Tài liệu hạn chế xem trước, để xem đầy đủ mời bạn chọn Tải xuống
1
/ 417 trang
THÔNG TIN TÀI LIỆU
Thông tin cơ bản
Định dạng
Số trang
417
Dung lượng
25,51 MB
Nội dung
(.- ,5/ MONOGRAPHIE ÉLATÉRIDES M E, DOCTEUR EN MÉDECINE , CANDÈZE / , MEMBRE DE LA SOCIÉTÉ ROYALE DES SCIENCES DE LIEGE ET DES SOCIÉTÉS ENTOMOLOGIQUES DE FRANCE ET DE STETTIN TOME PREMIER OCT LIÈGE, H DESSAIN, IMPRIMEUR-LIBRAIRE, PLACE S'.-LAMBERT , N" 9-28 Mai 1857 , PRẫFACE Lorsque commenỗai je il , y a quatre ans qui font l'objet de celle monographie , l'étude des insectes , j'étais loin de conntre toute l'étendue et toutes les difficultés du travail que j'entreprenais Ce ne que plus tard fut , quand de nombreux matériaux Tobligeante intervention des entomologistes brasser d'un seul coup d'œil , me ganes tous jetés peu près dans et le le même moule bibliographique préparatoire fut ébauché, et que classification qui avaient été tentés, ainsi noms les l'abandon multitude des espèces de cette et la , dans dus , permirent d'em- peu de ressource que présentent leurs différents or- famille , , , ce fut, dis-je, alors relatif que que quand ; le travail je vis les essais de la confusion qui régnait je compris dans lequel se trouvait ce groupe si les causes de intéressant tous égards En effet n'existe chez les coléoptères il , fondant aussi insensiblement et se aussi des caractères distinctifs d'aussi considérable d'espèces, qui offrent peu de valeur aucun ensemble les uns dans les autres Certains genres par exemple , que , l'on considère naturels lorsqu'on n'a sous les yeux qu'un petit deviennent quand on autres le que , pour ainsi dire , ; : de ce genre remarquable du prothorax , les Pyrophores qui m'ont originaire , du Brésil , été ; jusqu'ici la famille communiqués, il , les de cette faisaient coupe générique Vune des mieux caractérisées de genre , je citerai entre une série plus considérable genre Pyrophonis rien de plus facile au premier abord taches ou vésicules phosphoriques un très- d'espèces impossibles limiter exactement a affaire d'établir la diagnose parmi comme nombre Mais s'en trouve qui rentre incontestablement dans ce par sa forme générale , son système de coloration , la con- formation de sa tète, de ses yeux , la structure de ses antennes et de ses pattes, enfin par ce cachet particulier que l'œil saisit de suite et qu'on ne peut souvent exprimer par des mots, le faciès- et VI PREFÂCF néanmoins, malgré cette similitude d'organisation, ce Pyropiiore entièrement dépourvu de lâches sur le prolhorax Cet exemple, que je choisis entre cent , montre clairement les est que ohstacles rencontrés lorsqu'il j'ai de diviser s'est agi la famille en groupes primaires, ou tribus Après beaucoup de tâtonnements, après avoir plusieurs d'autres bases ment , satisfait, fois édifié parvenu j'étais mon lorsque seur Lacordaire abferda , Heureux de pouvoir démoli pour reconstruire sur ami et ma , , l'expérience de ce remis immédiatement tous je lui profes- le son immense genres de l'ordre des coléoptères maté- les disposition Après une étude approfondie de plusieurs mois resta M actuelle dans famille les médiocre- résultat dont j'étais profiler des lumières et de célèbre entomologiste riaux que j'avais un savant maitre la de révision de tous travail et , M Lacordaire convaincu que les Elateridcs étaient composés d'un ensemble de formes tellement reliées entre elles par des passages insensibles, que tout arrangement naturel de leurs genres, ainsi la famille que toute division de en tribus nettement tranchộes ộtaient impossibles si ne commenỗait par mettre de côté quelques types principaux formeraient autant de types de tribus du rendraient ainsi et , l'on qui la division reste plus facile 11 a vrais donc admis une grande tribu qui sous le nom ô'Elatérides renferme le plus grand nombre des insectes de cette famil, , groupes de le, et sept autres dérables mais qui , même valeur beaucoup moins consi- par leur soustraction , , permettent de tenir compte, pour