bords un peu relevés ; tout le corps est couvert de coupoils longs, fins, serrés, et d'une belle poinleur fauve ; la tête et le corselet sont l'écusson est artillés et d'un jaune doré ; rondi ; le corps est noirâtre en dessous mais l'abdomen est d'un rouge brun ; , les HIST01RK NATURELLE 3ï6 trémité; le dessous du corps et d'un vert bleuâtre On la que la les ; patcs sont brillant trouve en Europe, dans sablonneux secs et , elle est endroits les moins commune aux environs cicindèle champêtre, de Paris La Cicindèle quadrirayée Cicindela , quadrilineata Elle est et a près de forme allongée de huit lignes de longueur; les antennes sont noirâtres, bronzées la base ; la tète et le corselet sont bronzés, cuivreux; le dessous du corselet est très brillant; les côtés sont couverts d'un duvet cendré; bronzées , avec ont près de la le les élytres sont, bord extérieur blanc blanche qui ne s'étend pas jusqu'à mité; le vreux, l'extré- très brillant, avec les côtés légèreles sont cuivreuses la elles dessous du corps est d'un rouge cui- ment couverts d'un duvet cendré; On ; suture une ligne longitudinale trouve aux Indes orientales pâtes PL S //urectes i •1 l\up interrompu I\lip IMlUlS DES La Cicindèle nr I l 327 s carolinoise, Cicindela carolina jj G Megaciphale I \i r, Cette belle espèce a cnvLroiỵ huit lignes de longueur; jaunâtre corps; les , les antennes sont d'un bruu longues que la moitié aussi yeux sont bruns ^.a lèvre supérieure jaune ; le du d'un vert bleuâtre brillant; la tète est est corselet csnRjin vert brillant, avec deux taches cuivreuses sur le milieu ; les élytres sont pointillées, d'un vert bifilaire d'un rouge cuivreux brillant sur les côtés , très brillant sur milieu le ; elles ont une tache jaune en croissant l'extrémité; le dessous db corps est d'un vert bleuâtre brillant ; On les la pâtes sont fauves trouve la Caroline ; elle y est as- sez multipliée La Cicindèle lèvre, Cicindfla labial n G Therate LiTH Cette belle espèce est longue de près de dix lignes; tout le corps est en dessus d'un , HISTOIRE NATURELLE 3ỵ8 beau bleu foncé , avec des reflets violets ; la lèvre supérieure est d'un jaune roussâtre, avec une tache d'un noir obscur au milieu de sa base elle est très ; grande et a huit dentelures sa partie antérieure tites ; peles mandibules sont d'un rouge ferrugineux, que ainsi les palpes et les cuisses; l'extré- mité des jambes est d'un bleu noirâtre, que Cet insecte se trouve dans de ainsi les palpes la Nouvelle-Hollande Bourou, dichaud , etc MM , recueilli cette espèce mœurs , du nord les îles au port Praslin Lesson Garnot médecins de autour du monde , la marine , et Gau- qui ont pendant leurs voyages nous ont appris que ses diffèrent de celles des autres cicin- dèles; elle se tient sur les feuilles des arbres, et vole avec une grande rapidité, et qu'elle exhale une odeur de rose très prononcée La Cicindèle huit-points, Cicindela octoguttata Elle est champêtre; moins grande que les la cicindèle antennes sont noirâtres, avec DES u;i < n ih.i les premiers articles verts; les yeux sont bruns jaune; le ; l 329 ' la tète est la lèvre bronzée; supérieure est corselet est d'un vert bronzé; les élytres sont vertes, avec trois points blancs sur chaque, et deux lunules blanches; dessous du corps est bleu vreux; On les pâtes la , avec le les côtés cui- sont cuivreuses trouve 'dans l'Amérique méridio- nale La Cicindèle long cou , Cicindela longicollis G Colliure Latr Cette espèce est longue de près de sept lignes et demie; son corps est étroit, al- longé, et entièrement d'un beau bleu; corselet est allongé et cylindrique le ou presque cylindrique; l'abdomen est étroit; les élytres sont très ponctuées, et échancrées leur extrémité; les cuisses seules sont ferrugineuses On trouve cet insecte dans orientales, Siam et les Indes en Chine, en Cochinchine, Java : il est rare ;'i 33o NATURELLE