l'arrangement des Elatérides vrais, de caractères qui, sans cette mesure, eussent été dénués de valeur L'élude de ces insectes, que je poursuivais de convaincu que ces idées étaient justes Je hésiter de sorte que , monographie celle la classification est, quant les de la uses bases, le volume contenant temps que celui-ci ront sur les genreS;, veaux , tandis que les côté, m'a exposée dans famille identique avec celle qu'on trouvera dans le« Gênera des Coléoptères dont mon donc adoptées sans » de M Lacordaire, Elatérides partra presque en même Les différences entre nos deux ouvrages porte- M Lacordaire j^ii s'étant interdit d'en créer dû nécessairement en établir de nou- un assez grand nombre Cela dit bien voulu , qu'il me me soit permis d'offrir fournir les matériaux de but de reconnaissance aux entomologistes qui ont mon travail , un juste tri- PRÉFACE Rn premier Enlomologie voir sans , m'eût été il je livre aujourd'hui la ici itn mtre en et fier d'a- excellents con- ses riche bibliothèque en- possible d'entreprendre l'ouvrage dont première partie au public Qu'il reỗoive donc, dộvouement que l'expression sincốre de l'inaltộrable , heureux Sans la carrière secours indispensable de sa le tomologique, mon professeur Lacordaire, le direction duquel je suis la premiers pas dans fait les seils , M lieu, sous VII je lui voué M je le marquis de ne puis le Ferté Sénectère la remercier en termes assez avec une générosité dont , m'a confié sa magnifi- vifs, composée des espèces de la collection du comte augmentées de celles de MM Gory, Reiche et Buquet; collection, (|ue Dejcan , trouvé une grande quantité de types nouveaux j'y Irès-remar- et (juables A Paris , M comte de le crites Mni.«zecli , -, delà Sibérie, types intéressants du Caucase et nant du voyage de Kindermann dans la bien voulu m'envoyer une a parmi lesquels figuraient j'ai trouvé, dans par Faldermann et Gebler multitude d'Elatérides Sibérie , dans l'Amérique russe, enfin , Perse les , MM Holmberg du voyage de celles la espèces dé- les nombre, des le espèces prove- mineure l'Asie et et Frankenhaûser rapportées de l'Orient par d'autres divers voyageurs MM Je remercie également Reiche , L Dufour Deyrolle et Chevrolat Guérin , Méneville - pour leurs nombreux envois , , J'ai trouvé dans leurs cartons beaucoup de types décrits, dont l'identité m'est ainsi assurée Je dois aussi blés la communication de plusieurs espèces remarqua-» MM Doué et Jekel même mes J'adresse de Rouen, M EcolTet remercỵments de Nismes , et à M Ott , M Mocquerys , de de Strasbourg, qui je dois plusieurs espèces nouvelles L'Allemagne entomologique m'est également venue en aide Je ne puis exprimer assez vivement de la ma reconnaissance au Président Société entomologique de Stettin rosité et Tobligeancc sans borne sont qui ont eu des rapports avec lui ses propres richesses , mais encore , si M Dohrn, dont la géné- bien connues de tous ceux et qui a bien non-seulement m'a voulu me livré prêter sa puis- sante recommandation auprès d'autres entomologistes L'illustre aux amis de Klug la , que science , la mort vient, tout récemment , d'enlever par une faveur sur laquelle je n osais comp- Vm PREFACE m'a procuré ter, le Musée de me de IVI le de Germar que possède et docteur Gerslaecker veut bien continuer de cet immense avantage Schaum a généreusement prévenu mes désirs en collection de Germar dont il est le possesseur et faire jouir M me types d'Eriehson les Berlin le docteur confiant la , qui avait pour moi cet avantage inappréciable de renfermer une grande partie des types de ressantes A man j'ai provenant surtout du Chili , Stockholm , également éprouvé j'ai qui m'a procuré , été les espèces du heureux de rencontrer MM Westermann et cet auteur obtenu de M Riehl, de Cassel, beaucoup d'espèces très-inté- J'ai , la libéralité Musée de M Bohe- royal parmi lesquelles ses types de la Cafrerie de Copenhague, Waterhouse, de Londres Murray, d'Edimbourg, se sont aussi privés en ma faveur et pour un long espace de temps d'une partie de leur collection Enfin M J Le Conte, de Philadelphie, a bien voulu me communiquer un grand nombre des espèces qu'il a décrites dans , son travail sur les Elatérides des Etats-Unis La bienveillance des entomologistes que espérer d'être ; de décrire , je viens de dans cet ouvrage citer , la me fait presque des Elatérides qui existent actuellement dans les collec- totalité tions même aura donc au moins il d'un grand nombre le mérite de renfermer la description Pour le reste, j'ose d'espèces encore inédites compter sur l'indulgence des entomologistes^ donner cause de mon inexpérience les fautes que la difficulté la surmonter, dans je me du le travail et des efforts but de me rendre qiii voudront bien par- pu commettre , que j'ai dû faire pour j'ai utile la science laquelle suis consacré Liège, Avril 1857 MONOGRAPHIE ELATERIDES GÉNÉRALITÉS L'ancien groupe des Sternoxes de Latreille est depuis assez long- temps divisé en un certain nombre de familles des Elatérides Mais fait partie nombre de près d'accord sur le si les dont celle Entomologistes sont peu ces familles distinctes il , s'en faut de beau- on remarque bientôt un certain d'elles Quand on un coup d'œil sur les collections , nombre de genres cfui sont ballolcs des Eucnémides aux Elatérides , coup qu'ils le soient sur les limites de chacune étudie les auteurs ou qu'on jette ou de ces derniers aux Cébrioni- des, sans qu'il soit possible de se rendre compte des motifs qui ont porté les placer dans l'un ou l'autre de ces groupes séquent absolument nécessaire, avant de définir de conntre celles qu'il faut établir parmi la Il est par con- famille actuelle, Sternoxes et quels les sont les caractères qui les distinguent les unes des autres M Lacordaire dans son Gênera des Coléoptères , assez nettement définies , pour qu'il y ait , en admet rarement place six , l'incer- titude lorsqu'il s'agit de déterminer laquelle doit être rapportée une espèce donnée Le tableau suivant qu'il ma prière , donnera une idée suffisante de a bien , voulu rédiger leurs caractères dis- tinciifs I Hanches postérieures lamelliformes, canaliculées sur leurs bords postérieurs et logeant au repos les cuisses de la même paire A Saillie prosternale reỗue poste fixe dans une cavitộ du mộ- soslernum Trochantins des quatres pattes antérieures disUncls — B «_ Saillie prosternale jouant ternum , nuls Bcprestides TlIROSCIDES librement dans une cavité du mésos- souvent n'y pénétrant pas; irocbanlins toujours nuls a Antennes insérées sur le front; leurs cavités obliques rétrécissant i'ộpisợome; celui-ci trapộzilorme Eics^.ôides , , GliNEUALITES Antennes insérées sous un rebord antérieur du front flfl Jambes antérieures non — fouisseuses Céerionides 11 Hanches postérieures lamelliformes les cuisses En El\térides fouisseuses de la même enfouies, recouvertes par , paire Cérophytides njoutant aux caractères qui précèdent ceux qui n'ont pu trou- ver place dans ce tableau, on obtient que j'emprunte également verticale — Antennes insérées près de onze ou douze res — articles ouvertes en arrière buleuses, les ; postérieures lamelliformes trochantins nuls jambes linéaires tincts ; tarses — Abdomen lie ; iner- parfois linéai- antérieures subglo- et intermédiaii^es , canaliculées en arrière; leurs éperons très-petits ou indis- , — la plupart d'une mentonnière en avant; sa sail- postộrieure trốs-variable , oự elle , reỗue en gộnộral dans une cavité du joue librement Les Elalérides varient considérablement sous taille , rarement pentamères souvent munis de lamelles en-dessous composé de cinq segments, tous distincts Pros- lernum muni chez mésosternum fỵabellées, cavités cotylọdes des hanches antérieures ; , du bord antérieur des yeux dentées ou , non fouisseuses Pattes : — Labre distinct — Tèle penchée lamelliformes et formule générale suivante, — Deux lobes aux mâchoires Languette sans paraglosses mes la M Lacordaire Certaines espèces , telle que rapport de le la Tetralobus