HlSTOIItK La Cicindèle aptère, Cicindela aptera G Tricondyle I Cet insecte varie pour a tu la - depuis taille, neuf lignes de long jusqu'à onze; sa couleur est d'un bleu foncé, quelquefois un peu vio- let; la lèvre supérieure est grande, elle a six dentelures en avant ; peu près longues comme let pris ensemble , les antennes sont la tète et le corse- elles sont filiformes et noir bleuâtre ; les palpes sont de la couleur; yeux sont jaunâtres, les lans; le corselet est allongé, son milieu où il , il très sail- globuleux aux deux extrémités et rétréci forme deux espèces de cupules dans lesquelles s'articulent la tète thorax; elles est les élytres sont soudées , et le la suture ; elles et on voit une légère im- la place base, et qui vont en s'affaiblissant jusqu'aux deux longueur l'extrémité ; la ont des rides transver- marquées sales très méta- embrassent l'abdomen, pression sur leur milieu qui indique de d'un même tiers de est tout-à-fait lisse ; la le dessous du corps est d'un bleu foncé, un , DES CIC1NDKLES peu violet; S !i sont cylindriques et les cuisses d'un rouge ferrugineux obscur; et les tarses I les jambes sont d'un violet foncé Cette belle espèce a été rapportée par MM Durville et Lesson; dans la Nouvelle-Guinée trouvée l'ont ils Nouvelle- et a la Irlande La Cicindèle échancrêe Cicindela , emarginata G Drjptc Latk de quatre lignes de long; Elle a près ressemble un peu un carabe : les elle antennes sont fauves; le premier article est allongé avec l'extrémité noire bleuâtre ; bules sont fauves ; ; tillées; le les , d'un vert les mandi- le corselet est cylindri- que, d'un vert bleuâtre; vert bleuâtre la tète est supérieure et la lèvre striées , les élytres sont d'un et les stries sont poin- l'extrémité des élytres est écliancrée ; dessous du corps est d'un bleu brillant; pâtes sont fauves Elle est rare trouve dans les aux environs bois, la (in tic l'aris ; on la du printemps 332 HISTOIRE NATURELLE CXIIP G.ENRE ÉLAPHRE Caractères génériques Antennes sélacées; articles courts et égaux, le premier plus gros tennnles presque égales, filiformes ; composées de deux , articles égaux de quatre articles cylindriques, de trois', dont le — Six an- les antérieures les les premier plus court moyennes postérieures — Appen- dice la base des cuisses postérieures M Fabricius de ces les a le premier fait un genre M Geoffroy les a placés avec auxquels il a donné le nom de insectes carabes , buprestes, et Linné les a rangés parmi les cicindèles, qui sont des buprestes de Geoffroy Les élapbres ont extérieurement beau- coup de ressemblance avec mais la ils les cicindèles; en diffèrent par quelques parties de bouche Les antennes des élaphres sont sétacées composées de onze est plus gros , les articles, dont le premier autres sont égaux ; elles sont insérées la partie antérieure et latérale de la tète, au-dessous des yeux 333 DES ÉLAPHRES La selet ; tète est un peu plus large que yeux sont gros arrondis les , bouche lans; la est le cor- très sail- , composée d'une lèvre supérieure, de deux mandibules cornées, avancées , arquées , et pointues mâchoires arquées, térieurement ; ; de deux très pointues, ciliées in- d'une lèvre inférieure , de et antcnnules presque égales six Le tres , pèces corselet est très est en il moins large que peu rebordé ; les ély- dans quelques es- forme de cœur; il a un sillon longitudinal plus ou moins profond sur le milieu de sa partie supérieure l'écusson est ; petit, arrondi postérieurement Les élytres sont vexes ; elles très dures couvrent deux , un peu con- ailes membra- neuses, repliées quand l'insecte n'en fait pas usage pour voler Les pâtes sont de longueur moyenne ; les un peu renflées; les jambes sont moins cuisses déliées que celles des cicindèles; les tarses sont filiformes, composés de cinq articles premier et le dernier sont plus longs autres; le dernier est terminé par