flahellkornis le atteignent une longueur de soixante-dix quatre-vingts millimètres, tandis celle que les dimensions des plus de deux verts de téguments assez durs ; ristique, que cette famille la l'œil le parmi ou moins allongé, pour et flexible forme du corps plupart , recou- nombre seulement comme celle des ma- , elle est moins exercé reconnt de tous les autres coléoptères et la chez un petit (Campylus), l'enveloppe reste molle ỵacodermcs Quant ne dépassent guère petites espèces trois millimètres Ils sont, quelques-uns sont même tellement caracté- suite Ils un ont le insecte de corps plus remarquables par leur forme étroite et linéaire La tète est médiocre et presque toujours demi engagée dans le prothorax Elle est plus large que longue la bouche est dirigée soit en avant , soit tout-à-fait en dessous, le plus souvent dans une ; direction intermédiaire tôt fortement convexe , Le front est variable , tantôt concave, tan- quelquefois déprimé avec ses côtés redrcs- O GENtnVLITKS La manière dont ses , avant mérite de fixer plus attendu que son bord antérieur fournit de bons caractères de genres nombre des espèces termine en se il spécialement l'attention et même de tribus Dans plus grand le une ce bord forme au-dessus du labre , saillie horizontale, aboutissant aux yeux de chaque côté Celte saillie qu'on est convenu d'appeler Carène frontale soit improprement appliqué, est plus , bien que parait quelquefois entièrement sur la ligne peu alors s'abaisse chaque côté nom peu jusqu'à de Crète siis-antennaire où sont insérées petite cavité tale existe sur du labre un espace , , les les cavités de le la on observe entre elle , carène fronet la racine Cyathodera, Di- (Ampedus, CardiophoriiSy Cratonyde séparation entre sert demi cachés par grandeur, delà profondeur la peu de chose a , antennaires dont je viens de parler, et qui elles-mêmes va- rienlsousle rapportde j qui donne quelquefois des caractères d'une certaine valeur ) , y front la Cet espace, que j'appellerai plaque nasale Il elle dis- et le forme un rebord au-dessus de , tantôt très-large {Tetralobus propiis, etc.), tantôt très-étroit chus médiane, antennes Lorsque , de carène en cet endroit, sous et alors , elle médiane la ligne nom suture d'insertion du labre la elle persiste toujours le ou moins prononcée; dire sur prolhorax le ; les yeux Ils et delà forme sont ordinairement leur forme est généralement hé- misphérique Les antennes sont tantôt aussi longues que courtes que dépassent le prothorax un peu dans : le base la corps nombre , tantôt plus des cas , elles angles postérieurs de cet organe Elles sont les presque invariablement filiformes trémité qu'à plus grand le ; , c'est-à-dire aussi grêles l'ex- plusieurs espèces les ont pectinées , quelques- Le nombre de leurs articles est de onze, bien qu'on en compte QHemirhipus par exemple ) quelquefois douze Ce dernier nombre n'est souvent que simulé par une structure particu- unes flabellées , lière du dernier article , qui présente peu de distance de son ex- un rétrécissement plus ou moins brusque, en général séparé du reste de l'article par une suture Cette portion rétrécie de trémité , : l'article prend alors nom le de faux tuellement une forme triangulaire drique Quant , article aplatie, plus leur insertion, elle a lieu des yeux, sous le rebord du front dont Le j'ai rarement subcylin- invariablement au-devant parlé plus haut labre est toujours visible et remplit le vide que laissent entre elles les que Les autres ont habi- mandibules ; il font ces dernières est Il par conséquent subordonné est semi-circulaire la saillie ou transversal ; dans , * GÉNÉnALITIỴS genre Cardiorhimis, le présente une échancrure au milieu qui il le rend subcordiforme Les mandibules courtes et robustes leur concavité d'une petite dent lout-à-fait simples celle des , Hémirhipides On peut tirer , ou bifides l'extrémité ou , dans une tribu entière dans une grande partie des Chalcolépiet cou- et les le voit un grand , parti de ces or- genres Les mâchoires sont toujours ; ordinairement munies dans , , rarement (Oxynoptérides) longues comme on ganes pour caractériser iobées sont ainsi qu'on l'observe diides Elles sont plus dées , petites, cornées et uniformément bi- la conformité qu'elles présentent dans leur structure ne leur donne aucune importance au point de vue de la classification Les palpes maxillaires sont d'un plus grand secours sous ce rapChez port la tus, etc., ils plupart des Oxynoptérides, les Catnpsosternus dépassent longuement les mandibules; mais dans néralité des espèces repos ils par exemple , gé- sont courts et cachés sous les mandibules, au dernier seul mérite d'être mentionné quant sa forme icriiis Ois- la leurs articles est toujours de quatre dont le Le nombre de jours en fer de hache , , : presque tou- devient dans quelques cas, chez les DraS' il subovoide et acuminé languette et les palpes labiaux ne nécessitent aucune remarque La spéciale : le dernier article de ceux-ci construit sur le est même plan que celui des palpes maxillaires Le prothorax est surtout la partie du corps qui donne aux Ela- térides leur forme caractéristique Dans tes, il affecte la forme d'un demi principalement la base , la majorité de ces insec- ellipsoïde plus avec ses angles postérieurs généralement L'union de l'arceau dorsal avec irès-saillants ou moins déprimé, qué par une arête quelquefois très-saillante , les flancs est ici fort épaisse mar, presque nulle Les angles antérieurs sont variables Le bord postérieur est coupé plus ou moins carrément et peu d'exception prés déprimé, ce qui permet pour exécuter le l'insecte mouvement de renverser son dos en arrière, saltaloire propre aux espèces de cette famille Il sur n'y a rien de bien important ajouter ce qui vient d'être dit le pronotum ; il même n'en est pas de première pièce du thorax celte , plus haut degré d'importance que chez léoptères lides , il Le proslernum est de la face inférieure de qui prend chez les Elatérides un est allongé muni en avant d'une la plupart des autres Co- et, excepté saillie chez les Campy- généralement arrondie , ALPHABETIQIIK 397 11)1 Lupinosus Lntosus 130 100 Mamillatiis M lui nus 144 126 118 120 117 112 Musculus 141 Mus tel in us Muticus Myslicus 110 154 104 Nanus 151 Ncbulosus 115 TAni.K ISCIIIUS Gcrslœckeri LÂCON 1)0 Ri in or Modcstus Adspcrsiis Albopiclus Amplicollis Angulosus Antiquus Assus Brachychœtus 115 Molcstiis 104 142 117 100 145 Mulliforis 161 119 Caiiiiulalus 156 133 144 lo2 Cliarcus 161 Nigrila Cœnosiis Confusus Consobiimis Obesus Coslicollis 114 109 12o 110 Coslipennis loi Palliditarsus Creiialus ParalleJicoIlis H8 Pictipeniỵis 150 127 Ciirtus 103 139 88 150 Cylindricus 121 Porcin us Decipieiis Porosus Propinquus Ellipliciis 127 143 124 1G0 135 Kximius lot Sculeilatus Flavij>es 157 123 134 Sericans Brevis Brunnipennis Caliginosus Crcnicollis Cribratuin Desjardinsii DcsquamaliiS Diibius Fœilus FuriinculosiKS Geminatus Goudotii 106 (iiUtatiis 151 Hdulus Hispidulus 122 125 138 148 154 Hottentola Iliiniilis Inlerpuiictalus Jrroralus Kokeilii Lalicollis La lus Lapideus Lcprosus Fczpleiici 4!) Nodicollis 101 Nodifer 100 157 152 130 102 132 120 Occidenlalis Orna tus va lis Pictiventris Pœnulatus Rectanguiaris 155 Scaber Scarrosus 153 157 Serricollis Serrula Sincijsis Sinuatus Sordidus Soricinus Suillus TeiTenus ïorrcfactus ïoslus 101) Transversus 113 146 136 ïristis 141 107 158 152 142 105 135 Troglodytes Tumidicollis Turbidus Tuspancnsis Ursulus m 112 140 122 139 102 114 153 159 103 128 129 125 161 131 108 99 157 d47 398 Variabilis TABLE ALPHABÉTIQUE TUil.l' Il/nsli is ALPHABÉTIQUE 399 400 Nalnloiisis TABLE ALPHABÉTIQUE PI ACON \iV!l\l()l)l-:S PKliUTS.TILOTAI'xSI'S OCMM S, Ml.inSTlirS H pj.ni EIDOLliS OPTALKCS IIEMICLEUS AORAEUS MFI.ANTMO, TIRIOXFMA APlllLEFS ISCHTUS AIAISSUS AI.ITKI'S Vll'.I.AXArTES, •r Fin: -^['VjSgJfc^ I ^^ ^' C^^ ]l 5- „/> ir*\ f -t^ ^ /^'^?^ X^'%v '*S|)S, Vj i.YroRKi's 11 i-j'Piii'.Mrs r.MAis \i \rs P/.Y I ^ '• ơ''' JT "y i ^ Lii^bJ