que deux ; le les petits , HISTOIRE NATURELLE 334 crochets; les cuisses postérieures ont leur base un appendice ovale Les élaphres sont de brillans; ils la légèreté et on ne les par manière de vivre mais la ; trouve pas dans habitent ils petits insectes assez ressemblent aux cicindèles par les les mêmes endroits humides ; lieux ils sont carnivores et se nourrissent de petits insectes, principalement On les voit sur le de larves aquatiques courir avec beaucoup de vitesse sable qui borde les eaux n'est pas Leur larve connue Ces insectes forment un genre composé d'une dizaine d'espèces ; on les trouve toutes en Europe Nous allons passer tion la descrip- de quelques unes L'Elaphre uligineux, Elaphrus uliginosus ]l les a un peu plus de antennes sont de la trois lignes de long; longueur du corselet, noirâtres, avec les premiers articles bronzés; la tête est cuivreuse; les yeux sont noirâtres, , DBS très saillans ; 335 ÉI.APBBF.S le corselet est bronzé pointillé , raboteux, avec une ligne courte enfoncée sur le milieu; les élytres sont bronzées, ra- boteuses vreuses brillantes ; lisses , cui- dessous du corps et le pates sont d'une couleur noirâtre bronzée les On le avec des élévations , , trouve aux environs de Paris, sur le bord des eaux L'Elaphre riverain Elaphrus riparius , un peu plus est 11 dent; longueur du corselet pointillée ; tillé raboteux , que le la tète est ; yeux sont noirs les corselet est bronzé elles petit précé- antennes sont noirâtres, de les ; , les , la bronzée, saillans ; le un peu cuivreux poin, élytres sont bronzées ; ont des taches rondes, enfoncées, et des élévations lisses, cuivreuses, brillantes; le dessous du corps et zés ; les On le le les cuisses sont bron- pates sont d'un brun ferrugineux trouve dans toute l'Europe bord des commun aux marcs et des étangs environs de Paris ; , il sur est HISTOIRE NATURELLE 336 L'Elaphre aquatique, Elaphrus aquaticus de moitié plus petit que Il est dent gues que le corselet, noirâtres, avec les premiers anneaux fauves bronzé, luisant; les élytres ; tout le corps est ; la tète est striée; le corse- let est pointillé; les lans yeux sont bruns, saillisses le long du bord sont extérieur et près de la suture lieu elles , quées cés , ; sur le mi- ont des stries légèrement mar- formées par de petits points enfon- les ; précé- le antennes sont presque aussi lon- les ; cuisses sont bronzées ; les jambes sont d'un brun rougeàtre On les le trouve dans toute l'Europe endroits humides ; il est , dans commun aux environs de Paris L'Elaphre flavipède, Elaphrusflavipes Il a deux lignos de long sont noirâtres , les ; antennes presque aussi longues que corselet; la tète est bronzée yeux sont noirs , saillans ; , le pointillée; les le corselet est DES ELAPHRES 337 bronzé, pointillé, avec une ligne longitudinale peu enfoncée sur le milieu ; les élytres sont pointillées, presque chagrinées, avec deux ture de petits points enfoncés près elles ; la su- sont bronzées et noirâtres dessous du corps est noir luisant ; les ; le pâtes sont jaunes On rope ; le il trouve dans presque toute l'Euest moins commun que les dens aux environs de Paris FIN DU TOME TROISIEME précé- ... Société d 'Histoire naturelle' de Paris de plusieurs autres Sociétés savantes TOME TROISIÈME PARIS, RORET, LIBRAIRE, RUE HAUTEFEUILLE, AU COIN DE CELLE DU HATTOIR l828 0L fyê3 202349 HISTOIRE NATURELLE. .. hanneton dévore sous cet état que les feuilles dans de certaines années , des le arbres ; ces insectes sont HISTOIRE NATURELLE si abondans aux environs de Paris, qu'ils dépouillent presque entièrement... extérieure des élytres M Fabiucius a séparé ces insectes des scarabées, parmi lesquels Linné et froy les ont placés ; et M Geof- M Olivier a adopté ce genre Il est facile de distinguer les cétoines des

Ngày đăng: 03/11/2018, 08:11

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